Bon, ce fil est pour les poètes amateurs qui sont (peut-être) sur ce forum, qu'ils postent leurs poésies (de préférence à thème politique mais bon !)
J'ai créé ce fil parce que j'ai moi même une passion pour l'écriture de poèmes politiques (Maïakovski est mon idole :hinhin: ) et je me suis dit que je pouvais les "publier" ici...si ça vous plaît tant mieux, sinon tant pis, et si j'ai des "collègues" sur le forum hé bien j'en serai très heureux !
Donc je commence...
(EDIT : Si vous voulez polémiquer en long et en large sur les idées exprimées dans tel ou tel poème, SVP, envoyez moi un mail privé ou créez un nouveau sujet, histoire de ne pas détourner celui-ci...merci !
Par contre de petites critiques seraient les bienvenues :t3xla: )
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Une tribune pour les poètes
50 message(s)
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par tovarich1917 » 26 Mai 2004, 21:13
Octobre Rouge
Aux bolcheviks qui ont combattu et sont morts
Pour la Révolution d’Octobre.
Longtemps, trop longtemps, les damnés de la Terre
Vécurent en esclaves du capital exploiteur.
Mais dans la nuit apparut une lumière,
Et le Peuple eut, de connaître le bonheur,
Un espoir : Octobre Rouge.
A la suite du grand Marx, s'avança Lénine,
Avec lui, le Peuple marcha à la victoire.
Et dans la ville, dans l'usine, dans la mine,
L'ouvrier se leva et cria dans le noir
Un seul nom : Octobre Rouge.
C'était en Octobre à Pétrograd ; dans le froid
Un mois, une ville et un drapeau portèrent
Tous la même couleur pour aller au combat,
Et l'écarlate, le symbole du Prolétaire,
Triompha : Octobre Rouge.
La couronne tombe et le capital tremble,
La tyrannie et l'esclavage voient leur fin.
Et le Peuple, heureux, rit ; et il semble
Qu'il les a vaincus et qu'il est libre enfin,
Grâce à toi, Octobre Rouge.
Hélas, trahison ! Lénine meurt, et un infâme
Dont le nom honni ne sera pas prononcé,
De la Révolution a tué le cœur et l'âme
Et ce tyran odieux a osé te souiller,
Te bafouer, Octobre Rouge.
Révolution trahie, nazisme ou capital,
Sur la Terre, la noire tyrannie redescend,
Et pour les révoltés : la torture bestiale !
Mais lorsque le martyr meurt, encore on entend
Un murmure… Octobre Rouge…
Ils crachent sur ton nom, les chiens capitalistes,
Peux-tu les entendre, ces lâches, aboyer :
"Vous êtes stupides, vous, les Communistes !"
Mais le hurlement de ces bêtes enragées
N'atteint pas Octobre Rouge.
Ah ! Combien de Camarades assassinés ?
Combien de victimes du capital honni ?
De tous les braves qui ont osé se lever
Combien sont tombés sous les balles de nos ennemis
Les bourgeois, Octobre Rouge ?
Malgré eux, leur argent, leur police, leur armée,
Comme nos Camarades révoltés nous nous levons,
Nous te serons fidèles comme eux, qui sont tombés,
Et Drapeau Rouge en tête nous continuerons
Ta lutte, Octobre Rouge.
Notre combat est celui du peuple opprimé !
Que la masse se lève et fasse trembler la terre !
Unie pour le combat, contre lui assemblée,
Le capital trouvera l'Humanité entière
Derrière toi, Octobre Rouge !
La bête à notre assaut ne résistera point,
Cette fois le Drapeau Rouge flottera dans tout l'éther !
Et avec lui montera un cri : libres enfin !
Car le Communisme a vaincu, et sur la sphère
Triomphe Octobre Rouge.
Aux bolcheviks qui ont combattu et sont morts
Pour la Révolution d’Octobre.
Longtemps, trop longtemps, les damnés de la Terre
Vécurent en esclaves du capital exploiteur.
Mais dans la nuit apparut une lumière,
Et le Peuple eut, de connaître le bonheur,
Un espoir : Octobre Rouge.
A la suite du grand Marx, s'avança Lénine,
Avec lui, le Peuple marcha à la victoire.
Et dans la ville, dans l'usine, dans la mine,
L'ouvrier se leva et cria dans le noir
Un seul nom : Octobre Rouge.
C'était en Octobre à Pétrograd ; dans le froid
Un mois, une ville et un drapeau portèrent
Tous la même couleur pour aller au combat,
Et l'écarlate, le symbole du Prolétaire,
Triompha : Octobre Rouge.
La couronne tombe et le capital tremble,
La tyrannie et l'esclavage voient leur fin.
Et le Peuple, heureux, rit ; et il semble
Qu'il les a vaincus et qu'il est libre enfin,
Grâce à toi, Octobre Rouge.
Hélas, trahison ! Lénine meurt, et un infâme
Dont le nom honni ne sera pas prononcé,
De la Révolution a tué le cœur et l'âme
Et ce tyran odieux a osé te souiller,
Te bafouer, Octobre Rouge.
Révolution trahie, nazisme ou capital,
Sur la Terre, la noire tyrannie redescend,
Et pour les révoltés : la torture bestiale !
Mais lorsque le martyr meurt, encore on entend
Un murmure… Octobre Rouge…
Ils crachent sur ton nom, les chiens capitalistes,
Peux-tu les entendre, ces lâches, aboyer :
"Vous êtes stupides, vous, les Communistes !"
Mais le hurlement de ces bêtes enragées
N'atteint pas Octobre Rouge.
Ah ! Combien de Camarades assassinés ?
Combien de victimes du capital honni ?
De tous les braves qui ont osé se lever
Combien sont tombés sous les balles de nos ennemis
Les bourgeois, Octobre Rouge ?
Malgré eux, leur argent, leur police, leur armée,
Comme nos Camarades révoltés nous nous levons,
Nous te serons fidèles comme eux, qui sont tombés,
Et Drapeau Rouge en tête nous continuerons
Ta lutte, Octobre Rouge.
Notre combat est celui du peuple opprimé !
Que la masse se lève et fasse trembler la terre !
Unie pour le combat, contre lui assemblée,
Le capital trouvera l'Humanité entière
Derrière toi, Octobre Rouge !
La bête à notre assaut ne résistera point,
Cette fois le Drapeau Rouge flottera dans tout l'éther !
Et avec lui montera un cri : libres enfin !
Car le Communisme a vaincu, et sur la sphère
Triomphe Octobre Rouge.
- tovarich1917
- Message(s) : 0
- Inscription : 16 Déc 2003, 20:49
par tovarich1917 » 26 Mai 2004, 21:16
Vive La Révolution !
A la jolie fleur du mois de Mai,
L’héroïque dame d’Octobre,
Si belle drapée de rouge, sur les barricades,
A la Révolution.
Il n'est rien de si grand que la Révolution
C'est une oeuvre où le Peuple parvient à la victoire
Et notre âge est ingrat qui voit une telle gloire
S'il n'éprouve à Son triomphe une grande admiration
La grandeur de Sa cause n'est pas chose irréelle
Son chant et Ses fusils sont des tyrans la mort !
Sa parole et Sa voix, Son Drapeau Rouge dehors,
Rien ne peut résister à cette force immortelle !
Sa puissance et Sa gloire éblouissent les regards
Liberté est à sa tête, Elle est Son étendard
Et La fait reconnaître un miracle visible
En ce nombre infini de Justice, de Liberté
Qu'en dis-tu, Camarade ? Crois-tu qu'il soit possible
D'avoir du jugement, et de ne pas l'adorer ?
A la jolie fleur du mois de Mai,
L’héroïque dame d’Octobre,
Si belle drapée de rouge, sur les barricades,
A la Révolution.
Il n'est rien de si grand que la Révolution
C'est une oeuvre où le Peuple parvient à la victoire
Et notre âge est ingrat qui voit une telle gloire
S'il n'éprouve à Son triomphe une grande admiration
La grandeur de Sa cause n'est pas chose irréelle
Son chant et Ses fusils sont des tyrans la mort !
Sa parole et Sa voix, Son Drapeau Rouge dehors,
Rien ne peut résister à cette force immortelle !
Sa puissance et Sa gloire éblouissent les regards
Liberté est à sa tête, Elle est Son étendard
Et La fait reconnaître un miracle visible
En ce nombre infini de Justice, de Liberté
Qu'en dis-tu, Camarade ? Crois-tu qu'il soit possible
D'avoir du jugement, et de ne pas l'adorer ?
- tovarich1917
- Message(s) : 0
- Inscription : 16 Déc 2003, 20:49
par tovarich1917 » 26 Mai 2004, 21:18
L’Or
A tous ceux qui ont connu et connaissent la misère
Pour le profit des capitalistes exploiteurs.
Qu’est l’or ? Il est tout, il est maître, aujourd’hui !
Achetant, corrompant, exploitant, salissant…
De l’affreux capital, il est le favori !
Et le Prolétaire le paye de son sang…
Florin, écu, livre, billet vert, euro, franc,
Il a beaucoup de formes, mais c’est toujours lui !
Seul il émeut l’œil du riche ou du tyran,
L’or est du bourgeois l’existence et la vie !
L’or est leur métal, il est la matière noble,
Mais il est mou, faible, et n’a que son éclat.
Contre lui, empoignez les matières ignobles
Camarades avec elles, mettez l’or à bas !
Par le fil de l’acier, voilà l’or brisé,
Par le feu de la poudre, voilà l’or fondu,
Par la balle de plomb, voilà l’or déchiré,
Par les mains du Peuple, voilà l’or abattu !
Que s’écroulent les bourses, temples à sa gloire,
Que les bourgeois pleurent, gémissent – c’est leur fin !
Le capital est mort ! Nous avons la Victoire,
Et qu’est l’or, maintenant, Camarades ? Plus rien !
A tous ceux qui ont connu et connaissent la misère
Pour le profit des capitalistes exploiteurs.
Qu’est l’or ? Il est tout, il est maître, aujourd’hui !
Achetant, corrompant, exploitant, salissant…
De l’affreux capital, il est le favori !
Et le Prolétaire le paye de son sang…
Florin, écu, livre, billet vert, euro, franc,
Il a beaucoup de formes, mais c’est toujours lui !
Seul il émeut l’œil du riche ou du tyran,
L’or est du bourgeois l’existence et la vie !
L’or est leur métal, il est la matière noble,
Mais il est mou, faible, et n’a que son éclat.
Contre lui, empoignez les matières ignobles
Camarades avec elles, mettez l’or à bas !
Par le fil de l’acier, voilà l’or brisé,
Par le feu de la poudre, voilà l’or fondu,
Par la balle de plomb, voilà l’or déchiré,
Par les mains du Peuple, voilà l’or abattu !
Que s’écroulent les bourses, temples à sa gloire,
Que les bourgeois pleurent, gémissent – c’est leur fin !
Le capital est mort ! Nous avons la Victoire,
Et qu’est l’or, maintenant, Camarades ? Plus rien !
- tovarich1917
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- Inscription : 16 Déc 2003, 20:49
par tovarich1917 » 26 Mai 2004, 21:39
Bon je continue alors ! 
Utopie et Réalité
A tous ceux qui malgré les “réalistes”
Militent pour le Communisme.
Ah ! Combien de vieilles barbes désabusées
Aiment à critiquer nos idées communistes
Disant : c’est idiot, c’est désespéré !
Cessez de divaguer et soyez réalistes !
Il est vrai que le Communisme est plein d’espoir,
Et utopique ; mais sans espoir, qu’est donc la vie ?
Moi, je ne pourrais pas vivre dans ce monde noir
Sans le Communisme et l’espoir qu’il porte en lui.
Non, je ne suis pas fou à lier, à enfermer,
Mais pardonnez-moi, messieurs les résignés,
Ca fait longtemps que je ne puis plus supporter
Ce système hideux que vous nous proposez.
Car disons-le, derrière votre « réalité »,
Se cachent l’horreur, la misère et la barbarie,
Qui saignent plus que jamais la pauvre humanité,
Comment le montrent les quelques vers que voici.
Voici quels sont les seuls droits de l’ouvrier:
Tandis que les patrons contrôlent cette société,
Lui doit travailler, se taire, être exploité.
Est-ce donc utopique, vouloir l’égalité ?
Et quelles belles relations dans le monde entier !
Au mieux exploitation, au pire chars, bombes et balles !
Aux pauvres, voilà ce que donnent les favorisés !
Est-ce utopique, vouloir l’Internationale ?
Ami profite bien de tes jeunes années,
Car après pendant toute ta vie tu dois trimer,
Et leur police t’empêchera de protester.
Est-ce donc utopique, vouloir la liberté ?
On met aisément en prison les ouvriers,
Mais pour l’Etat et pour les riches, point de police !
Eux, malgré tous leurs crimes, jouissent de l’impunité !
Est-ce donc utopique, que vouloir la justice ?
Les Hommes n’ont-ils pas tous le même droit au bonheur ?
Si ! Mais qui donc le leur vole ? Le capitalisme !
L’ouvrier doit jouir du fruit de son dur labeur !
Est-ce donc utopique, vouloir le Communisme ?
Il faut choisir, à la lumière de tout ceci,
Que préférer : l’horreur ou la grande utopie ?
Le choix est simple, comme l’a dit l’ami Trotsky :
C’est le Communisme…ou bien la barbarie.
Il y a bien d’autres choses que je peux dénoncer
Sur le capitalisme et sur l’exploitation,
Mais c’est assez parlé de cette réalité,
Ami, je te parle maintenant de la Révolution.
Utopie et Réalité
A tous ceux qui malgré les “réalistes”
Militent pour le Communisme.
Ah ! Combien de vieilles barbes désabusées
Aiment à critiquer nos idées communistes
Disant : c’est idiot, c’est désespéré !
Cessez de divaguer et soyez réalistes !
Il est vrai que le Communisme est plein d’espoir,
Et utopique ; mais sans espoir, qu’est donc la vie ?
Moi, je ne pourrais pas vivre dans ce monde noir
Sans le Communisme et l’espoir qu’il porte en lui.
Non, je ne suis pas fou à lier, à enfermer,
Mais pardonnez-moi, messieurs les résignés,
Ca fait longtemps que je ne puis plus supporter
Ce système hideux que vous nous proposez.
Car disons-le, derrière votre « réalité »,
Se cachent l’horreur, la misère et la barbarie,
Qui saignent plus que jamais la pauvre humanité,
Comment le montrent les quelques vers que voici.
Voici quels sont les seuls droits de l’ouvrier:
Tandis que les patrons contrôlent cette société,
Lui doit travailler, se taire, être exploité.
Est-ce donc utopique, vouloir l’égalité ?
Et quelles belles relations dans le monde entier !
Au mieux exploitation, au pire chars, bombes et balles !
Aux pauvres, voilà ce que donnent les favorisés !
Est-ce utopique, vouloir l’Internationale ?
Ami profite bien de tes jeunes années,
Car après pendant toute ta vie tu dois trimer,
Et leur police t’empêchera de protester.
Est-ce donc utopique, vouloir la liberté ?
On met aisément en prison les ouvriers,
Mais pour l’Etat et pour les riches, point de police !
Eux, malgré tous leurs crimes, jouissent de l’impunité !
Est-ce donc utopique, que vouloir la justice ?
Les Hommes n’ont-ils pas tous le même droit au bonheur ?
Si ! Mais qui donc le leur vole ? Le capitalisme !
L’ouvrier doit jouir du fruit de son dur labeur !
Est-ce donc utopique, vouloir le Communisme ?
Il faut choisir, à la lumière de tout ceci,
Que préférer : l’horreur ou la grande utopie ?
Le choix est simple, comme l’a dit l’ami Trotsky :
C’est le Communisme…ou bien la barbarie.
Il y a bien d’autres choses que je peux dénoncer
Sur le capitalisme et sur l’exploitation,
Mais c’est assez parlé de cette réalité,
Ami, je te parle maintenant de la Révolution.
- tovarich1917
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- Inscription : 16 Déc 2003, 20:49
par tovarich1917 » 26 Mai 2004, 21:42
Je veux vivre pour voir…
A tous ceux qui
Espèrent la Révolution.
Je veux vivre pour voir
Le réveil du Prolétaire,
Je veux vivre pour voir
Son pas faire trembler la terre.
Je veux vivre pour voir
Les masses aller au combat,
Je veux vivre pour voir
La défaite des bourgeois.
Je veux vivre pour voir
L’aurore des temps nouveaux,
Je veux vivre pour voir
Flotter notre rouge drapeau !
Je veux vivre pour voir
Enfin la lutte finale,
Je veux vivre pour voir
Lutter l’Internationale !
Je veux vivre pour voir
La débâcle des exploiteurs,
Je veux vivre pour voir
Le peuple jouir du bonheur.
Je veux vivre pour voir
Toutes ces foules qui grondent,
Je veux vivre pour voir
La fin de ce vieux monde !
Je veux vivre pour voir
Partout, les travailleurs rire,
Je veux vivre pour voir
Marx, Lénine, Trotsky sourire.
Je veux vivre pour voir
S’avancer notre victoire,
Je veux vivre pour voir
La fin de cette nuit noire !
Je veux vivre pour voir quand nous nous soulèverons !
Pour voir, enfin, avancer la Révolution !
Et, ami, la Révolution est chose si belle
Que je veux bien aussi, ce jour… mourir pour elle.
A tous ceux qui
Espèrent la Révolution.
Je veux vivre pour voir
Le réveil du Prolétaire,
Je veux vivre pour voir
Son pas faire trembler la terre.
Je veux vivre pour voir
Les masses aller au combat,
Je veux vivre pour voir
La défaite des bourgeois.
Je veux vivre pour voir
L’aurore des temps nouveaux,
Je veux vivre pour voir
Flotter notre rouge drapeau !
Je veux vivre pour voir
Enfin la lutte finale,
Je veux vivre pour voir
Lutter l’Internationale !
Je veux vivre pour voir
La débâcle des exploiteurs,
Je veux vivre pour voir
Le peuple jouir du bonheur.
Je veux vivre pour voir
Toutes ces foules qui grondent,
Je veux vivre pour voir
La fin de ce vieux monde !
Je veux vivre pour voir
Partout, les travailleurs rire,
Je veux vivre pour voir
Marx, Lénine, Trotsky sourire.
Je veux vivre pour voir
S’avancer notre victoire,
Je veux vivre pour voir
La fin de cette nuit noire !
Je veux vivre pour voir quand nous nous soulèverons !
Pour voir, enfin, avancer la Révolution !
Et, ami, la Révolution est chose si belle
Que je veux bien aussi, ce jour… mourir pour elle.
- tovarich1917
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