Les louanges de tous les bords commencent à arriver.
Si Philippe Seguin n'était pas de notre camp, il est clair que sa disparition ne va pas être une perte pour la droite.
Ses colères et son franc parler ainsi que sa conception de l'Etat fesaient de lui un président de la cour des comptes pas toujours dans les clous... Les larmes ce crocodile séchées, Sarko pourra trouver un président de la cour plus malléable...Les influences aidant!