1ère source: un site -islamogauchiste je suppose- hollandais:
a écrit :http://radio.weblogs.com/0116902/2006/05/12.html#a4337
"Dutch MP Ayaan Hirsi Ali has admitted she lied to the immigration authorities in the early 1990s in order to obtain political asylum in the Netherlands. The Dutch TV programme Zembla has established that, rather than fleeing the violence and warfare in her land of origin Somalia, as she claimed, she spent more than ten years in reasonable comfort in Kenya before applying for asylum first in Germany and then in the Netherlands. She said she lied because she was afraid of being turned down a second time.
However, she told the leadership of the conservative VVD party the true story when she applied to become a VVD candidate in 2002. The party has confirmed this. Apparently, fellow VVD member Immigration Minister Rita Verdonk recently told her that, if she had been minister at the time and had known the truth, she would have had Ms Hirsi Ali deported."
Her real name is Ayan Hirsi Magan. She lied about her date of birth, her story as a war refugee, her family, the 'threats' from her family, the 'persecution', her personal history. In short, she is indeed the calculated and manipulative woman with a personal agenda many have accused her of. As a right-wing neocon she relies on lies, wealth and power. She is a completely unreliable person.
She was not forced to marry. She even left her husband without any consequences at all. There were no threats from her family, no revenge.
From the age of 7 she lived in Kenya (the family left Somalia before the civil war) and received a free education from the UNHCR. The Islamic school she attended was the best in the country. She lived in a relatively prosperous part of Nairobi and had a room to herself.
To secure for herself a promising career she besmirched her family and the Islamic background that gave her a good education. She deliberately painted a black picture of Islam that she never experienced as such, only to profit from it. The Dutch party she is an mp for, the VVD, knew she had lied. They used her in their anti-Islamist and anti-left campaign. And Ayan Hirsi 'Ali' presented the world with a fancy story it very much liked to hear.
11:41:25 AM trackback [0]
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Libération et France 2; Vous remarquerez la classe du PArti Conservateur, ils savaient cette histoire dès 2002 mais maintenant qu'elle a éclaté, ils la balancent comme une mal propre. Les conservateurs hollandais sont ingrats mais les néocons américains l'accueillent:
a écrit :Pays-Bas : Ayaan Hirsi Ali en partance pour les Etats-Unis
Accusée d'avoir menti pour obtenir la nationalité néerlandaise, la député d'origine somalienne, devenue le symbole de la lutte contre l'islam radical aux Pays-Bas, devrait annoncer son départ Outre-Atlantique.
par Sabine Cessou
LIBERATION.FR : mardi 16 mai 2006 - 13:35
Amsterdam, de notre correspondante
“Sainte Ayaan”, le documentaire sur la vie de Ayaan Hirsi Ali produit par la télévision nationale et diffusé le 11 mai, a débouché sur une feuilleton politique inattendu. Après les révélations faites par cette émission sur les mensonges de cette députée d'origine somalienne pour obtenir l'asile politique aux Pays Bas, Rita Verdonk, la ministre de l'Intégration, a remis lundi soir en question la nationalité néerlandaise de sa camarade du Parti de la liberté et de la démocratie (VVD, conservateur). Elle lui a téléphoné pour lui indiquer les conclusions d'une enquête préliminaire lancée le 13 mai : elle pourrait bien n'avoir jamais été naturalisée, dans la mesure où elle a menti sur son nom, son âge et son lieu de résidence, en 1992, à son arrivée aux Pays-Bas.
Devenue aux Pays Bas une icône de la lutte contre l'islam radical, Ayaan Hirsi Ali a six semaines pour se défendre devant la justice. Elle pourrait toutefois choisir de prendre la tangente. Selon un entretien publié mardi dans le New York Times, elle aurait décidé d'abandonner son siège parlementaire et de partir aux Etats Unis. Une décision qu'elle devait annoncer lors d'une conférence de presse.
L'extrême fermeté de Rita Verdonk a étonné jusque dans les rangs du VVD. Une réunion d'urgence du leadership des conservateurs s'est tenue lundi après-midi, au cours de laquelle il avait été demandé à Rita Verdonk de temporiser. Sa détermination pourrait bien jouer contre elle, dans la lutte qui l'oppose à Mark Rutte pour la présidence du parti. «Je suis furieux contre Rita Verdonk et son empressement, a réagi ce matin le député conservateur Bibi de Vries, dans les colonnes du quotidien De Volkskrant. Si quelque chose arrive à Hirsi Ali, les responsables du VVD auront du sang sur les mains». Beaucoup, cependant, se disent indifférents quant à l'avenir de cette proche de Theo van Gogh, cinéaste assassiné le 2 novembre 2004 par un islamiste morocco-néerlandais. «Son départ ne sera pas une grande perte», estime Hans Wiegel, ancien président du VVD. Le Groupe de contact entre musulmans et gouvernement (CMO), lui, s'en réjouit ouvertement. «Les critiques incessantes d'Ayaan Hirsi Ali contre l'islam ont fait beaucoup de dégâts», affirme Jasr Noemman, son secrétaire.
CITATION
Ayaann Hirsi Ali démissionne et part des Pays-Bas
Publié le 16/05 à 14:54
Ayaann Hirsi Ali, députée néerlandaise d'origine somalienne, a annoncé sa démission et son départ des Pays-Bas
- Ayaan Hirsi Ali. -
Ayaan Hirsi Ali.
La députée libérale, connue pour ses virulentes critiques de l'islam, est au coeur d'une polémique pour avoir menti afin d'obtenir l'asile politique en 1992.
Selon des médias néerlandais, Ayaann Hirsi Ali devrait s'installer aux Etats-Unis où elle a trouvé un emploi à l'American Entreprise Institute, centre de recherches proche du gouvernement Bush.
"Aujourd'hui, je quitte mon mandat au parlement. Je quitte les Pays-Bas. Je vais faire mes bagages, triste et soulagée", a déclaré Ayaan Hirsi Ali, lors d'une conférence de presse à La Haye.
La jeune femme, qui elle même a reçu de nombreuses menaces de mort, avait déclaré dans une interview du New York Times qu'elle abandonnerait son mandat parlementaire et allait accélérer son départ déjà prévu des Pays-Bas.
Elle pourrait être privée de sa nationalité néerlandaise obtenue en 1997, a déclaré lundi soir la ministre de l'Immigration, Rita Verdonk.
L'affaire a éclaté la semaine dernière après un documentaire de la télévision publique retraçant son parcours d'exilée politique.
Le film mentionnait ce qu'Ayaan Hirsi Ali avait déjà évoqué plusieurs fois elle-même: lorsqu'elle est arrivée aux Pays-Bas en 1992, elle a menti en remplissant le document de demande d'asile, admettant avoir donné un faux nom et une fausse date de naissance.
Elle aurait aussi qu'elle fuyait directement la guerre en Somalie alors qu'elle arrivait du Kenya, où elle vivait avec sa famille et bénéficiait d'un statut de réfugiée. La députée a indiqué au New York Times qu'elle avait fui pour échapper à un mariage forcé, ce que nie sa famille.
"Maintenant, je suis critiquée pour avoir menti mais cela fait des années que je l'ai avoué", a-t-elle ajouté.
Elle se définit comme une "dissidente de l'islam" qui critique les enseignements islamiques sur les femmes, les homosexuels, les apostats et les adultères.
Ayaann Hirsi Ali est la scénariste de Submission, film critiquant l'islam et réalisé par Theo Van Gogh. Ce cinéaste a été assassiné à Amsterdam en novembre 2004. Sur son corps, son assassin avait planté une note où il menaçait Ayaan Hirsi Ali de subir le même sort.
Après cet assassinat, la députée s'était réfugiée aux Etats-Unis. A son retour, elle avait emménagé dans un appartement de l'Etat néerlandais sous haute protection situé à La Haye.