A mon avis le principale probleme lorsque l'on parle de liberation nationale, c'est quelle classe sociale en prend la tete, et dans le cas ou c'est la classe ouvriere ou plus exactement l'organisation independante de la classe ouvriere qui prend la direction de ce combat et bien il s'agit aussi de s'assurer que cette derniere passe bien la corde au cou de sa propre bourgeoisie avant de mener un quelconque combat.
C'est a mon humble avis la que peche la politique de la LCR
Si ces conditions ne sont pas remplies alors aucune chance d'arriver au socialisme. Voirce qui s'est passe en Chine en 1927
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Pays Basque...
par Valiere » 16 Août 2004, 14:38
Quelqu'un a parlé d'auto détermination, je suis pour...
Je ne pense pas que l'internationalisme prolétarien soit compatible avec l'idée que chaque région soit déterminée en termes politiques et culturels par ses primo arrivants...Bon si on me dénie le droit de me revendiquer du trotskisme... Chacun est libre de ses caractérisations...IL FAUT PROUVER OU DEMONTRER
Je ne pense pas que l'internationalisme prolétarien soit compatible avec l'idée que chaque région soit déterminée en termes politiques et culturels par ses primo arrivants...Bon si on me dénie le droit de me revendiquer du trotskisme... Chacun est libre de ses caractérisations...IL FAUT PROUVER OU DEMONTRER
- Valiere
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- Inscription : 07 Mars 2004, 22:35
par youri » 16 Août 2004, 15:28
Je suis d'accaord avec vous , c'est d'ailleurs ce que j'ai dit à plusieurs reprises dans ce fil ... Pour moi une libération nationale dirigée par une bourgeoisie ça ne mène à pas grand chose ... Juste à abolir l'opression spécifique en tant que peuple mais si l'opression économique ne disparait pas ben la classe ouvrière n'y aura pas gagné grand chose
Les luttes de libération nationales doivent être socialistes
Les luttes de libération nationales doivent être socialistes
- youri
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- Inscription : 06 Août 2004, 16:05
par Satorra » 16 Août 2004, 15:45
Les interets des ouvriers basques est d'etre libres et ne former part d'un etat etranger qui occupe son terrain. Et le pays basque ne peut pas se "detacher" parce que les gouvernements (et les peuples) espagnol et francais ne les laissent pas.
Et alors ¿Y a t'il une comunauté d'interets entre les femmes bourgoises y les femmes ouvrieres pour empecher que ser maris (patrons et ouvriers) ne les cassent pas la figure?
Et il n'y a pas des interets pour les ouvriers basques, dans une population de 2'5 millions, de n'avoir pas 800 prissoniers politiques (la plupart de la classe ouvriere), plus de 10.000 torturés (la plupart de la classe ouvriere), l'unique journal en langue basque interdit et fermé (la plupart des lecteurs de la classe ouvriere), 40 ans de fascisme, le principal parti de gauche interdit ...
Et Gipsy, quand on parle de liberation nationale, le principale probleme est que il y a une opresion nationale. Un autre probleme (tres petit) est qú'il peut avoir des sectes que veulent ce qu'ils voudront sans lutter contre cette opresion. Par fortune, pas toute la gauche est ainsi, sinon tous les peuples oprimés seraient a droite, puisque la gauche ne serait pas dans ce combat et jamais pourrait prendre sa direction.
Et on est pas en train de parler des frontieres (meme si jusqu'a 1993 il y avait une frontiere qui separait le pays basque entre deux puissances etrangeres). On parle du droit a se developper en comunauté, frontieres deja iln'y a pas dans la UE (et je crois qu'il n'y aura pas dans les EUSE).
Pour finir, Valerie, personne ne témpeche pas de te definir comme troskiste. Ce que je dis ce que les courants politiques au pays basque qui ne luttent pas contre l'opresion nationale sont objectivement de droite. Et que l'imperialisme espagnol et francais est majoritaire dans la gauche reformiste espagnole ou francaise. On va les oposser dans cet subject ou on va les appuyer comme quelques sectes autodenominés troskistes?
Et alors ¿Y a t'il une comunauté d'interets entre les femmes bourgoises y les femmes ouvrieres pour empecher que ser maris (patrons et ouvriers) ne les cassent pas la figure?
Et il n'y a pas des interets pour les ouvriers basques, dans une population de 2'5 millions, de n'avoir pas 800 prissoniers politiques (la plupart de la classe ouvriere), plus de 10.000 torturés (la plupart de la classe ouvriere), l'unique journal en langue basque interdit et fermé (la plupart des lecteurs de la classe ouvriere), 40 ans de fascisme, le principal parti de gauche interdit ...
Et Gipsy, quand on parle de liberation nationale, le principale probleme est que il y a une opresion nationale. Un autre probleme (tres petit) est qú'il peut avoir des sectes que veulent ce qu'ils voudront sans lutter contre cette opresion. Par fortune, pas toute la gauche est ainsi, sinon tous les peuples oprimés seraient a droite, puisque la gauche ne serait pas dans ce combat et jamais pourrait prendre sa direction.
Et on est pas en train de parler des frontieres (meme si jusqu'a 1993 il y avait une frontiere qui separait le pays basque entre deux puissances etrangeres). On parle du droit a se developper en comunauté, frontieres deja iln'y a pas dans la UE (et je crois qu'il n'y aura pas dans les EUSE).
Pour finir, Valerie, personne ne témpeche pas de te definir comme troskiste. Ce que je dis ce que les courants politiques au pays basque qui ne luttent pas contre l'opresion nationale sont objectivement de droite. Et que l'imperialisme espagnol et francais est majoritaire dans la gauche reformiste espagnole ou francaise. On va les oposser dans cet subject ou on va les appuyer comme quelques sectes autodenominés troskistes?
- Satorra
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par Satorra » 16 Août 2004, 19:47
Je milite dans le SU au Pays Basque (a Bilbao, concretement).
Mais comme j'ai mis dans un autre post, les militants/sympas du SU sommes en train de nous rasembler avant le fin de l'annee. Maintenant, la moitié sont a Zutik, des autres independents dans les mouvements sociaux, un petit group est dedans/dehors de la Gauche Unie basque et un autre petit group est en Batasuna. Mais, la situation est dans une rapide (et mauvaise) evolution. Alors, on va essaier de faire un rasemblement de tous ces militants, en respectant l'organization dans chaq'un travaille. Je ne crois pas que cet rasemblement sera un parti, mais c'est possible (ca depend des relations avec la majorité de Zutik). On peut parler de environ 200/300 militants. Ce n'est pas mal, meme si nous ne sommes pas les 700 que nous etions dans le 1978.
Mais comme j'ai mis dans un autre post, les militants/sympas du SU sommes en train de nous rasembler avant le fin de l'annee. Maintenant, la moitié sont a Zutik, des autres independents dans les mouvements sociaux, un petit group est dedans/dehors de la Gauche Unie basque et un autre petit group est en Batasuna. Mais, la situation est dans une rapide (et mauvaise) evolution. Alors, on va essaier de faire un rasemblement de tous ces militants, en respectant l'organization dans chaq'un travaille. Je ne crois pas que cet rasemblement sera un parti, mais c'est possible (ca depend des relations avec la majorité de Zutik). On peut parler de environ 200/300 militants. Ce n'est pas mal, meme si nous ne sommes pas les 700 que nous etions dans le 1978.
- Satorra
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