
La liste FN obtient 24.09% des suffrages ce qui montre un gain de 7.02% par rapport aux Régionales de 1998, et une très légère progression de 0.3% par rapport au premier tour des Présidentielles sur le total LePen (21.2%) plus Mégret (2.6%).
Dans les communes de plus de 2 500 habitants, un premier examen montre une progression générale par rapport à 98 mais une légère baisse (environ 1.5%) par rapport à 2002 avec semble-t-il un recul plus important dans les bureaux des quartiers les plus aisés et une quasi-stabilité dans les autres bureaux.
Par contre, un tiers des 816 communes donnent plus de 35 % des suffrages à la liste FN.
Le cas le plus typique est un bourg de 300 à 500 habitants situé à une dizaine de kilomètres de la « ville-centre ».
Moins de 10 (très petites communes de moins de 100 habitants) peuvent être considérées comme agricoles.
Une vingtaine sont des communes où l’habitat secondaire est dominant (canton de Villers-Cotterets, surtout).
La très grande majorité sont donc des communes « rurbaines » où les habitants travaillent (ou recherchent un travail) dans la « ville-centre » (St Quentin, Soissons, Laon, Paris, Reims).
En l’absence de données précises sur les catégories socio-professionnelles, la distance suggère plutôt des salariés à revenus moyens (coût des terrains constructibles).
Dans les communes de plus de 2 500 habitants, un premier examen montre une progression générale par rapport à 98 mais une légère baisse (environ 1.5%) par rapport à 2002 avec semble-t-il un recul plus important dans les bureaux des quartiers les plus aisés et une quasi-stabilité dans les autres bureaux.
Par contre, un tiers des 816 communes donnent plus de 35 % des suffrages à la liste FN.
Le cas le plus typique est un bourg de 300 à 500 habitants situé à une dizaine de kilomètres de la « ville-centre ».
Moins de 10 (très petites communes de moins de 100 habitants) peuvent être considérées comme agricoles.
Une vingtaine sont des communes où l’habitat secondaire est dominant (canton de Villers-Cotterets, surtout).
La très grande majorité sont donc des communes « rurbaines » où les habitants travaillent (ou recherchent un travail) dans la « ville-centre » (St Quentin, Soissons, Laon, Paris, Reims).
En l’absence de données précises sur les catégories socio-professionnelles, la distance suggère plutôt des salariés à revenus moyens (coût des terrains constructibles).