
J'ai vu 20 bonnes minutes à la fin de ce débat. Besancenot se débrouillait pas mal du tout face à Hollande très "on est tous de gauche, alors au 2e tour...".
Besancenot parlait de revendications, de plan d'urgence, d'ouverture des comptes, (Hollande : "mais ça c'est l'Europe"), refuse de promettre le désistement (on n'a pas la mémoire courte)...
Il y avait aussi : on est près à participer à un gouvernement qui prendrait des mesures en faveur des travailleurs. Mais OB ne dit pas en même temps qu'il est exclu (par nature) que les directions des partis de gauche mettent sur pied un tel gouvernement.
J'ai l'impression qu'ils (la Ligue) croient répondre à une attente vis-à-vis d'eux.
Là, ils se gourrent, car, malheureusement, les travailleurs en général n'attendent actuellement pas grand chose de l'extrème-gauche. D'ailleurs si les attentes étaient plus grandes on aurait à "populariser" plus encore la voie de lutte, pas d'hypothétiques formules gouvernementales.
Besancenot parlait de revendications, de plan d'urgence, d'ouverture des comptes, (Hollande : "mais ça c'est l'Europe"), refuse de promettre le désistement (on n'a pas la mémoire courte)...
Il y avait aussi : on est près à participer à un gouvernement qui prendrait des mesures en faveur des travailleurs. Mais OB ne dit pas en même temps qu'il est exclu (par nature) que les directions des partis de gauche mettent sur pied un tel gouvernement.
J'ai l'impression qu'ils (la Ligue) croient répondre à une attente vis-à-vis d'eux.
Là, ils se gourrent, car, malheureusement, les travailleurs en général n'attendent actuellement pas grand chose de l'extrème-gauche. D'ailleurs si les attentes étaient plus grandes on aurait à "populariser" plus encore la voie de lutte, pas d'hypothétiques formules gouvernementales.