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cette annonce. Bernard Pierre Donadieu, qui joue le rôle principal, annonce lui-même la diffusion d'un téléfim sur la Cellatxex, cette usine de la pointe de Givet, à la frontière belge, où les ouvriers, sous le poids d'un plan de licenciement , avaient menacé de jeter de l'acide à la Meuse. Le livre du secrétaire national de la Fédé Textile de l'époque, Chritsian Larose, qui le raconte, l'évoque d'ailleurs dans son titre.
Je ne sais pas ce que vaut le téléfilm, des camarades m'en ont dit du bien. A prendre cependant avec des pincettes, la CGT nationale à l'époque est intervenue en tant qu'élément modérateur. Tout en se solidarisant avec les grévistes, sans les critiquer dans leur formes d'action radicales, Christian Larose a raconté cyniquement dans un livre publié par la CGT comment il a négocié directement avec Martine Aubry un compromis en retrait sur les revendications des grévistes, jouant ensuite pendant toute une journée la comédie des négociations avec le préfet, les patrons, etc. pour aboutir... au chiffre décidé la veille au portable !
Depuis, la ville a quasiment coulé, les emplois promis par la cellule de reclassement sont du vent, plus de la moitié de salariés n'ont rien, ceux qui ont retrouvé un emploi ont du déménager, après avoir enchaîné des temps partiels payés au SMIC dans des supermarchés.
cette annonce. Bernard Pierre Donadieu, qui joue le rôle principal, annonce lui-même la diffusion d'un téléfim sur la Cellatxex, cette usine de la pointe de Givet, à la frontière belge, où les ouvriers, sous le poids d'un plan de licenciement , avaient menacé de jeter de l'acide à la Meuse. Le livre du secrétaire national de la Fédé Textile de l'époque, Chritsian Larose, qui le raconte, l'évoque d'ailleurs dans son titre.
Je ne sais pas ce que vaut le téléfilm, des camarades m'en ont dit du bien. A prendre cependant avec des pincettes, la CGT nationale à l'époque est intervenue en tant qu'élément modérateur. Tout en se solidarisant avec les grévistes, sans les critiquer dans leur formes d'action radicales, Christian Larose a raconté cyniquement dans un livre publié par la CGT comment il a négocié directement avec Martine Aubry un compromis en retrait sur les revendications des grévistes, jouant ensuite pendant toute une journée la comédie des négociations avec le préfet, les patrons, etc. pour aboutir... au chiffre décidé la veille au portable !
Depuis, la ville a quasiment coulé, les emplois promis par la cellule de reclassement sont du vent, plus de la moitié de salariés n'ont rien, ceux qui ont retrouvé un emploi ont du déménager, après avoir enchaîné des temps partiels payés au SMIC dans des supermarchés.