http://www.forumamislo.net

Publié : **23 Sep 2009, 15:12**

(pedro @ mercredi 23 septembre 2009 à 07:41 a écrit : J'ai donc lu la suite des Passagers du Vent, intitulé : La petite fille bois caîman. L'action se passe en grande partie en Louisiane, vers 1862, en pleine guerre de cecession, et à saint domingue (quand la vieille Isa replonge dans son passé), sur fond de révoltes d'esclaves. L'héroine est la descendante d'Isa (l'héroîne des tomes précédents). L'histoire est toujours aussi palpitante, le dessin est génial, bref, ça coûte 15 euros, mais ça les vaut largement.

Merci pour ce retour. C'est la première fois, je crois, qu'il y autant de pub pour une BD, non ?
Je conseille aussi la série Le cycle de Cyann du même auteur. Ce n'est pas historique, mais de la SF mais avec la même subtilité dans les dialogues, le scénario et des dessins toujours magnifiques. Tout un travail sur une société de caste et son monde, les moindres détails sont représentés avec originalité (végétation, vêtements, façon de vivre, langue, faune, etc.).

Publié : **23 Sep 2009, 22:53**

(françois marcel @ mardi 22 septembre 2009 à 08:00 a écrit :je vais commencer "brothers" de Yu Hua. On m'en a dit beaucoup de bien.

C'est un pavé de + de 700 pages.
Une fois dépassé le caractère synthétique des deux personnages créé pour les besoins du roman, c'est une très intéressante description de la Chine de Mao au JO.

Publié : **03 Oct 2009, 06:51**

« L'Arabe »
livre d'Antoine Audouard

Il n'a pas de prénom, ni de nom dans l'histoire. Les gens l'appellent ainsi et il peut toujours essayer d'être invisible, il reste pour beaucoup l'étranger que l'on ne connaît pas …
Si ce n'est pas lui, c'est donc son frère, le terroriste ou le casseur dont on parle à la télévision.
Il travaille, ne fait pas de bruit mais dès qu'un meurtre est commis, il est accusé à tort et quand le policier – réellement honnête et inquiet devant la haine qui couve- lui dit :
Je suis entré peu à peu dans le livre jusqu'au moment où, prisonnier je ne pouvais pas en sortir avant le dénouement.
La caricature n'est pas de mise et si le racisme cherche une victime toute trouvée, les hommes ne sont pas tous « inhumains » et stupides... Certains ouvrent les yeux et même leur coeur.
C'est un roman noir comme l'est, bien souvent la vie.
Le lecteur n'est pas prêt d'oublier cette « fiction ».

Publié : **03 Oct 2009, 09:03**

Je viens de lire
"L'origine des espèces" de Darwin dans l'édition de poche de Garnier Flammarion qui reprend la première édition de l'ouvrage en 1859.
J'aimerais connaître l'avis de ceux qui l'ont lu et qui ont une culture scientifique.
Personnellement, j'ai eu baucoup de mal.

j'ai relu "L'Homme avant l'Homme", "le scénario des origines" écrit par Herbert Thomas conçu comme une sorte de résumé de l'histoire de la recherche sur les origines de l'homme.
Découvertes Gallimard - Collection Sciences n° 215 - 1994
Connaissez-vous une ouvrage un peu synthétique plus récent ?

Publié : **05 Oct 2009, 07:59**

Je viens de lire:
« Le cas Sonderberg »
d'Elie Wiesel

Le lecteur ne reste pas indemne à la sortie de ce roman intense … L'immense et émouvante toile de fond est constituée par l'extermination des juifs, abominable crime des nazis contre l'humanité.
L'auteur, avec un talent extraordinaire qui nous saisit et nous contraint à ne pas lâcher le livre avant son dénouement transmet avec puissance un message humain qu'il faudrait méditer:
« Les enfants des assassins sont des enfants, pas des assassins »

Publié : **05 Oct 2009, 15:38**

(Valiere @ lundi 5 octobre 2009 à 06:59 a écrit : Je viens de lire:
« Le cas Sonderberg »
d'Elie Wiesel

Le lecteur ne reste pas indemne à la sortie de ce roman intense … L'immense et émouvante toile de fond est constituée par l'extermination des juifs, abominable crime des nazis contre l'humanité.
L'auteur, avec un talent extraordinaire qui nous saisit et nous contraint à ne pas lâcher le livre avant son dénouement transmet avec puissance un message humain qu'il faudrait méditer:
« Les enfants des assassins sont des enfants, pas des assassins »
Oui, dommage qu'Elie Wiesel n'ait pas été aussi généreux avec les enfants palestiniens de la guerre des pierres. Il avait, à l'époque, fait des déclarations dignes d'un vulgaire sioniste, pas du tout d'une "grande âme"..

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