Comment le PC veut instrumentaliser la LCR

Tout ce qui touche de près ou de loin à l'actualité politique en France

Message par pelon » 11 Jan 2006, 15:37

(lol84_Oi! @ mercredi 11 janvier 2006 à 00:43 a écrit :De dire que la LCR n'a jamais condamné Lula alors que nous avons même condamner la participation de nos camarades à son gouvernement?
C'est un peu comme dire que LO était pour le traité de Maastricht parce qu'elle n'a pas appelé à voter "non". C'est un peu comme dire que LO était pour le TCE parce qu'elle n'a pas fait campagne pour le "non". Bref c'est des calomnies balancé par un ex-militant de la LCR aigri d'être le seul vrai bolchevik-léniniste et que "con la LCR c'est que des réformistes".

J'aurais modéré la partie que j'ai surligné en rouge si je l'avais vu avant. Comme elle a été reprise dans d'autres posts je ne veux pas faire de la broderie. Mais il faut éviter les attaques personnelles qui engendrent généralement des réponses sur le même ton.
Il y a au au départ une assertion politique, le côté plus ou moins critique de la LCR vis-à-vis des militants brésiliens du SU. J'ai mon idée mais je n'y réponds pas ici. Mais si réponse il y a, elle doit être politique.
pelon
 
Message(s) : 33
Inscription : 30 Août 2002, 10:35

Message par mael.monnier » 11 Jan 2006, 20:41

Dans le Figaro :
a écrit :Une «candidature unitaire» évoquée par les communistes et les trotskistes
GAUCHE Le PCF et la LCR sont convenus de mettre en place un «groupe de travail» pour discuter du contenu d'un projet pour 2007.
Rodolphe Geisler
[11 janvier 2006]

AU NOM du rassemblement de la gauche, Marie-George Buffet poursuit sa série de rencontres bilatérales. Après avoir été reçu avant-hier par Yann Wehrling, son homologue des Verts, le secrétaire national du Parti communiste français s'est entretenu près de deux heures hier matin avec Olivier Besancenot, le porte-parole de la Ligue communiste révolutionnaire.


Les deux responsables, qui avaient partagé de nombreuses estrades durant la campagne référendaire sur le traité européen, sont décidés à mettre en place un «groupe de travail» commun, ouvert aux autres formations de gauche, «pour travailler ensemble sur le contenu d'un programme antilibéral» dans la perspective de la présidentielle.


Selon Jean-François Gau, membre du comité exécutif du PCF, Buffet a fait part à Besancenot d'une proposition, qu'elle soumettra en mars prochain au XXXIIIe congrès de son parti, visant à ce que «l'ensemble des forces antilibérales se rassemble derrière une candidature unitaire». Une candidature unitaire... qu'elle pourrait, par exemple, elle-même incarner ! Actuellement en période de précongrès, les trotskistes posent avant tout une condition : que le PS, en d'autres termes «les sociaux-libéraux», soit exclu de cette démarche. Mais, selon ce responsable de la LCR, «il est évident que si nous parvenons à nous mettre d'accord sur un contenu antilibéral et anticapitaliste fort, la question d'une candidature unitaire se posera» pour 2007.


Toujours selon ce cadre, «la Ligue est prête à s'associer avec le PS pour mener des actions communes contre les attaques du gouvernement et du patronat, mais pas pour discuter du contenu d'un programme». Du coup, la LCR, malgré l'insistance de Buffet qui estime que «la présence de la LCR à cette réunion permettrait de confirmer la finalité qui est d'aller vers un projet dynamique antilibéral», ne devrait pas participer à la réunion unitaire de la gauche que le PS souhaite organiser avec les Verts, le PRG et le PCF.
mael.monnier
 
Message(s) : 0
Inscription : 12 Nov 2003, 16:16

Message par canardos » 23 Jan 2006, 12:14

dans Libération du 23/1:

a écrit :

Après le congrès de la LCR, le camp du non risque de se diviser pour la présidentielle.

Besancenot somme Buffet de se tourner vers sa gauche



Par Eric AESCHIMANN
lundi 23 janvier 2006


La «guerre des trois» aura-t-elle lieu ? Pendant la campagne sur la Constitution européenne, Olivier Besancenot, porte-parole de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), Marie-George Buffet, secrétaire nationale du PCF, et José Bové, icône des altermondialistes, allaient d'estrades en meetings. Ils ne s'étaient pas lâchés d'une semelle. A la rentrée, dans la foulée de la victoire du non, ils continuaient. Voici qu'au moment de s'unir pour la présidentielle de 2007, la façade se lézarde. Hier, à l'issue du congrès de la Ligue, Olivier Besancenot, lassé de faire semblant, a mis les pieds dans le plat : «Je lance un appel spécifique à la direction du Parti communiste : l'heure des choix est arrivée.» A deux pas de lui, François Sabado, autre membre dirigeant, était encore plus net : «On en a assez de se faire balader par le PCF.»

Candidatures. L'ex-candidat de la LCR à la présidentielle de 2002 a de quoi être agacé. Depuis l'automne, il passe son temps à répondre aux interpellations sur le risque de voir la gauche du non partir à l'élection présidentielle en ordre dispersé. Un scénario catastrophe : comme en 2002, la présence de nombreux candidats de la gauche radicale se traduira par un affaiblissement du candidat PS, sans qu'aucun, faute d'un score suffisant, ne soit en mesure de peser ou de se poser en alternative crédible. D'où l'appel à une candidature unique, éventuellement incarnée par José Bové, lancé par des syndicalistes et des associatifs avec le soutien des communistes rénovateurs et du courant minoritaire de la LCR.

Mais la direction de la LCR ne veut pas de cette alliance. Elle craint, via le PCF, de se retrouver obligée de discuter avec le PS. Autant dire le diable. Ce week-end, face à sa base séduite par la candidature «unitaire», la direction a rédigé une motion qui affirme : «Cet espoir est légitime et nous le partageons.» Le texte jure que la LCR «cherchera à surmonter [les] obstacles en menant activement le débat sur cette question». La motion a été adoptée de justesse par les congressistes (48,5 % pour, 43,8 % contre) et la décision définitive sur la candidature a été reportée à juin. Tout en rêvant d'un discours plus «résolu» dans la quête de l'union, Christian Picquet, le chef de file du courant minoritaire de la Ligue, a salué «l'évolution» de la direction.

Yalta.

Problème : pour prix de son rapprochement, la LCR pose des conditions dont elle sait parfaitement que le PCF les récusera. D'abord en refusant des «accords gouvernementaux ou parlementaires avec le social-libéralisme». Ensuite en répétant son credo qui oppose «deux gauches» aux «orientations irréconciliables» : «L'une de soumission aux intérêts capitalistes, l'autre de résistance.» Un Yalta de la gauche qui laisse au PCF la place inconfortable de l'entre-deux. «Tantôt Buffet regrette que le PS ne veuille pas nous parler, tantôt que nous ne voulions pas parler au PS», dit François Sabado. D'où l'ultimatum lancé par Besancenot au PCF : assez de finasseries, il faut choisir ! Et assez d'hypocrisie, aussi. La LCR n'a pas apprécié que, lors des deux derniers «forums citoyens» organisés par le PCF en Essonne et dans le Val-d'Oise, Marie-George Buffet ait demandé à la Ligue de ne pas envoyer son trop médiatique porte-parole, de peur qu'il lui fasse de l'ombre... Ambiance.

Dans les couloirs du congrès, vendredi, Besancenot ne se montrait guère chaleureux à propos de José Bové : «Je ne sais pas si, politiquement, je serais d'accord avec lui. Il a signé un texte avec Delors, il a soutenu Frêche aux régionales en Languedoc-Roussillon. Le non ne suffit pas à faire un programme.» Et, hier, il a proposé à Buffet, Bové et Laguiller «de s'entendre sur un contenu anticapitaliste fort, au-delà des candidatures des uns et des autres». De fait, une telle offre ne vise pas à faire l'union, puisque Lutte ouvrière a annoncé en décembre sa décision de présenter «Arlette» en 2007. Pendant la bataille du référendum, les ouistes dénonçaient le «cartel des non». Les petites boutiques de la gauche radicale semblent décidées à leur donner raison.

canardos
 
Message(s) : 18
Inscription : 23 Déc 2005, 16:16

Message par artza » 23 Jan 2006, 13:35

a écrit :le non ne suffit pas à faire un programme


Mais il parle d'or Olivier Besancenot....avec quelques mois de retard.

Bientôt il nous dira que voter Chirac et se laver les mains après (pourquoi?) c'était pas un combat.
artza
 
Message(s) : 2525
Inscription : 22 Sep 2003, 08:22

Message par mael.monnier » 06 Fév 2006, 20:06

Le PCF essaye toujours d'attirer la LCR comme l'indique leur dernier communiqué de presse :

a écrit :Réunion de la gauche / LCR : Ne pas rester chacun dans son coin !

  La LCR vient de faire savoir qu’elle réitérait son refus de participer à la réunion de la gauche du 8 février parce que la co-organisation de débats avec « les sociaux-libéraux » « ne peut que créer des illusions sur une nouvelle reconstruction de l’Union de la gauche ». Le Parti communiste regrette ce refus d’une confrontation des arguments et des propositions à gauche, dont il a obtenu qu’elle soit publique, avec toutes les forces de gauche qui le souhaitent, et avec la population.

La gauche doit faire face à ses responsabilités : riposter à la politique désastreuse de la droite, et mener les débats qui la traversent sur les contenus d’une véritable politique de gauche. L’heure n’est pas dans ces conditions à rester chacun dans son coin, mais à se battre pour convaincre que seules des propositions alternatives fortes, rompant avec le libéralisme, sont capables d’ouvrir un espoir à notre peuple, de favoriser dès maintenant la mobilisation contre la droite et de la battre en 2007.

Patrice Cohen-Seat
membre du Comité exécutif national du PCF

Paris, le 6 février 2006
mael.monnier
 
Message(s) : 0
Inscription : 12 Nov 2003, 16:16

Message par mael.monnier » 23 Mars 2006, 17:55

La LCR et le PCF ont mis en place des groupes de travail communs comme l'indique ce texte paru dans le dernier numéro de Rouge :

a écrit :ADRESSE DE LA LCR AU PCF
Répondre aux espoirs du 29 mai
À l’occasion du 33e Congrès du Parti communiste, du 23 au 26 mars, la LCR a adressé la lettre suivante aux militants du PCF.

« La vie de votre parti est à la veille d’un moment important, la tenue de votre congrès. La question des mobilisations contre le gouvernement et le patronat, ainsi que la question de l’alternative, sont au centre de vos préoccupations, que nous partageons.

« Il ne se passe pas une semaine sans que le gouvernement ou le patronat n’annonce de nouvelles attaques contre les salariés. Cette politique se traduit par un chômage de nouveau officiellement en hausse, le développement de la précarité et la baisse du coût du travail avec le contrat nouvelles embauches (CNE) et le contrat première embauche (CPE), les attaques contre les chômeurs... En même temps, le gouvernement laisse libre cours aux plans patronaux de licenciements et de fermetures d’entreprises pour accroître les marges capitalistes.

« L’accès à la santé est toujours plus difficile avec la mise en œuvre du plan Douste-Blazy, les privatisations et le démantèlement des services publics se multiplient (EDF, Aéroport de Paris, Banque postale, SNCM, RTM...). La fusion Suez-GDF accélère le rythme des privatisations des services publics, démontrant l’inanité des engagements gouvernementaux. Une nouvelle fois, l’ouverture du capital n’est que le premier pas vers la privatisation globale de l’entreprise. Le droit au logement est bafoué et le pouvoir d’achat de millions de salariés régresse.

« Les révoltes des jeunes des quartiers populaires, en novembre dernier, ont une nouvelle fois mis en lumière les discriminations et la précarité dont est victime cette jeunesse, et particulièrement celle issue de l’immigration. [...] Les grandes manifestations du 10 mars et du 4 octobre 2005, celles du 7 février et du 7 mars 2006, combinées à la victoire du « non » au référendum du 29 mai, indiquent les potentialités nouvelles, attestent d’un renouveau social et politique.

« L’un des éléments marquants de ce renouveau, qui indiscutablement y contribue, renvoie aux relations entre votre parti et le nôtre. Nous nous retrouvons de plus en plus souvent au coude à coude dans les luttes, et la campagne unitaire contre le traité constitutionnel européen a été un moment fort de ce renouveau démocratique. [...] La LCR est ainsi signataire de la pétition unitaire contre le CPE et partie prenante de la « structure de liaison » pour organiser, à gauche, la riposte commune à la droite. Ses militants participent à la construction de collectifs unitaires contre le CPE et le projet de loi Sarkozy sur l’immigration.

Alternative anticapitaliste

« Il faut mettre un coup d’arrêt à la politique de la droite, chasser le gouvernement, aujourd’hui par les mobilisations, ou, en 2007, au profit d’une alternative antilibérale conséquente, donc anticapitaliste, et pas d’une nouvelle alternance sociale-libérale. Pour la LCR, les exigences portées depuis des années dans les mouvements de grève et la campagne du « non » de gauche tracent les voies d’une claire rupture avec les politiques libérales et les orientations sociales-libérales du PS, réaffirmées lors de son congrès et dans ses récentes propositions de nouvelles baisses des « charges » des patrons pour favoriser l’emploi des jeunes.

« Depuis plusieurs mois, nous avons agi pour l’unité dans l’action et engagé le débat et les rencontres pour une telle perspective qu’attendent, notamment, les militants investis dans la campagne et les collectifs du 29 mai. La LCR mène activement le débat sur cette question avec tous les militants et courants présents dans les collectifs du 29 mai, et avec le Parti communiste, notamment au sein des groupes de travail sur le programme d’une alternative, qui sont en train de se mettre en place entre nos deux organisations.

« De notre point de vue, des obstacles se présentent malheureusement dans cette voie unitaire. Et ceci, en particulier, avec votre souhait de rassembler la gauche du « oui » et celle du « non » sur un programme antilibéral, alors même que le PS vient de réaliser sa synthèse, sous la houlette d’une direction acquise au social-libéralisme. La lutte pour un rassemblement antilibéral et anticapitaliste est incompatible avec la recherche d’accords gouvernementaux ou parlementaires sur une telle orientation.

Deux gauches

« Il y a vraiment « deux gauches », « deux orientations inconciliables », l’une de soumission aux intérêts capitalistes, l’autre de résistance. Cette dernière implique de mener une politique correspondant aux besoins sociaux sans craindre de s’affronter aux intérêts patronaux. Cela impliquerait, pour un gouvernement, des choix radicaux en matière économique et institutionnelle, qui permettraient la mobilisation des travailleurs pour imposer leurs choix car, nous le savons tous, les résistances réactionnaires seront fortes et déterminées.

« Votre participation à la réunion du 8 février de toute la gauche vient le confirmer. Cette réunion n’avait pas pour objectif principal l’union des forces de gauche face à la droite qui, nous vous le répétons, ne nous pose aucun problème. Mais bien d’amorcer, comme l’exprimait clairement François Hollande, la mise en route d’une nouvelle mouture de l’Union de la gauche à vocation gouvernementale. Certes, vous voulez faire pression sur le Parti socialiste pour qu’il rompe avec le social-libéralisme. Aujourd’hui, la direction du PS, dans la continuité de la politique qui a été menée par le gouvernement Jospin entre 1997 et 2002, assume sa conversion au capitalisme libéral qu’il entend, bien démagogiquement, « tempérer ». Sa principale prétendante à l’élection présidentielle vante la politique de Tony Blair comme modèle pour les socialistes français. Comment pouvez-vous à la fois préparer l’alternance avec la direction du PS et œuvrer aux regroupements des antilibéraux conséquents ? C’est inconciliable. Un choix est à opérer.

« Beaucoup regardent vers les forces politiques, syndicales, altermondialistes, mobilisées dans l’unité (en particulier dans les collectifs du 29 mai) pour le combat antilibéral et anticapitaliste lors de la campagne contre le traité constitutionnel européen, et souhaitent que nous puissions être tous unis, y compris lors des élections à venir. Cet espoir est légitime et nous le partageons. Surmonter les obstacles « Ce n’est pas, pour nous, une question de personne. Que le PCF pense que la candidature de Marie-George Buffet « soit un atout » est légitime, tout comme la LCR est fondée à penser qu’elle peut avoir aussi une bonne candidature. C’est une question de contenu. Nous devons construire un rassemblement unitaire sur la base d’une alternative au libéralisme, d’un programme anticapitaliste reprenant des mesures d’urgence sociales et démocratiques, d’un refus de toute alliance gouvernementale ou parlementaire avec les sociaux-libéraux, d’une perspective de transformation radicale de la société sur la base de mobilisations populaires.

« Personne ne peut se résigner à la situation présente. Beaucoup dépend de votre congrès pour surmonter les obstacles, en choisissant la voie de la rupture avec le social-libéralisme, en particulier celle de la direction du PS, et en œuvrant avec nous à l’unité des forces antilibérales et anticapitalistes, y compris par des candidatures unitaires en 2007.

« Nous continuerons à œuvrer pour lever les obstacles à la présentation de telles candidatures aux échéances de 2007, associant largement les courants et les militants partie prenante de la victoire du 29 mai, notamment ceux du PCF et de la LCR, et, au-delà, des milliers de militants qui combattent, jour après jour, les méfaits du capitalisme.

« Nous aurons la possibilité de confronter et d’éclairer nos divergences à travers les discussions qui ont lieu entre nos directions, les groupes de travail que nous avons décidé de mettre en place, mais aussi par les discussions et confrontations nées de l’action commune entre nos militants. Il y a là, déjà, un progrès considérable dont nous nous félicitons. Au-delà, le choix de l’unité se ferait au bénéfice de cette alternative, dont la jeunesse et les travailleurs ont besoin, et qui s’est déjà tant fait attendre ! « Tous ensemble !

Le 9 mars 2006 »
mael.monnier
 
Message(s) : 0
Inscription : 12 Nov 2003, 16:16

Message par artza » 24 Mars 2006, 11:46

Il est quand même dommageable et d'abord pour la LCR elle-même qu'elle s'évertue à laisser espérer que la direction du PC puisse être autre chose que des candidats à la gestion docile des intérêts de la bourgeoisie.

Le passé récent le montre par la participation de ministres PC à presque tout les gouvernements du PS.

Le présent le confirme tous les dirigeants du PC au-delà de leurs divergences tactiques ou formelles et des ambitions personnelles n'envisagent aucun autre avenir qu'une victoire électorale de la gauche et la formation d'un gouvernement de gauche identiques aux précédents.

Affirmer qu'il y a deux gauches ne recoupent aucune réalité tout au plus des positionnements de tactique électorale. Une division du travail pour ratisser large dans l'électorat.
De Strauss-Kahn à M-G. Buffet en passant par Voynet et Melanchon il n'ya pas de solution de continuité.

Certes il est nécessaire de s'adresser aux militants du PC comme aux électeurs de gauche. Encore faut-il ne pas le faire sur le terrain de leurs dirigeants menteurs en confortant leurs illusions.

Les mêmes joueurs de boneteau veulent nous refaire les poches... lire la suite ci-dessous...
artza
 
Message(s) : 2525
Inscription : 22 Sep 2003, 08:22

Précédent

Retour vers Politique française

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 6 invité(s)

cron