Faber, sur Harpo :
«On ne peut être en désaccord avec cela.»
et Harpo, sur Cyrano :
«A peu près d'accord sur tout avec Cyrano».
Harpo semble avoir trouve le ton, non pas pour nous mettre d'accord, mais pour que on puisse sortir du ton exécrable qui s'est instauré dans cette discussion.
Alors, qu'on ne soit pas d'accord sur la caractérisation des groupes de jeunes qui zonent actuellement dans les banlieues, oui, etc. et patati-patata, oui, mais je veux bien signer la conclusion du message de faber :
«sans emballement, on peut quand même considérer qu'il y a un soubressaut dans l'actualité qui mérite de bouleverser nos habitudes.»
On est sûr d'une chose : que ces groupes de jeunes soient selon moi et d'autres des [biiip. censuré] ou alors selon d'autres, des [biiip ! censuré], une chose est sûre : ça n'est pas apparu par mutation génétique. Et je crois bien comprendre que les causes sociales ne sont niées par personne, que ces causes sociales aient produit des [biip…] ou des [biiip]…
Il n'y a qu'à voir l'écho fait à ces évènements, les discussions à la radio, la télé, pour se dire que, peut être, nos habitudes vont être dérangées.
Comment ?
On peut, peut-être essayer d'en discuter sans assimiler la position des uns à du sarkosisme primaire, la positions des autres à de l'aventurisme primaire - sans renier nos idées personnelles.