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Et quelle vie!

Un film à (re)voir.

La fin du général Custer est un sommet du réalisme-comique.

Un film d'Arthur Penn avec Dustin Hoffman et Faye Dunaway :wub: sympa pour les Indiens, qui n'en méritaient peut-être pas tant?

Ce soir sur Arte vers 20h.30 :bleh:

Le bouquin est très bien aussi. ("mémoires d'un visage pâle")

Custer était d'un cynisme.

J'ai lu un bouquin sur lui et ses crimes.
c'était un véritable héros, il posait pour les journaux, et une troupe de théâtre a parcouru le pays pour vanter ses explois.
écoeurant.

Je l'avais vu il y a très très longtemps, ce film m'avais bouleversé (notamment les scènes de massacre des femmes et enfants du camp indien par les soldats de Custer...).

C'est un vrai chef d'oeuvre, depuis lors j'ai toujours suivi les films avec Dustin Hoffman, je ne vais pas le rater ce soir.

Pareil, j'avais adoré, merci pour le rappel, Artza.
Je me souviens du vieil indien "C'est un beau jour pour mourir".
Mais je peux l'enregistrer pour le garder dans la boîte, et ça, c'est super !

Je vais faire (un tout petit peu) le pisse-froid de service, mais dans sa volonté louable de rétablir l'équilibre entre les Indiens et les Blancs, Little Big Man en rajoute beaucoup (trop) sur le côté gentils-indiens-pacifistes-et-tolérants, au point de s'écarter notablement de la vérité ethnologique sur pas mal de points.

Ce qui n'enlève rien à la charge contre la brutalité et l'hypocrisie des Blancs.

Pour un film plus authentique sur les moeurs (parfois fort rudes) des Indiens, je conseille "Un homme nommé Cheval".

on le saura ! sois sympa, laisse nous (parfois) avec nos illusions...

"Seule la vérité est révolutionnaire" (Geronimo) :rtfm:

Oh la, pourfendeur du manichéisme, quel stade Little Big Man ? :hinhin:

Merci pour le film, je viens de le voir, c'est incroyable !
Cela faisait un moment que je n'en avais pas vu un aussi bien. Quoi que je ne m'attendais pas à ce qu'il fut aussi comique !

Jacquemart a en revanche raison. Mais en fait, le film est trop humoristique pour que je le prenne à ce point au sérieux, et à devoir lui reprocher. Je voyais jusqu'où prétendais le film, et je l'ai pris comme tel.