
le cas Dieudonné me semble significatif d'une situation tangente : une bonne partie de la gauche et de son extrême n'est pas loin d'aller trop loin, voire y est déjà parvenue.
Dieudonné était drôle quand il attaquait toutes les religions, mais sa prestation chez Fogiel était plus qu'ambigue : évocation "d'axe du bien américano-sioniste", salut hitlérien en conclusion. Cela ressemble de la démagogie du plus bas acabit.
On peut bien sûr attaquer la politique du gouvernement israëlien sans flatter les préjugés antisémites, qui remontent, en particulier dans les milieux touchés par l'islamisme.
Les attaques systématiques des sionistes contre nous sont insupportables. Mais repousser les faux procès ne veut pas dire ignorer l'antisémitisme, violent en paroles, parfois en actes (incendie de l'école religieuse de Gagny).
Ainsi dans le n° 1455 de LO, dans un article sur la visite en France du président israëlien, l'auteur écrit que ni Chirac ni Moshe Katsav ne peuvent sérieusement croire à une réelle poussée de l'antisémitisme (sous-entendu, puisqu'il n'y en a pas).
Cela ne me paraît pas juste. Même si je n'ai aucune sympathie pour leurs croyances, les religieux juifs dans les quartiers populaires ont des raisons d'être inquiets, s'ils arborent la kippa par exemple. De même certains élèves, voire profs, d'origine juive sont régulièrement inquiétés dans les établissements publics.
Alors ne nous laissons pas piéger, ni confondre avec les manipulateurs ou irresponsables à la Dieudonné. Combattons toutes les discriminations, là-bas (des sonistes au pouvoir), comme ici (même si elles n'ont pas du tout le même degré de gravité, elles nous sont bien plus proches).
Dieudonné était drôle quand il attaquait toutes les religions, mais sa prestation chez Fogiel était plus qu'ambigue : évocation "d'axe du bien américano-sioniste", salut hitlérien en conclusion. Cela ressemble de la démagogie du plus bas acabit.
On peut bien sûr attaquer la politique du gouvernement israëlien sans flatter les préjugés antisémites, qui remontent, en particulier dans les milieux touchés par l'islamisme.
Les attaques systématiques des sionistes contre nous sont insupportables. Mais repousser les faux procès ne veut pas dire ignorer l'antisémitisme, violent en paroles, parfois en actes (incendie de l'école religieuse de Gagny).
Ainsi dans le n° 1455 de LO, dans un article sur la visite en France du président israëlien, l'auteur écrit que ni Chirac ni Moshe Katsav ne peuvent sérieusement croire à une réelle poussée de l'antisémitisme (sous-entendu, puisqu'il n'y en a pas).
Cela ne me paraît pas juste. Même si je n'ai aucune sympathie pour leurs croyances, les religieux juifs dans les quartiers populaires ont des raisons d'être inquiets, s'ils arborent la kippa par exemple. De même certains élèves, voire profs, d'origine juive sont régulièrement inquiétés dans les établissements publics.
Alors ne nous laissons pas piéger, ni confondre avec les manipulateurs ou irresponsables à la Dieudonné. Combattons toutes les discriminations, là-bas (des sonistes au pouvoir), comme ici (même si elles n'ont pas du tout le même degré de gravité, elles nous sont bien plus proches).