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C'est pas des contes d'Alphonse Daudet sur la guerre de 1870, c'est du nouveau bien français comme le Beaujolais.

François Lecointre général en retraite vient de commettre un ouvrage collectif (?) chez Fayard (24 euros) sur 17 écrivains qui ont séjourné parmi des unités de marine (ex-coloniale).

C'est en feuilletant le Figaro littéraire dans une une médiathèque municipale, simple curiosité, que j'ai appris que les troupes de marine fêtent leurs 400 ans d'expéditions guerrières de l'Indochine, à la Nouvelle-Calédonie , en passant par Madagascar, le Maroc, la Syrie et j'en passe beaucoup.

Apparemment l'aventure n'est pas terminé et quelques hommes et femmes de lettres rêvent d'en tâter, à distance quand même.

La conclusion de l'article est claire "l'armée n'est pas un conservatoire de valeurs dépassées. C'est un univers où notre jeunesse vit avec ferveur sa vocation de service et brûle de la voir partagée par toute notre société. Nos écrivains magnifiquement, rendent un fier service à ces soldats. Fidèles à leur mission, ils se font passeurs".
Fermez le ban !

Salut Artza,

Mon arrière grand - père qui s'appelait Pierre Baysse était de Cadix dans le Tarn, palefrenier aux mines de Carmaux, il avait été mobilisé à l'âge de 34 ans et avait fait toute la guerre de 1914 dans le 37e régiment d'infanterie coloniale (37e RIC) se qui lui avait valu de tâter du fiasco des Dardanelles !

Il en tira lui des leçons de mépris, et de haines pour ces généraux imprudents et aventuristes, et avait ensuite après - guerre cotisé à l'Arac... Il ne supportait pas les galonnés et ceux qui les inspirent !

Fraternellement,
GdM