
Voila un texte, que j’avais écris en décembre 2004 sur nos deux guignols…
Demain c’est le grand jour, le rendez-vous avec le microsome politique pour leurs envoyer une bonne claque électorale.
Enfin, qu’ils connaissent aussi le sens du mot « Fracture sociale... devienne une cassure politique ! »
« Chirac et Sarkozy ! »
Les rapports de monsieur Sarkozy et de monsieur Chirac ressemblent :
Le vieux maître qui a formé, l’élève, à toutes les ficelles de la Politique.
Même Monde étrange, que des joueurs d’échecs !...
Saviez-vous, Garry Kasparov champion du monde, imbattable depuis de nombreuses années.
Avait formé un élève, sur sa façon particulière, performante de gagner à ce jeu ?...
Maintenant, son élève le bat le maître, depuis deux ans.
Kasparov est détrôné par sa propre stratégie !... Qu’il a distillé à son adversaire !...
Mais, comme tout n’ait jamais identique, le petit plus fait souvent la différence sur dans un challenge.
Et bien, dans les relations infernales, du couple Chirac Sarkozy.
« Même histoire identique, que nos joueurs d’échecs ! »
Le mimétisme pénétrant de l’élève l’emporte sur le vieux maître !...
A condition, que l’élève copie plus les qualités, que les défauts de son modèle.
En observant nos personnages Politiques, ils ont tous les deux, les mêmes particularités :
« Dans leurs comportements, impatients, précipités, presque convulsif ! »
Donc, dans ce duel politique, le petit plus, fera certainement la différence !
Aussi, dans qu’elle mesure, pourront-ils éviter leurs points faibles ?...
Afin, d’exploiter leurs qualités personnel, au maximum, face un adversaire motivé, à prouver sa suprématie.
Monsieur Chirac est à part dans l’histoire de la politique Française.
Il a toujours eu une « chance de cocu ! ».
Plus que son clan, le trahit, plus augmente sa baraka Politique.
« Partant de se constat, en dernier recours, Nicolas vas-t-il demander à son épouse Cécilia de le tromper ?»
Seul, façon d’augmenter au maximum, son potentiel de chance, pour gagner les élections de 2007.
« Marianne !... Marianne !... Je te veux à fond des urnes, dans une jouissance infinie. »
Demain c’est le grand jour, le rendez-vous avec le microsome politique pour leurs envoyer une bonne claque électorale.
Enfin, qu’ils connaissent aussi le sens du mot « Fracture sociale... devienne une cassure politique ! »
« Chirac et Sarkozy ! »
Les rapports de monsieur Sarkozy et de monsieur Chirac ressemblent :
Le vieux maître qui a formé, l’élève, à toutes les ficelles de la Politique.
Même Monde étrange, que des joueurs d’échecs !...
Saviez-vous, Garry Kasparov champion du monde, imbattable depuis de nombreuses années.
Avait formé un élève, sur sa façon particulière, performante de gagner à ce jeu ?...
Maintenant, son élève le bat le maître, depuis deux ans.
Kasparov est détrôné par sa propre stratégie !... Qu’il a distillé à son adversaire !...
Mais, comme tout n’ait jamais identique, le petit plus fait souvent la différence sur dans un challenge.
Et bien, dans les relations infernales, du couple Chirac Sarkozy.
« Même histoire identique, que nos joueurs d’échecs ! »
Le mimétisme pénétrant de l’élève l’emporte sur le vieux maître !...
A condition, que l’élève copie plus les qualités, que les défauts de son modèle.
En observant nos personnages Politiques, ils ont tous les deux, les mêmes particularités :
« Dans leurs comportements, impatients, précipités, presque convulsif ! »
Donc, dans ce duel politique, le petit plus, fera certainement la différence !
Aussi, dans qu’elle mesure, pourront-ils éviter leurs points faibles ?...
Afin, d’exploiter leurs qualités personnel, au maximum, face un adversaire motivé, à prouver sa suprématie.
Monsieur Chirac est à part dans l’histoire de la politique Française.
Il a toujours eu une « chance de cocu ! ».
Plus que son clan, le trahit, plus augmente sa baraka Politique.
« Partant de se constat, en dernier recours, Nicolas vas-t-il demander à son épouse Cécilia de le tromper ?»
Seul, façon d’augmenter au maximum, son potentiel de chance, pour gagner les élections de 2007.
« Marianne !... Marianne !... Je te veux à fond des urnes, dans une jouissance infinie. »