
« Règlement de comptes pour l’Elysée »
« la manipulation Clearstream dévoilée »
de Jean-Marie Pontaut et de Gilles Gaetner
Oh ! Editions
18,90 €
Juin 2006
223 pages
Les moyens importent peu !
Le livre-enquête défile rapidement. C’est un véritable roman que nous proposent ces deux journalistes de l’Express...
Il nous permet de nous remémorer l’affaire et de mieux comprendre les enjeux politiques voire financiers.
Tous pourris ? Presque, notamment ces grands commis de l’Etat présentés comme intègres, haut dessus de tout soupçon n’hésitant pas à choisir tel ou tel camp : Villepin ou Sarko...
La récompense est au bout ?.Peut être.
L’histoire commence très tôt au moment de la vente des frégates de Tawaïn, au tout début des années 90 avec les manipulations financières, les commissions exorbitantes, les coups bas et les assassinats, le tout masqué grâce à ce fameux « secret défense », écran mis en place par des gouvernements successifs de couleurs « différentes ».
Tous pourris ? Peut être pas ... et encore....
La concurrence industrielle fut dure, elle existe entre les grandes entreprises « françaises » et au sein de chacune d’elle avec les coups bas.
Avec beaucoup de minuties, Jean Louis Gervorin, numéro 2 d’EADS, le géant européen de l’industrie aéronautique civile et financière livre un « secret » : l’existence d’une banque de blanchiment et de noircissement de l’argent : « Clearstream » avec des noms de titulaires de comptes, dévoilés. Un faux ou un vrai faux ? Connaîtra t-on la vérité ?
La guerre est totale entre le Ministre de l’Intérieur et le Premier Ministre.
Ce dernier n’a pas hésité à diligenter une enquête contre son ennemi, utilisant pour cela les rouages de l’Etat.
Sarkozy, première victime de cette nauséabonde affaire est-il blanc comme neige ?
« Au-delà de l’aspect moral-fondamental-évidemment, ce scandale d’Etat, un de plus sous la Vème République, ne fait qu’altérer un peu plus l’image du président de la République. Lequel se contente de vouloir tordre le cou à « la dictature de la rumeur ». Incapable de restaurer l’unité de son gouvernement, où le numéro 1 et le numéro 2 se battent quasiment à l’arme blanche. Incapable, en pleine tempête Clearstream-à moins qu’il ne l’ait fait exprès-, de mesurer l’impact de l’amnistie accordée à son ami Guy Drut, ancien ministre de la Jeunesse et des Sports. »
Des industriels, des ministres, un général des services secrets, un juge pas assez vigilant et un Président de la République en fin de règne... voici les acteurs d’un des plus grands scandales de cette 5 ème République ... des copains et des coquins.
Il faut vraiment faire place nette .
Valière
« la manipulation Clearstream dévoilée »
de Jean-Marie Pontaut et de Gilles Gaetner
Oh ! Editions
18,90 €
Juin 2006
223 pages
Les moyens importent peu !
Le livre-enquête défile rapidement. C’est un véritable roman que nous proposent ces deux journalistes de l’Express...
Il nous permet de nous remémorer l’affaire et de mieux comprendre les enjeux politiques voire financiers.
Tous pourris ? Presque, notamment ces grands commis de l’Etat présentés comme intègres, haut dessus de tout soupçon n’hésitant pas à choisir tel ou tel camp : Villepin ou Sarko...
La récompense est au bout ?.Peut être.
L’histoire commence très tôt au moment de la vente des frégates de Tawaïn, au tout début des années 90 avec les manipulations financières, les commissions exorbitantes, les coups bas et les assassinats, le tout masqué grâce à ce fameux « secret défense », écran mis en place par des gouvernements successifs de couleurs « différentes ».
Tous pourris ? Peut être pas ... et encore....
La concurrence industrielle fut dure, elle existe entre les grandes entreprises « françaises » et au sein de chacune d’elle avec les coups bas.
Avec beaucoup de minuties, Jean Louis Gervorin, numéro 2 d’EADS, le géant européen de l’industrie aéronautique civile et financière livre un « secret » : l’existence d’une banque de blanchiment et de noircissement de l’argent : « Clearstream » avec des noms de titulaires de comptes, dévoilés. Un faux ou un vrai faux ? Connaîtra t-on la vérité ?
La guerre est totale entre le Ministre de l’Intérieur et le Premier Ministre.
Ce dernier n’a pas hésité à diligenter une enquête contre son ennemi, utilisant pour cela les rouages de l’Etat.
Sarkozy, première victime de cette nauséabonde affaire est-il blanc comme neige ?
« Au-delà de l’aspect moral-fondamental-évidemment, ce scandale d’Etat, un de plus sous la Vème République, ne fait qu’altérer un peu plus l’image du président de la République. Lequel se contente de vouloir tordre le cou à « la dictature de la rumeur ». Incapable de restaurer l’unité de son gouvernement, où le numéro 1 et le numéro 2 se battent quasiment à l’arme blanche. Incapable, en pleine tempête Clearstream-à moins qu’il ne l’ait fait exprès-, de mesurer l’impact de l’amnistie accordée à son ami Guy Drut, ancien ministre de la Jeunesse et des Sports. »
Des industriels, des ministres, un général des services secrets, un juge pas assez vigilant et un Président de la République en fin de règne... voici les acteurs d’un des plus grands scandales de cette 5 ème République ... des copains et des coquins.
Il faut vraiment faire place nette .
Valière