. Gardons donc ce secret entre nous meme si la boite de Pandhore est deja ouverte. Disons que dans 98% des cas on ne doit pas voter pour un parti bourgeois.
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Il faut une politique active vers les jeunes de l'immigr
par Combat » 04 Juil 2006, 23:33
Je sais..j'avais lu cette partie. Mais le probleme c'est que si tu dis a certains qu'on pourrait sous certaines conditions voter pour un parti bourgeois, ils utiliseront l'exception pour en faire la regle. Ce qui est arrive . Gardons donc ce secret entre nous meme si la boite de Pandhore est deja ouverte. Disons que dans 98% des cas on ne doit pas voter pour un parti bourgeois.
. Gardons donc ce secret entre nous meme si la boite de Pandhore est deja ouverte. Disons que dans 98% des cas on ne doit pas voter pour un parti bourgeois.- Combat
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par com_71 » 04 Juil 2006, 23:38
(Combat @ mercredi 5 juillet 2006 à 00:33 a écrit : Disons que dans 98% des cas on ne doit pas voter pour un parti bourgeois.
1% pour le noir démocrate et 1% pour Mitterrand en 1981 ? OKL’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
-
com_71 - Message(s) : 6381
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par Combat » 04 Juil 2006, 23:42
Non pas Mitterand car son passe est trop lourd; par contre pour endiguer la montee du fascisme un vote qui empeche le FN d'acceder au pouvoir s'il y a risque reel(pas 2002) au niveau local ou national, ca pas de probleme.
Encore que pour le democrate noir c'etait avant l'instauration des droits civiques(debut annees 60), aujourd'hui voter dans ce sens serait totalement inapproprie.
Encore que pour le democrate noir c'etait avant l'instauration des droits civiques(debut annees 60), aujourd'hui voter dans ce sens serait totalement inapproprie.
- Combat
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par artza » 05 Juil 2006, 07:34
(Combat @ mercredi 5 juillet 2006 à 01:42 a écrit : Non pas Mitterand car son passe est trop lourd; par contre pour endiguer la montee du fascisme un vote qui empeche le FN d'acceder au pouvoir s'il y a risque reel(pas 2002) au niveau local ou national, ca pas de probleme.
Encore que pour le democrate noir c'etait avant l'instauration des droits civiques(debut annees 60), aujourd'hui voter dans ce sens serait totalement inapproprie.
:33: :huh1: :w00t:
- artza
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par Houel » 27 Juil 2006, 12:27
Même dissoute, la Tribu Ka jure de «continuer»
Le conseil des ministres a décidé mercredi la dissolution du groupuscule noir ultra-radical et antisémite, qui a aussitôt fait savoir que cette mesure le «poussait à continuer».
La Tribu Ka s’était fait remarquer le 28 mai en manifestant rue des Rosiers à Paris, au cœur du quartier juif. Mercredi, le conseil des ministres a décidé sa dissolution, sur proposition du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy.
La «Tribu Ka» -abréviation issue de l'Egypte ancienne avec «kémite» (qui veut dire noir) et «atonien» (en référence au culte d'Aton)-, a un comportement «particulièrement choquant», a expliqué à la sortie du conseil le locataire de la place Beauvau. «Leur antisémitisme n'est plus à démontrer et la République ne peut pas tolérer de tels agissements et de tels comportements».
«Leur site est particulièrement choquant, et je ne pense pas qu'il soit acceptable, au regard de ce qu'a connu l'humanité et notre pays, de présenter un chimpanzé avec une étoile de David. Franchement, ce n'est pas ce que je souhaite pour mon pays et ce que je souhaite pour la République», a ajouté le ministre.
«On est la Tribu Ka, on continuera»
Kemi Seba (de son vrai nom Stellio Gilles Robert Capochichi), leader et créateur du groupe en 2004, a aussitôt répliqué que la Tribu Ka «ne tiendrait pas compte» de la décision du conseil des ministres. «On marche dessus», assure-t-il. «On est la Tribu Ka, on continuera. On le dit avec le sourire et avec joie. On est honoré qu'on ait parlé de nous au conseil des ministres. Ça prouve qu'on dérange le système et ils nous poussent à continuer», a affirmé le leader de 24 ans, soulignant que son groupe «ne changera en aucun cas de nom».
«On s'adressait à des milices juives et non à tous les juifs» rue des Rosiers, assure Kemi Seba, selon qui la police serait arrivée à la même conclusion. «C'est pour cela que Nicolas Sarkozy n'a pas attendu les conclusions de l'enquête et a pris les devants», a-t-il dit. «On n'a pas de sang sur les mains jusqu'à preuve du contraire. On n'a pas agressé qui que ce soit. J'ai bien dit pour l'instant et jusqu'à preuve du contraire. Par contre, si on est attaqué, on se défend», a-t-il prévenu.
Retentissement de l'affaire de la rue des Rosiers
Selon lui, la Tribu Ka, qui comptait une cinquantaine de membres (15 à 30, selon les Renseignements généraux), a vu ses effectifs «au minimum doubler, voire tripler», depuis le retentissement de l'affaire de la rue des Rosiers.
Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), SOS Racisme et le Cran (Conseil représentatif des associations noires) se sont réjouis de cette dissolution. «Il est nécessaire d'éradiquer ces mouvements qui s'appuient sur les mêmes thèses racistes inadmissibles que Farrakhan», le leader noir musulman américain Louis Farrakhan, explique le président du Crif, Roger Cukierman. «Il y a une population antillaise et africaine importante dans notre pays, il ne faut pas que des thèses racistes puissent se développer avec tous les moyens que donne la liberté d'expression en France».
http://www.lefigaro.fr/france/20060726.WWW..._continuer.html
Le conseil des ministres a décidé mercredi la dissolution du groupuscule noir ultra-radical et antisémite, qui a aussitôt fait savoir que cette mesure le «poussait à continuer».
La Tribu Ka s’était fait remarquer le 28 mai en manifestant rue des Rosiers à Paris, au cœur du quartier juif. Mercredi, le conseil des ministres a décidé sa dissolution, sur proposition du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy.
La «Tribu Ka» -abréviation issue de l'Egypte ancienne avec «kémite» (qui veut dire noir) et «atonien» (en référence au culte d'Aton)-, a un comportement «particulièrement choquant», a expliqué à la sortie du conseil le locataire de la place Beauvau. «Leur antisémitisme n'est plus à démontrer et la République ne peut pas tolérer de tels agissements et de tels comportements».
«Leur site est particulièrement choquant, et je ne pense pas qu'il soit acceptable, au regard de ce qu'a connu l'humanité et notre pays, de présenter un chimpanzé avec une étoile de David. Franchement, ce n'est pas ce que je souhaite pour mon pays et ce que je souhaite pour la République», a ajouté le ministre.
«On est la Tribu Ka, on continuera»
Kemi Seba (de son vrai nom Stellio Gilles Robert Capochichi), leader et créateur du groupe en 2004, a aussitôt répliqué que la Tribu Ka «ne tiendrait pas compte» de la décision du conseil des ministres. «On marche dessus», assure-t-il. «On est la Tribu Ka, on continuera. On le dit avec le sourire et avec joie. On est honoré qu'on ait parlé de nous au conseil des ministres. Ça prouve qu'on dérange le système et ils nous poussent à continuer», a affirmé le leader de 24 ans, soulignant que son groupe «ne changera en aucun cas de nom».
«On s'adressait à des milices juives et non à tous les juifs» rue des Rosiers, assure Kemi Seba, selon qui la police serait arrivée à la même conclusion. «C'est pour cela que Nicolas Sarkozy n'a pas attendu les conclusions de l'enquête et a pris les devants», a-t-il dit. «On n'a pas de sang sur les mains jusqu'à preuve du contraire. On n'a pas agressé qui que ce soit. J'ai bien dit pour l'instant et jusqu'à preuve du contraire. Par contre, si on est attaqué, on se défend», a-t-il prévenu.
Retentissement de l'affaire de la rue des Rosiers
Selon lui, la Tribu Ka, qui comptait une cinquantaine de membres (15 à 30, selon les Renseignements généraux), a vu ses effectifs «au minimum doubler, voire tripler», depuis le retentissement de l'affaire de la rue des Rosiers.
Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), SOS Racisme et le Cran (Conseil représentatif des associations noires) se sont réjouis de cette dissolution. «Il est nécessaire d'éradiquer ces mouvements qui s'appuient sur les mêmes thèses racistes inadmissibles que Farrakhan», le leader noir musulman américain Louis Farrakhan, explique le président du Crif, Roger Cukierman. «Il y a une population antillaise et africaine importante dans notre pays, il ne faut pas que des thèses racistes puissent se développer avec tous les moyens que donne la liberté d'expression en France».
http://www.lefigaro.fr/france/20060726.WWW..._continuer.html
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