(Ottokar @ lundi 26 février 2007 à 07:09 a écrit : je le suis ! d'autant que j'ai du mal à comprendre cette intervention. Oeillets accuse qui d'avoir "baissé la culotte" en 2002 ? pas LO en tout cas, on le lui a assez reproché. Et puis ce n'est pas le débat.
Pour en revenir à l'action anti-FN, si la montée de ce dernier est parallèle au déclin du mouvement ouvrier, c'est le mouvement ouvrier qu'il faudrait reconstruire, pas les manifs anti-Le Pen, qui ont le défaut d'ancrer dans la tête des gens que le FN est le mal absolu, et qu'il faut tout faire pour lui barrer la route. Bien sûr qu'il faut lui barrer la route, mais si on ne dit que cela, c'est l'épouvantail, les délires de 2002. Ou même l'attitude d'une partie de l'électorat de gauche aujourd'hui qui est prête à voter tout sauf Sarko pour les mêmes raisons. Alors que la montée de Le Pen s'est fait en bonne part sur la déception de l'électorat de gauche vis-à-vis de sa politique.
je ne visais pas LO qui a fait ce qui etait naturel de faire .....
mais maintenant une simple hypothese : SEGO-LE PEN au deuxième tour ? Que feriez - vous ? Moi , perso , j'irais à la pêche ....car , on est vraiment à des années - lumière de la situation des années 30 en ALLEMAGNE ( TROSTKY préconisait le front unique communistes-socialistes allemands face à la menace nazie )
(Tchen @ lundi 26 février 2007 à 09:10 a écrit : " Pendant le mouvement contre le CPE, on a vu sur Paris des poignées non-négligeables de militants fascistes, casqués et armés s'en prendre au cortège, aux piquets de grève, aux manifestants. Ca ne s'était pas vu depuis belle lurette."
Alors là tu exagères totalement!!! A ma connaissance il n' y a eu aucune attaque de manif par des groupes d'extrême droite "casqués et armés", c'est du fantasme pur et simple!
(Tchen @ mardi 27 février 2007 à 12:41 a écrit : La sorbonne a été fermé par les autorités afin qu'il n'y est plus d'AG qui s'y déroule, ça n'a rien à voir! Les grilles ils les auraient installé quoi qu'il arrive
a écrit :Les incidents se sont ensuite poursuivis en plusieurs points du Quartier Latin, non seulement avec la frange la plus radicale des étudiants et des lycéens, mais également avec une centaine de manifestants d'extrême-droite venus faire le coup de poing contre les protestataires anti-CPE. Ces derniers brandissaient une banderole sur laquelle était écrit «parasites, hors des facs!» et ont distribué des tracts signés de la «fédération des étudiants contre le travail perturbé». «Les gauchos hors des facs» scandaient les uns.
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