« Les bolchéviks, n’ont pas à craindre d’infliger des coups à l’ennemi, main dans la main avec la démocratie révolutionnaire bourgeoise, sous la condition absolue : ne pas fusionner les organisations, marcher séparément et frapper ensemble, ne pas dissimuler les conflits d’intérêts, surveiller ses alliés autant que son ennemi »
« Tous les politiciens bourgeois dans toutes les révolutions bourgeoises ont nourri le peuple de promesses et berné les travailleurs. Notre révolution est une révolution bourgeoise, donc les travailleurs doivent soutenir la bourgeoisie ; c’est ce que disent les politiciens incapables du camp des liquidateurs. Notre révolution est une révolution bourgeoise, disent les marxistes ; c’est pourquoi les travailleurs doivent ouvrir les yeux du peuple sur la tromperie des politiciens bourgeois, lui apprendre à ne pas se fier aux mots, à compter sur ses propres forces, ses propres organisations, sa propre unité, ses propres armes »
Un passage de Lénine discutant en 1917 de son slogan de 1905 (la dictature démocratique du prolétariat et de la paysannerie).
Lénine, lors d’une conf. du parti (au moment des thèses d’avril) : « Même nos propres bolcheviks montrent de la confiance envers le Gouvernement. C’est la mort du socialisme. Vous, camarades, vous avez confiance dans le Gouvernement. Dans ce cas, nos chemins se séparent. Je préfère être dans la minorité ». (citation traduite de l'anglais)
Lénine, (même période) : la vieille idée d’une « dictature démocratique » n’avait sa place que dans « les archives des antiquités bolchéviques pré-révolutionnaires ». (citations traduites de l'anglais)
Ça vaudrait bien récompense culinaire lors d'une prochaine fête !