hep, ho, com_71, eh! j'ai pas qu'ça à faire, j'ai un métier, moi.
Hihi, surtout que, je vois déjà, en coussin berlinois, c'est que, y'a un truc que je ne comprends pas et qui a ralenti ma lecture.
Dans la première partie, " Une révolution pour la majorité. Marx et l’expérience de 1848", fin du 2e paragraphe, qui peut comprendre la citation ? «avant que la masse de la nation, placée entre le prolétariat et la petite bourgeoisie soulevés contre ce régime, contre la domination du capital, ait été contrainte…»
Oui, bon, je suis vilain, y'a des mots qui sont partis dans un creux du texte rendant la citation incompréhensible. Etourderie, précipitation, sinon, ça serait quoi cette masse de la nation, placée entre le prolétariat et la petite bourgeoisie ?
Restituons la citation complète:
«Les ouvriers français ne pouvaient faire un seul pas en avant, ni toucher à un seul cheveu du régime bourgeois, avant que la masse de la nation placée entre le prolétariat et la bourgeoisie, la paysannerie et la petite bourgeoisie soulevées contre ce régime, contre la domination du capital, ait été contrainte par la marche de la révolution à se rallier aux prolétaires comme à leur avant-garde. C'est seulement par l'effroyable défaite de Juin que les ouvriers pouvaient acheter cette victoire.»
Je n'ai même pas encore lu: "Les trois dimensions de l’hégémonie chez Lénine". On se croirait revenu avec ce cher Louis Althusser.