
Taux de chômage en très léger recul en février
PARIS, le 31 mars (AP) -- Le taux de chômage en France est resté stable en février à 9,6% de la population active, au sens du Bureau international du travail (BIT).
Le nombre de demandeurs d'emploi n'a baissé que de 2.700, selon les chiffres publiés mercredi par le ministère du Travail. Fin février, on comptait 2.416.200 demandeurs d'emploi de catégorie 1, soit 0,1% de moins que fin janvier où ils étaient 2.418.900.
Ce léger recul bénéficie davantage aux hommes (-0,2%) qu'aux femmes (nombre de chômeuses stable). Et aux plus de 25 ans (-0,4%) qu'aux jeunes (+1,3%).
Quelque 379.400 personnes se sont inscrites à l'ANPE le mois dernier (+0,8% par rapport à janvier). Cette hausse est imputable aux licenciements non économiques (+2,0%), aux fins de mission d'intérim (+1,2%) et aux fins de contrat à durée déterminée (+0,4%).
Les entrées consécutives à un licenciement pour cause économique diminuent, elles, de 4,6%. Ces chiffres sont des données corrigées des variations saisonnières (CVS).
Pour les sorties de l'ANPE, les données CVS sont partielles. En données brutes, sur les 342.000 personnes qui ont quitté l'ANPE, seules 80.000 ont repris un emploi et 34.000 ont commencé un stage. Plus de 141.000 ne sont plus comptées comme chômeurs car elles étaient absentes au contrôle et plus de 30.000 ont fait l'objet d'une radiation administrative.
Sur un an, le nombre de demandeurs d'emploi a augmenté de 3,2%, passant de 2.341.200 en février 2003 à 2.416.200 en février 2004. Au cours de ces douze mois, le taux de chômage a gagné 0,2 point, enflant de 9,4% à 9,6% de la population active, au sens du BIT.
Sur la même période, le chômage des jeunes de moins de 25 ans s'est accru de 4,6%, celui des femmes de 3,6%, celui des hommes de 2,8%. Le nombre de chômeurs de longue durée a augmenté de 3,8%. Les entrées à l'ANPE sont en hausse de 2,4% sur un an. Celles faisant suite à un licenciement économique ou à une fin de mission d'intérim baissent mais celles intervenant après un autre licenciement ou la fin d'un CDD augmente, tout comme les premières entrées.
Dans le même temps, les sorties de l'ANPE augmentent de 5,9% mais celles pour reprise d'emploi chutent de 3,6%.
PARIS, le 31 mars (AP) -- Le taux de chômage en France est resté stable en février à 9,6% de la population active, au sens du Bureau international du travail (BIT).
Le nombre de demandeurs d'emploi n'a baissé que de 2.700, selon les chiffres publiés mercredi par le ministère du Travail. Fin février, on comptait 2.416.200 demandeurs d'emploi de catégorie 1, soit 0,1% de moins que fin janvier où ils étaient 2.418.900.
Ce léger recul bénéficie davantage aux hommes (-0,2%) qu'aux femmes (nombre de chômeuses stable). Et aux plus de 25 ans (-0,4%) qu'aux jeunes (+1,3%).
Quelque 379.400 personnes se sont inscrites à l'ANPE le mois dernier (+0,8% par rapport à janvier). Cette hausse est imputable aux licenciements non économiques (+2,0%), aux fins de mission d'intérim (+1,2%) et aux fins de contrat à durée déterminée (+0,4%).
Les entrées consécutives à un licenciement pour cause économique diminuent, elles, de 4,6%. Ces chiffres sont des données corrigées des variations saisonnières (CVS).
Pour les sorties de l'ANPE, les données CVS sont partielles. En données brutes, sur les 342.000 personnes qui ont quitté l'ANPE, seules 80.000 ont repris un emploi et 34.000 ont commencé un stage. Plus de 141.000 ne sont plus comptées comme chômeurs car elles étaient absentes au contrôle et plus de 30.000 ont fait l'objet d'une radiation administrative.
Sur un an, le nombre de demandeurs d'emploi a augmenté de 3,2%, passant de 2.341.200 en février 2003 à 2.416.200 en février 2004. Au cours de ces douze mois, le taux de chômage a gagné 0,2 point, enflant de 9,4% à 9,6% de la population active, au sens du BIT.
Sur la même période, le chômage des jeunes de moins de 25 ans s'est accru de 4,6%, celui des femmes de 3,6%, celui des hommes de 2,8%. Le nombre de chômeurs de longue durée a augmenté de 3,8%. Les entrées à l'ANPE sont en hausse de 2,4% sur un an. Celles faisant suite à un licenciement économique ou à une fin de mission d'intérim baissent mais celles intervenant après un autre licenciement ou la fin d'un CDD augmente, tout comme les premières entrées.
Dans le même temps, les sorties de l'ANPE augmentent de 5,9% mais celles pour reprise d'emploi chutent de 3,6%.