une société au service des hommes???

La veille des consciences
C’est sur du Berthe couche-toi là que nos politiques répètent leurs gammes , entre yaourtissage et stérilité. Peu leur importent les opinions des pions. Maitres du jeu de l’échec, ils écrasent dans l’œuf toutes prises de bec à grands coups de flicage, ça évite les clivages et favorise l’esclavage. Baisse l’échine mon ami ou la Chine t’amènera à chiner si tu rechignes et que tu chinoises ! Gares aux Turques si tu t’entêtes car c’est à un drôle de truc que tu t’apprêtes… ! Le gonflage des sondages te fait crever, alors fais gaffes aux gaffes des dégonflés. Sur la route y a des flics qui te réclament du fric et si tu crèves prévois ton cric ou gare au retour de manivelle quand tu gares ta poubelle. Les libertinages de certains encouragent c’est certain au ventripotage et à la flegme devant l’incertain. Quant au libertinage de l’opinion qui défile sur goudron, on le déprime par répression jusqu’à la suffoque, au manque de respiration par manque d’inspiration ! Quand le chômage te mènes au ventripotage obligatoire, qui se tape vraiment sur le ventre ? L’actionnaire ! Qui s’active, la banque et ses prérogatives obligations ! Elle s’approvisionne des prévisions entreprenantes des entreprises …
Les chinois dites- vous ! Allons soyons sérieux, leur marché ne l’est-il pas ? Et la flegme, de celle qui dévore l’envie de travail, de celle qui vous broie les entrailles, qui débite les ardeurs et dépite face aux écueils à toujours nourrir l’écureuil de leurs finances … !
Les doutes s’installent mais l’argent part, les poings ne se lèvent plus que pour le désespérant du geste ! Et des mains tirent des couvertures, surtout pas pour prendre !!! Juste pour se réchauffer du glacial regard de nos sociétés qui veillent à la veille de nos consciences.
Pascal Catez
Ouvrier agricole
C’est sur du Berthe couche-toi là que nos politiques répètent leurs gammes , entre yaourtissage et stérilité. Peu leur importent les opinions des pions. Maitres du jeu de l’échec, ils écrasent dans l’œuf toutes prises de bec à grands coups de flicage, ça évite les clivages et favorise l’esclavage. Baisse l’échine mon ami ou la Chine t’amènera à chiner si tu rechignes et que tu chinoises ! Gares aux Turques si tu t’entêtes car c’est à un drôle de truc que tu t’apprêtes… ! Le gonflage des sondages te fait crever, alors fais gaffes aux gaffes des dégonflés. Sur la route y a des flics qui te réclament du fric et si tu crèves prévois ton cric ou gare au retour de manivelle quand tu gares ta poubelle. Les libertinages de certains encouragent c’est certain au ventripotage et à la flegme devant l’incertain. Quant au libertinage de l’opinion qui défile sur goudron, on le déprime par répression jusqu’à la suffoque, au manque de respiration par manque d’inspiration ! Quand le chômage te mènes au ventripotage obligatoire, qui se tape vraiment sur le ventre ? L’actionnaire ! Qui s’active, la banque et ses prérogatives obligations ! Elle s’approvisionne des prévisions entreprenantes des entreprises …
Les chinois dites- vous ! Allons soyons sérieux, leur marché ne l’est-il pas ? Et la flegme, de celle qui dévore l’envie de travail, de celle qui vous broie les entrailles, qui débite les ardeurs et dépite face aux écueils à toujours nourrir l’écureuil de leurs finances … !
Les doutes s’installent mais l’argent part, les poings ne se lèvent plus que pour le désespérant du geste ! Et des mains tirent des couvertures, surtout pas pour prendre !!! Juste pour se réchauffer du glacial regard de nos sociétés qui veillent à la veille de nos consciences.
Pascal Catez
Ouvrier agricole