
(Assassin @ mercredi 18 janvier 2006 à 18:39 a écrit :
Quelqu'un en sait-il davantage?
De ce que je sais, c'est faux:
La FSU a refusé leut intégration, ils sont allé voir Solidaires. Solidaires marche au consensus, et Sud Educ a dit qu'il mettraient leur veto s'il fallait.
J'en suis resté là.
Je comprends toujours pas l'intérêt de ne pas syndiquer les travailleurs des boîtes privées, mais bon... Pas envie non plus de mettre 100 balles dans la machine Valière, alors...

(boispikeur @ jeudi 19 janvier 2006 à 03:22 a écrit :(Assassin @ mercredi 18 janvier 2006 à 18:39 a écrit :
Quelqu'un en sait-il davantage?
Je comprends toujours pas l'intérêt de ne pas syndiquer les travailleurs des boîtes privées, mais bon...
idema écrit :Pas envie non plus de mettre 100 balles dans la machine Valière, alors...
... idem, et il y a deja un fil sur le sujet, a chercher dans les archives du forum.

Si ça peut aider : quand la cfdt a déconné plein tubes au moment des rtetraites, la FEP (syndicat du privé) a perdu des plumes et en partriculier deux syndicats se sont créés, et ont cherché à rejoindre des syndicats existants. La FSU a refusé, sud-éduc aussi, je crois. L'un de ces deux syndicats, celui qui est dans les Pays dee Loire, vient de fusionner officiellement avec le SNPEFP-CGT. Pour l'autre, pas plus d'infos.

En général un syndicat revendique un salaire correct et des conditions de travail correctes pour ses adhérents, qu'il soit public ou privé. Les syndicats de la santé regroupent des travailleurs du privé et du public, ça ne semble pas poser de problèmes... En général, que ce soit la FEP CFDT ou le SNPEFP CGT, ils demandent l'intégration.

c'est vrai d'ailleurs, une organisation qui revendiquerait le maintien de l'hôpital public, du transport public, ... ne devrait pas accepter en ses rangs des travailleurs des secteurs privés des mêmes domaines...
Je pense qu'une telle position n'est pas tenable et ne contribue qu'à écarter une partie des travailleurs.
Je pense qu'une telle position n'est pas tenable et ne contribue qu'à écarter une partie des travailleurs.