"Le NPA peine à trouver ses signatures" (Le Monde)

[logan]

Absolument pas ! Il y a de la place pour tout le monde, côté signatures comme côté voix. En 2012, nous avions eu un peu plus de 500 parrainages chacun, rien de trop donc. Cela laisse 35 à 40 000 maires, conseillers généraux, etc. qui pouvaient disposer de leur parrainage. Les parrainages recueillis par l'un n'empêchent donc pas l'autre de les trouver... s'il a la volonté de les chercher !
C'est pareil pour les voix : certains votent pour l'un ou l'autre, selon celui qui est là, mais d'autres votent pour l'un sans voter pour l'autre (et réciproquement ). La multiplicité ne gêne pas, puisque ce n'est pas ce qui va nous empêcher d'être élus. Autant que chacun fasse la campagne qu'il veut, en étant à l'aise. Nous additionnerons ensuite les voix de "l'extrême gauche"... sans les confondre avec celles de Mélenchon.

1. Sur le NPA en concurrence avec LO, je ne faisais que citer Hardy
2. Si nous pouvons additionner "les voix de "l'extrême gauche", pourquoi se présenter seul ?

[artza]

Hardy qui a souhaité qu'on ne le cite pas.

Comme souvent (toujours) cette "citation" est hors contexte.
Pour aller un peu plus avant, il y a entre le NPA et LO bien autre chose que de la "concurrence" mais différence de projet et de méthode.
Ce qui n'empêche qu'il y ait ici où là, de temps à autres suivant les circonstances convergences.
Sans oublier l'estime pour des militants qui la méritent.

Dans cette campagne la différence est audible, et quelques points communs le sont aussi.
Alors on comptera séparément et si ça a un sens ce qui dépend du résultat des uns ou des autres on additionnera.

Chaque élection est différente, impose jusqu'à un certain point des attitudes différentes.
On peut lire Lénine à ce sujet.