(Oscarine @ lundi 12 juin 2006 à 20:16 a écrit :
Excellent :07:
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Noir dessins!
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par Oscarine » 23 Juin 2006, 16:45
Bien le bonjour, à Urriko et à Roudoudou,
pour leurs encouragements.
Hommage à Raymond Devos par oscar.
Je suis un fan de l’humoriste de la quatrième
dimension des mots.
Incroyable, manipulateur du sens propre
comme du sens figuré
Où, à la fin de l’histoire se terminait
dans un délire surréaliste…
Sumo lunaire, jongleur de la syntaxe,
funambule du paradoxe.
Du jamais vu, ni entendu dans aucun
autres spectacle.
Dans une période difficile de ma vie,
j’ai souvent écouté avec délice
ce magicien de l’expression commune.
Un vrai bonheur ce Raymond !
Je me suis imbibé et inspirer de ces textes loufoques.
Une excellente thérapie contre les maux de la vie.
Devos abordait avec sensible subtilité
tous les problèmes de notre société.
Raymond faisait même un clin d’œil dans
ses sketchs, aux scientifiques.
En expliquant des théories sur la physique,
par des clownesques métaphores.
Exemple :
« Le bout d’un bout d’un bout de bois, explication
jubilatoire de l’infini ! »
Raymond Devos disait dans un de sketch :
« Il sait fait tout seul. »
« Bravo pour sa réussite et tout le bonheur
qu’il nous a donné en se produisant »
L’humoriste n’a pas choisi la facilité en pratiquant
un comique de beauf du pipi caca…
Sa carrière comme véritablement, par cette
anecdote vécue :
En 1955, acteur de théâtre dans la troupe
de Jacques Fabbri, après une représentation
il dîne dans un restaurant à Biarritz.
Devos déclare au garçon de café :
« J’aimerai bien voir la mer ! »
Le serveur répond : « Elle est démontée ! »
Devos inspiré enchaîne :
« Vous la remontez quand ? »
Raymond Devos venait découvrir dans
un dialogue banal.
Un nouveau concept d’humour branquignol
du dialogue de sourd…
Qui ensuite cela fera école avec la troupe des Deschiens
de Gérôme Deschamps…
Aujourd’hui, « Le dialogue de sourd » se pratique
sur tous les fronts de notre mascarade société.
Nous appelons cela « la langue de bois »
qu’affectionnent particulièrement nos politiques.
Devos a construit toute sa carrière d’humoriste
en racontant des histoires « pour ne rien dire. »
Oui, mais il avait cet extraordinaire talent,
de stimuler nos neurones, pour tenter de nous
empêcher de nous endormir debout.
Tout l’inverse des arrogants charlatans démagogues
qui nous gouvernent…
Oscar.
pour leurs encouragements.
Hommage à Raymond Devos par oscar.
Je suis un fan de l’humoriste de la quatrième
dimension des mots.
Incroyable, manipulateur du sens propre
comme du sens figuré
Où, à la fin de l’histoire se terminait
dans un délire surréaliste…
Sumo lunaire, jongleur de la syntaxe,
funambule du paradoxe.
Du jamais vu, ni entendu dans aucun
autres spectacle.
Dans une période difficile de ma vie,
j’ai souvent écouté avec délice
ce magicien de l’expression commune.
Un vrai bonheur ce Raymond !
Je me suis imbibé et inspirer de ces textes loufoques.
Une excellente thérapie contre les maux de la vie.
Devos abordait avec sensible subtilité
tous les problèmes de notre société.
Raymond faisait même un clin d’œil dans
ses sketchs, aux scientifiques.
En expliquant des théories sur la physique,
par des clownesques métaphores.
Exemple :
« Le bout d’un bout d’un bout de bois, explication
jubilatoire de l’infini ! »
Raymond Devos disait dans un de sketch :
« Il sait fait tout seul. »
« Bravo pour sa réussite et tout le bonheur
qu’il nous a donné en se produisant »
L’humoriste n’a pas choisi la facilité en pratiquant
un comique de beauf du pipi caca…
Sa carrière comme véritablement, par cette
anecdote vécue :
En 1955, acteur de théâtre dans la troupe
de Jacques Fabbri, après une représentation
il dîne dans un restaurant à Biarritz.
Devos déclare au garçon de café :
« J’aimerai bien voir la mer ! »
Le serveur répond : « Elle est démontée ! »
Devos inspiré enchaîne :
« Vous la remontez quand ? »
Raymond Devos venait découvrir dans
un dialogue banal.
Un nouveau concept d’humour branquignol
du dialogue de sourd…
Qui ensuite cela fera école avec la troupe des Deschiens
de Gérôme Deschamps…
Aujourd’hui, « Le dialogue de sourd » se pratique
sur tous les fronts de notre mascarade société.
Nous appelons cela « la langue de bois »
qu’affectionnent particulièrement nos politiques.
Devos a construit toute sa carrière d’humoriste
en racontant des histoires « pour ne rien dire. »
Oui, mais il avait cet extraordinaire talent,
de stimuler nos neurones, pour tenter de nous
empêcher de nous endormir debout.
Tout l’inverse des arrogants charlatans démagogues
qui nous gouvernent…
Oscar.
- Oscarine
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- Inscription : 22 Fév 2005, 19:19
par Oscarine » 24 Juin 2006, 08:49
LE PARADIS EST-IL COMIQUE ?
Je ne sais pas, si vous avez remarquer nos comiques
Français, ne font pas de vieux os.
Tenter de faire mourir de rire nos contemporains,
démoralisés, désabusés se révèle être un exercice
difficile et même tuant pour nos artistes.
Après la mort de Pierre Dac, Bourvil, Fernandel,
Fernand Reynaud, Coluche, Louis De Funes,
Thierry Le luron, Jean Yanne, puis Jacques Villeret…
et maintenant le doyen des humoristes Raymond Devos.
Si le paradis existe véritablement nos comiques
de talent doivent bien s’amuser entre eux…
Et, si par hasard Dieu existait ?…
C’est qu’il doit terriblement s’ennuyer ?
Il n’arrête pas de solliciter des rappels…
Serait-il un spectateur égoïste ?
Qu’il cesse ses sorties de scènes abusives,
et délocalisations arbitraires, de nos artisans du rire…
Dieu devrait plutôt rejouer aux dès, avec
le père Einstein, pour se changer les idées…
Le monde d’en bas à terriblement besoin de distractions.
Pour échapper au quotidien, de l’affreuse routine
des contraintes.
Parait-il que c’est les meilleurs, qui s’en vont les premiers !
Raymond Devos expliquait que l’instrument
qui symbolise le plus la politique est un petit accordéon miniature
« Instrument de l’alternance » par excellence :
Quand on appuie à droite, ça souffle à gauche!
Quand on appuis à gauche, ça siffle à droite!
A l’intérieur, au milieu c’est du vent...
Maintenant, je comprends mieux, pourquoi que
les hommes Politiques vivent plus longtemps, parce
qu’ils nous volent toute notre oxygène de liberté.
Amicalement à tous Oscar…
Je ne sais pas, si vous avez remarquer nos comiques
Français, ne font pas de vieux os.
Tenter de faire mourir de rire nos contemporains,
démoralisés, désabusés se révèle être un exercice
difficile et même tuant pour nos artistes.
Après la mort de Pierre Dac, Bourvil, Fernandel,
Fernand Reynaud, Coluche, Louis De Funes,
Thierry Le luron, Jean Yanne, puis Jacques Villeret…
et maintenant le doyen des humoristes Raymond Devos.
Si le paradis existe véritablement nos comiques
de talent doivent bien s’amuser entre eux…
Et, si par hasard Dieu existait ?…
C’est qu’il doit terriblement s’ennuyer ?
Il n’arrête pas de solliciter des rappels…
Serait-il un spectateur égoïste ?
Qu’il cesse ses sorties de scènes abusives,
et délocalisations arbitraires, de nos artisans du rire…
Dieu devrait plutôt rejouer aux dès, avec
le père Einstein, pour se changer les idées…
Le monde d’en bas à terriblement besoin de distractions.
Pour échapper au quotidien, de l’affreuse routine
des contraintes.
Parait-il que c’est les meilleurs, qui s’en vont les premiers !
Raymond Devos expliquait que l’instrument
qui symbolise le plus la politique est un petit accordéon miniature
« Instrument de l’alternance » par excellence :
Quand on appuie à droite, ça souffle à gauche!
Quand on appuis à gauche, ça siffle à droite!
A l’intérieur, au milieu c’est du vent...
Maintenant, je comprends mieux, pourquoi que
les hommes Politiques vivent plus longtemps, parce
qu’ils nous volent toute notre oxygène de liberté.
Amicalement à tous Oscar…
- Oscarine
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par Oscarine » 24 Juin 2006, 18:19
Un sketch détourné de Raymond Devos
Jospin sur un mur !
Je viens de lire un graffiti, sur un mur…
Une chose étonnante !
Quelqu’un avait écrit en gros caractère :« Jospin revient ! »
Je n’ai pas rêvé!
C’était écrit en toutes lettres : « Jospin revient ! »
Vous vous rendez compte Jospin !
C’est important, c’est un ancien leader du Parti Socialiste,
quand même !
Et les gens passaient à coté du graffiti complètement indifférents.
« Tiens !...Remarque un passant Jospin revient...
Bof !...Et alors ? »
Certains faisaient des réflexions désobligeantes,
Il a mis du temps pour réfléchir ce vieux trotskiste
à la retraite dans son île…
Bien sur, maintenant que toutes les réformes anti-sociales
sont passées part le gouvernement de droite.
Et pourtant, si Jospin ce frisé comme un mouton blanc,
revenait pour sauver les éléphants roses Parti Socialiste
qui risqueraient d’être marron à la prochaine élection présidentielle.
Et par la même occasion, Jospin dans un élan vitaliste inouï,
sortait la France de son profond marasme économique...
« Vous s'y croyez, vous, à son retour en politique? »
Mais non « messie » je vois bien que vous vous en moquer royalement,
comme Ségolène !
oscar
Jospin sur un mur !
Je viens de lire un graffiti, sur un mur…
Une chose étonnante !
Quelqu’un avait écrit en gros caractère :« Jospin revient ! »
Je n’ai pas rêvé!
C’était écrit en toutes lettres : « Jospin revient ! »
Vous vous rendez compte Jospin !
C’est important, c’est un ancien leader du Parti Socialiste,
quand même !
Et les gens passaient à coté du graffiti complètement indifférents.
« Tiens !...Remarque un passant Jospin revient...
Bof !...Et alors ? »
Certains faisaient des réflexions désobligeantes,
Il a mis du temps pour réfléchir ce vieux trotskiste
à la retraite dans son île…
Bien sur, maintenant que toutes les réformes anti-sociales
sont passées part le gouvernement de droite.
Et pourtant, si Jospin ce frisé comme un mouton blanc,
revenait pour sauver les éléphants roses Parti Socialiste
qui risqueraient d’être marron à la prochaine élection présidentielle.
Et par la même occasion, Jospin dans un élan vitaliste inouï,
sortait la France de son profond marasme économique...
« Vous s'y croyez, vous, à son retour en politique? »
Mais non « messie » je vois bien que vous vous en moquer royalement,
comme Ségolène !
oscar
- Oscarine
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par Oscarine » 26 Juin 2006, 11:10
« Pourquoi vous avez démissionné ? »
« Oui pourquoi ! »
Je me suis toujours demander pourquoi
il a démissionné…
(Le prisonnier numéro 6 du village de Patrick McGoohan)
Et pourquoi que les dirigeants du village,
ne cesse de lui poser cette récurant question ?
Aujourd’hui, je sais.
Parce que la grande interrogation du siècle
est bel et bien celle-là !
Dans notre monde terrorisé par le chômage
organisé.
Tout tourne autour du culte du travail et
de la réussite sociale.
Pourquoi avez-vous démissionné, parce
qu’il ne supportait plus l’infantilisante hiérarchie
des débiles chefaillons.
Qui après une réunion attrapaient comme
une grippe (pas encore aviaire)
Le virus de copie, des attitudes et la phraséologie
mimétique du grand boss…
Le Boss comme le numéro 2, c’était pourtant permis
de dire dans une réunion dites de concertation :
« Je pense pour vous tous ! »
Et personne dans l’assistance n’avait trouvé à redire
dans cette mascarade réunion.
Drôle de société coincée où la pensé unique,
le politiquement correct s’impose par la soumission
à l’autorité des nantis du système.
Oui, le prisonnier est un héros de fiction.
Il ne fait pas partie de la race des moutons,
ni des caniches des décideurs.
Nous sommes tous des numéros « imper et manque »
de chance, loin derrière l’incorruptible numéro 6…
Oscar
« Oui pourquoi ! »
Je me suis toujours demander pourquoi
il a démissionné…
(Le prisonnier numéro 6 du village de Patrick McGoohan)
Et pourquoi que les dirigeants du village,
ne cesse de lui poser cette récurant question ?
Aujourd’hui, je sais.
Parce que la grande interrogation du siècle
est bel et bien celle-là !
Dans notre monde terrorisé par le chômage
organisé.
Tout tourne autour du culte du travail et
de la réussite sociale.
Pourquoi avez-vous démissionné, parce
qu’il ne supportait plus l’infantilisante hiérarchie
des débiles chefaillons.
Qui après une réunion attrapaient comme
une grippe (pas encore aviaire)
Le virus de copie, des attitudes et la phraséologie
mimétique du grand boss…
Le Boss comme le numéro 2, c’était pourtant permis
de dire dans une réunion dites de concertation :
« Je pense pour vous tous ! »
Et personne dans l’assistance n’avait trouvé à redire
dans cette mascarade réunion.
Drôle de société coincée où la pensé unique,
le politiquement correct s’impose par la soumission
à l’autorité des nantis du système.
Oui, le prisonnier est un héros de fiction.
Il ne fait pas partie de la race des moutons,
ni des caniches des décideurs.
Nous sommes tous des numéros « imper et manque »
de chance, loin derrière l’incorruptible numéro 6…
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