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Message Publié : 19 Mai 2004, 17:08
par magdalene
... m'a déplu. :(

Message Publié : 19 Mai 2004, 17:48
par pelon
(magdalene @ mercredi 19 mai 2004 à 18:08 a écrit : ... m'a déplu. :(
:hinhin:

Message Publié : 19 Mai 2004, 21:23
par Terouga
Revoilà cet obsédé d'Almodovar !

Le pire chantre de l'Espagne libérale post-franquiste !

Un obsédé sexuel de la pire espèce qui néglige toujours de parler du passé ou des ouvriers ! :whistling:

Message Publié : 19 Mai 2004, 22:12
par Terouga
VIVE Almodovar ! Le cinéaste engagé ! :t3xla:

Vous êtes commes les Socs et les Verts, après avoir abandonné le prolétariat, vous vous rattrapez en militant pour le mariage des homos. Je suis pour aussi, mais moi, je n'ai jamais considéré le mariage comme une survivances réac !

Message Publié : 19 Mai 2004, 22:21
par logan

Message Publié : 20 Mai 2004, 10:11
par magdalene
bon, je remets son fil sur le droit chemin.
Almodovar a été excellent en faisant preuve d'un humour décadent et acerbe. voir notamment le drolissime "Dans les ténèbres" de 1983, où à l'époque il était plus question de tourner en dérision les moeurs des bonnes soeurs que de sentimentalisme (et moi j'adore, quitte à me faire traiter de petite bourgeoise par Caupo) :(

Message Publié : 20 Mai 2004, 10:38
par pelon
(magdalene @ jeudi 20 mai 2004 à 11:11 a écrit : bon, je remets son fil sur le droit chemin.
Almodovar a été excellent en faisant preuve d'un humour décadent et acerbe. voir notamment le drolissime "Dans les ténèbres" de 1983, où à l'époque il était plus question de tourner en dérision les moeurs des bonnes soeurs que de sentimentalisme (et moi j'adore, quitte à me faire traiter de petite bourgeoise par Caupo) :(


Personne ne pourra reprocher à soeur magdalene d'aimer un film où l'on maltraite les nonnes. :hinhin:

Message Publié : 21 Mai 2004, 14:41
par faupatronim
Bon, j'ai vu, j'ai été déçu aussi.

Ca part pal mal sur les pensionnat sous la période franquiste. Les gamins confiés aux curés qui sont loin d'être tous blanc comme neige. C'est fait sans tomber sur le voyeurisme.

Par contre ça continu sur la vie adulte de ces pensionnaires, et là ça devient lourdingue et longuet à mon humble avis.

En plus il y a une sorte de mécanisme : tu as été violé par un curé, tu fini homo qui est un peu bizarre.