
Bon, je me réveille un peu tard pour vous parler d'un film d'il y a... 14 ans, mais que je viens de voir ce soir en DVD.
Eh ben c'est quelque chose.
Il paraît que le titre est un récit (et quelques autres références dans le film) de Tolstoï.
Le film lui se déroule pendant la guerre en Tchétchénie. C'est d'une finesse. Le réalisateur est sans doute un humaniste ou pacifiste, en tout cas c'est un Russe qui a le courage de dénoncer la guerre alors qu'on est en plein dedans.
L'histoire en gros, c'est une équipe russe qui mène une attaque, deux gars seulement survivent et sont faits prisonniers par un père de famille tchétchène qui espère ainsi monnayer un échange puisque son fils est également prisonnier du camp russe.
Bien sûr, des liens humains se nouent de toutes parts, et il est bien plus facile de tuer des inconnus que des gens avec qui l'on a pris le temps de se lier.
On voit la grande pauvreté de ce coin rural de Tchétchénie, et la grande humanité de toutes ces gens.
A voir je vous dis. J'en suis encore toute retournée.
Tiens, je m'en vais lire la nouvelle de Tolstoï, pour le coup, même si c'est autre chose, et voir la filmographie de Sergueï Bodrov.
Eh ben c'est quelque chose.
Il paraît que le titre est un récit (et quelques autres références dans le film) de Tolstoï.
Le film lui se déroule pendant la guerre en Tchétchénie. C'est d'une finesse. Le réalisateur est sans doute un humaniste ou pacifiste, en tout cas c'est un Russe qui a le courage de dénoncer la guerre alors qu'on est en plein dedans.
L'histoire en gros, c'est une équipe russe qui mène une attaque, deux gars seulement survivent et sont faits prisonniers par un père de famille tchétchène qui espère ainsi monnayer un échange puisque son fils est également prisonnier du camp russe.
Bien sûr, des liens humains se nouent de toutes parts, et il est bien plus facile de tuer des inconnus que des gens avec qui l'on a pris le temps de se lier.
On voit la grande pauvreté de ce coin rural de Tchétchénie, et la grande humanité de toutes ces gens.
A voir je vous dis. J'en suis encore toute retournée.
Tiens, je m'en vais lire la nouvelle de Tolstoï, pour le coup, même si c'est autre chose, et voir la filmographie de Sergueï Bodrov.