Je viens de voire ça, au saint André des arts: le début du film est plein d'image d'actualité; mais les deux tiers du film sont un vrai film. Les dégâts de la critique et de l'autocritique sur un groupe d'étudiant en perdition guevariste et/ou maoiste.
La pratique de la critique et de l'autocritique rappel celle de la communion quotidienne dans le pensionnat catholique des amitiés particulières.
vraiment à voire