À la limite, j'ai entendu A. Krivine dire "on peut comprendre qu'on nous taxe d'utopisme et de rêveries", pour ensuite démontrer que nos propositions ne relèvent pas de l'utopie et que, si on fesait rêver, tant mieux parce qu'il est grand temps d'une gauche capable de faire rêver les classes populaires.
a écrit :Il s'agit du problème du chomage, pas de la tactique syndicale au niveau d'un coin d'atelier. Pourquoi diable ferions-nous campagne sur des licenciements individuels ?
Moi je pensais plutot aux entreprises qui licencient en masse sous prétexte qu'ils ne font pas de profits cette année. Ceci dit, on s'oppose également aux licenciements individuels.
Je ne fesais que pointer les nuances entre nos revendications, en guise de précision à titi qui prétendait qu'on défendait exactement la même chose.