(Crockette @ mercredi 29 avril 2009 à 12:16 a écrit :
mais pourquoi LO ne propose pas la co-gestion dans les entreprises ???
un comité de travailleurs élus par des travailleurs avec égal pouvoir aux patrons dans les CA, sur les décisions d'investissement, de licenciement, les réorganisations, les dividendes, sur qui entre ds le capital, sur les résultats des entretiens d'évaluation individuels (menés par des petits toutous de chefaillons acutellement) et sur les rythmes de travail etc, etc. les membres de ce comité aurait un détachement professionnel à 100 % de leur temps de travail pour faire du vrai boulot de gestion, pas cette espèce de farce qu'est le comité d'entreprise
d'aujourd'hui ou finalement les boss font ce qu'ils veulent...
ca serait dela vraie démocratie
c'est pas la finalité de LO je sais mais c'est de sa responsabilité de proposer des choses concretes et accessibles tout de suite pour ceux qui en bavent sur le terrain !!
ne pas laisser le champ libre à des COPE et CHEREQUE pour dire que eux ils proposent...d'accord avec El convidado.
la bataille des idées est en route...
Tu reviens là-dessus. Mais il faudrait que tu expliques en quoi c'est plus concret et plus accessible que, par exemple, mettre en taule tout gros patron qui voudrait licencier.
Comme tu expliques le truc il faudrait une loi, et un organe d'exécution. Donc une assemblée capable de voter ça et des hommes en armes pour faire appliquer. Cela sera peut-être très concret (j'espère), mais ça ne l'est pas.
Et ces comités, quels militants pour les faire vivre, les CE sont une espèce de farce, actuellement, avec la complicité quasi-unanime des dirigeants syndicaux. Les permanents des comités que tu envisages, payés par le patronat, peuvent être bien plus controlés par la masse des travailleurs que par ceux qui les payent. Là encore cela nécéssite une mobilisation et une conscience profonde de la classe ouvrière. Ce que nous voulons concrétiser demain, tout en constatant que ce n'est pas concret aujourd'hui, et sans préjuger des délais, qui peuvent être courts.L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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(ianovka @ mardi 28 avril 2009 à 22:19 a écrit :Le problème je crois c'est qu'elle pensait pouvoir intervenir un peu plus, là elle a parlé 4 minutes (sur près de deux heures), dur de faire passer plus en si peu de temps.
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