ocean et climat

Et lutte contre les pseudo-sciences et les obscurantismes

Message par Crockette » 23 Fév 2007, 23:07

je vois vraiment pas ce que ça change d'avoir plus ou moins de sel en altlantique, de toute façon c'est un vase communiquant avec le pacifique alors...l'un compensant l'autre ou vice versa...à l'échelle planétaire, c'est une étude qui fait des ronds dans l'eau non ?
Crockette
 

Message par canardos » 24 Fév 2007, 08:57

si tu avais lu attentive.ment l'article tu aurais vu que les variations de salinité entre eau de surface et eau plus profonde sont un des facteurs qui déterminent les grands courants océaniques et que ces courants ont une influence importante sur le climat
canardos
 
Message(s) : 18
Inscription : 23 Déc 2005, 16:16

Message par canardos » 06 Mars 2007, 08:48

Dans Futura Sciences:

a écrit :

[center]Le changement climatique influe déjà sur les mers européennes[/center]

Source : CORDIS Nouvelles, le 04/03/2007


Selon un nouveau rapport du Centre commun de recherche de la Commission européenne, le changement climatique présente déjà un impact significatif sur les mers et les côtes européennes, et toute politique prévue pour atténuer ces effets devra également aborder le problème de l'exploitation plus vaste des mers et des côtes par les êtres humains.

Le rapport intitulé « La dimension maritime et côtière du changement climatique en Europe: Un rapport aux directeurs européens de l'eau », a été présenté lors d'un symposium sur le changement climatique et l'eau organisé par la présidence allemande du Conseil de l'UE.

Les recherches montrent que le changement climatique n'a pas la même influence sur toutes les eaux européennes ; alors que les températures de l'eau aux abords de l'Écosse ont augmenté d'environ 1 degré Celsius au cours des 20 dernières années, les températures dans la Méditerranée ne se sont accrues que d'un demi degré Celsius. De même, les taux d'augmentation du niveau de la mer autour de l'Europe varient entre 0,8 mm et 3 mm par an.

Dans le même temps, des phénomènes météorologiques catastrophiques tels que pluies torrentielles, ondes de tempêtes et inondations, semblent également avoir lieu plus fréquemment.

Les changements du niveau de la mer ont de sérieuses répercussions sur d'autres aspects de l'environnement côtier, étant donné leur influence sur la marée, les conditions et l'évaporation de la glace de mer. D'autres aspects de l'environnement marin présentent déjà les effets dus au changement climatique, comme, par exemple, les modèles de circulation et le cycle du carbone, rendant les mers de plus en plus acides en raison de l'absorption accrue de dioxyde de carbone.

Les changements de température ont également forcé les espèces d'eaux à température élevée à se diriger vers le Nord, ce qui a conduit à un déclin des espèces d'eaux froides. Depuis les années 1960, une baisse brutale du niveau des espèces de zooplancton dominant a conduit à des changements dans la structure d'assemblage des poissons de la mer du Nord. Ajoutée à la surpêche, cette situation a abouti à la disparition quasi totale de la population économiquement importante de morue.

Comme le montre ce dernier point, les activités humaines telles que la sylviculture, la production d'énergie, le commerce et le tourisme peuvent aggraver les effets du changement climatique.

Du point de vue de la recherche, le rapport précise qu'« un financement prolongé est nécessaire pour permettre la collecte et l'analyse de rapports à long terme afin d'évaluer et de découpler les impacts du changement climatique provenant d'une autre variabilité anthropogénique et naturelle dans les océans et les mers, et de bâtir des capacités de surveillance et d'évaluation durables ».

La recherche fondamentale concernant les effets du réchauffement de la planète sur l'acidité des eaux, les interactions sur le réseau trophique et le cycle du carbone doit être augmentée, et le développement d'un réseau européen d'observation maritime et côtière fournissant un accès non restreint à des données en temps réel est également nécessaire. À l'échelle mondiale, la coopération internationale avec des pays tiers est essentielle afin d'éviter des situations de conflit lors de la mise en oeuvre de plans d'atténuation ou d'adaptation des ressources maritimes.

Le rapport souligne également le besoin d'un mécanisme pour s'assurer que les données et informations découlant de la recherche atteignent les décideurs et utilisateurs de l'écosystème marin.

Les auteurs notent que toutes les politiques européennes axées sur l'eau, telles que la directive-cadre dans le domaine de l'eau, doivent être entièrement mises en oeuvre à travers l'Europe. « Mais plus important encore, la Stratégie européenne maritime, en tant que pilier environnemental du Livre vert sur la politique maritime de l'UE, devrait représenter un outil unique intégré en faveur de la protection de l'environnement marin en Europe en abordant les questions de façon holistique, y compris les effets des changements climatiques présents et futurs », affirme le rapport.

canardos
 
Message(s) : 18
Inscription : 23 Déc 2005, 16:16

Message par canardos » 09 Mai 2007, 19:32

a écrit :

Le mercredi 09 mai 2007

[center]Climat : des remous marins remettent en cause les modèles informatiques[/center]

Agence France-Presse
Paris

Des scientifiques britanniques ont découvert que des remous sous-marins en Antarctique pourraient remettre en cause les modèles informatiques de simulation des courants océaniques, utilisés pour étudier le réchauffement climatique, selon une étude à paraître dans la revue Nature.

Les océans jouent un rôle déterminant dans le réchauffement climatique car les couches de surface absorbent la chaleur et le dioxyde de carbone (CO2) de l'atmosphère.

La connaissance des courants océaniques permet aux scientifiques de mieux comprendre à quelle vitesse la chaleur de la surface de la mer peut se transmettre dans les couches inférieures et comment le CO2, absorbé par les algues, peut être entraîné au fond ou au contraire remonter en surface.

La nouvelle découverte concerne le Courant circumpolaire antarctique (CCA) qui refroidit les eaux provenant des latitudes plus chaudes des océans atlantique, pacifique et indien.

L'équipe de scientifiques dirigée par Alberto Naveira Garabato du Centre national océanographique de l'université de Southampton (sud de l'Angleterre) a eu l'idée d'utiliser un isotope naturel d'helium émis par un volcan sous-marin dans l'est du Pacifique pour retracer le courant CCA.

Ils se sont aperçus que des remous, apparemment dus au relief tourmenté du fonds des océans, brassaient les couches sous-marines de différentes densités, agissant ainsi comme un court-circuit dans le courant CCA.

L'étude doit paraître jeudi dans l'hebdomadaire scientifique britannique Nature.


canardos
 
Message(s) : 18
Inscription : 23 Déc 2005, 16:16

Message par canardos » 17 Mai 2007, 19:16

a écrit :

Le jeudi 17 mai 2007


[center]Le changement climatique réduit l'absorption de CO2 par l'océan Antarctique[/center]

Washington AFP

Le réchauffement du climat a réduit la capacité de l'océan Antarctique à absorber le dioxyde de carbone (CO2) atmosphérique, une situation jugée très préoccupante par les auteurs d'une étude publiée jeudi dans la revue américaine Science.

«C'est la première fois que nous pouvons dire que le changement climatique en lui-même est responsable de la saturation des capacités de l'océan antarctique à absorber le CO2, ce qui est sérieux», explique Corinne Le Quéré, de l'université britannique East Anglia, principal auteur de ces travaux conduits par une équipe internationale pendant quatre ans.

«Tous les modèles informatiques d'évolution du climat montrent que ce phénomène va persister et s'intensifier au cours de ce siècle», souligne-t-elle.

Cette étude a montré que l'intensifisation des vents dans l'Antarctique provoquée par l'accumulation des gaz à effet de serre et la diminution de l'ozone, a libéré dans l'atmosphère du CO2 stocké dans l'eau, saturant ses
capacités d'absorption.

Les océans, mers, lacs et forêts de la planète absorbent environ la moitié des émissions de CO2 produites par les activités humaines, dont 15% par les eaux australes seules, expliquent ces scientifiques.

Avec l'océan Antarctique atteignant un point de saturation, il y aura davantage de CO2 qui restera dans l'atmosphère, intensifiant l'effet de serre atmosphérique et le réchauffement, déplorent-ils.

Cette nouvelle recherche laisse penser que la stabilisation du volume de CO2 dans l'atmosphère est encore plus difficile à réaliser qu'on ne le pensait jusqu'alors. De dangereux niveaux d'acidification de l'océan Antarctique devraient être atteint avant 2050, date anticipée auparavant.

«Depuis le début de la révolution industrielle au 19e siècle, les océans ont absorbé environ le quart des 500 milliards de tonnes de carbone émis dans l'atmosphère par les activités humaines», relève Chris Rapley, directeur du British Antarctic Survey, qui a aussi participé à ces travaux.

«La possibilité que dans un monde plus chaud, la capacité de l'océan australe à absorber le CO2 atmosphérique diminue est préoccupante car ces eaux sont la plus grande éponge de CO2 sur la Terre», déplore-t-il.

La saturation de l'océan Austral a été mise en évidence en analysant les observations du CO2 atmosphérique faites par 40 stations autour du globe.

L'absorption de CO2 de cet océan a arrêté d'augmenter en 2001 tandis que les émissions de CO2 dans l'atmosphère ont progressé depuis de 40%, indique l'étude.


canardos
 
Message(s) : 18
Inscription : 23 Déc 2005, 16:16

Message par abounouwas » 17 Mai 2007, 19:23

en complément sur la question des pollutions des mers...
instructif.
pollution mers - dessous cartes
abounouwas
 
Message(s) : 0
Inscription : 10 Jan 2007, 00:47

Message par canardos » 14 Nov 2007, 19:42

le plancton pourrait ralentir le rechauffement climatique en consommant davantage de CO2...mais cette consommation accrue ne serait pas sans inconvenients puisqu'elle accelerait l'acidification des grands fonds...


a écrit :

[center]Le plancton permet une hausse de la consommation de carbone dans l'océan[/center]

[Cordis nouvelles: 2007-11-13]

Une étude publiée dans la revue Nature et réalisée dans le cadre du projet CARBOOCEAN financé par l'UE révèle que le plancton océanique augmentera sa consommation de carbone inorganique dissous, cette hausse pouvant atteindre 39 %, parallèlement à la hausse de la concentration de CO2.

Tandis que le plancton contribuera ainsi à amoindrir l'effet de serre à l'échelle mondiale, une consommation plus élevée accélérera l'acidification des grands fonds et réduira leur concentration en oxygène. Elle dégradera également les qualités nutritives du plancton, même s'il est vrai que la hausse initiale de l'absorption de CO2 servira d'engrais au plancton, affirment les scientifiques.

D'autres études ont démontré les effets de l'acidification sur des organismes calcifiés tels que les coraux et les mollusques, mais les connaissances relatives à son impact sur les communautés ou l'écosystème sont limitées. De manière générale, les modèles actuels du développement du climat mondial tiennent peu compte de la réaction des organismes marins et des processus qu'ils influencent, selon les scientifiques du groupe de recherche dirigé par l'institut Leibniz des sciences marines (IFM-GEOMAR) basé à Kiel (Allemagne).

«Nous devons développer nos connaissances sur la biologie des océans, car les organismes jouent un rôle décisif dans le cycle du carbone», déclare le professeur Ulf Riebesell, biologiste marin à l'IFM-GEOMAR et premier auteur de l'étude. «Comment affectent-ils l'équilibre chimique et comment réagissent-ils aux changements environnementaux considérables que nous subissons à l'heure actuelle?»

Des expériences menées dans le Raunefjord, près de la ville norvégienne de Bergen, ont permis de simuler différentes étapes de la concentration de CO2 depuis les niveaux actuels à ceux qui sont à prévoir aux horizons 2100 et 2150 dans des systèmes clos ou mésocosmes.

L'observation a révélé que les minuscules organismes du plancton «servent de bande transporteuse pour évacuer le dioxyde de carbone de la surface et l'acheminer vers les grands fonds», expliquent les chercheurs, car ces organismes transportent le CO2 vers des niveaux océaniques plus profonds lorsqu'ils meurent. Cependant, la décomposition d'une masse de plancton plus importante nécessitera plus d'oxygène, ce qui aura à son tour un effet négatif sur les animaux marins vivant à grande profondeur. L'étude a également démontré que les crustacés planctoniques qui se nourrissent de microalgues riches en CO2 affichent des taux de croissance plus lents et sont moins prolifères.

«Nos résultats ne représentent sans doute que la partie visible de l'iceberg», conclut le professeur Riebesell. «Je suis certain que les scientifiques découvriront bientôt d'autres mécanismes de rétroaction biologique. Il est essentiel non seulement d'identifier et de comprendre ces mécanismes, mais également de quantifier leur effet sur le système climatique mondial, aujourd'hui et à l'avenir.»


Référence du Document: Riebesell, U. et al. (2007) Enhanced biological carbon consumption in a high CO2 ocean. Nature, doi:10.1038/nature06267

canardos
 
Message(s) : 18
Inscription : 23 Déc 2005, 16:16

Message par canardos » 18 Nov 2007, 10:51

a écrit :

[center]La température de la mer au pôle Nord a augmenté de 2° en 20 ans[/center]

Agence France-Presse
Berlin Le jeudi 11 oct 2007

La température de la mer au pôle Nord a augmenté de manière drastique ces vingt dernières années, a rapporté l'Office fédéral de recherche sur la pêche à Hambourg jeudi.
L'eau à la surface du Groenland occidental s'est réchauffée de 2 degrés Celsius jusqu'à une profondeur de 300 mètres et au-delà jusqu'à 700 mètres d'un degré, a dit un porte-parole du centre à l'AFP.

En outre, depuis la moitié des années 80, la fonte des glaces du pôle Nord a fait tomber le sel des eaux de surface dans les profondeurs, a-t-il ajouté.

Les conséquences sont dramatiques pour toutes les espèces se développant en eaux froides, relève l'experte de la pêche du Fonds mondial pour la nature (WWF), Karoline Schacht.

Les premiers touchés sont les petits êtres qui se situent tout en bas de la chaîne alimentaire, comme les minuscules crevettes dont se nourrissent les cabillauds. Pour nombre d'experts, cette disparition explique le retrait de ce poisson du sud de la zone marine de l'Arctique.

Mme Schacht a appelé à une révision des quotas de pêche et à une gestion durable visant à la préservation des régions concernées.

canardos
 
Message(s) : 18
Inscription : 23 Déc 2005, 16:16

Message par canardos » 28 Nov 2007, 11:23

a écrit :

[center]Fonte de la banquise en Arctique : un emballement est possible[/center]

Valérie Masson-Delmotte et David Salas y Melia
Futura Sciences  Le 27 novembre 2007

Lors du dernier été, la fonte estivale des glaces de l’Océan Arctique a atteint un niveau exceptionnel. Les causes ne sont pas certaines mais il est clair qu’elle est bien plus importante que ce que prévoient les modèles. Deux spécialistes du climat font le point pour Futura-Sciences : Valérie Masson-Delmotte, ingénieur au CEA, et David Salas y Melia, chercheur au Centre National de Recherches Météorologiques.

Le suivi en temps réel de l’extension de glace de mer est possible depuis la fin des années 1970 grâce aux satellites. En Arctique, cette surface englacée varie fortement selon les saisons, atteignant environ 16 millions de kilomètres carrés en fin d’hiver (en mars), soit près de trente fois la surface de la France métropolitaine, et diminue fortement en fin d’été (en septembre). Dans les années 1980, ce minimum estival était de l’ordre de 8 millions de kilomètres carrés. La surface de banquise est en recul très net depuis la fin des années 1980, avec une diminution de l’ordre de 3 % par décennie pour l’extension maximale et 10 % par décennie pour l’extension minimale.

Dans ce contexte de réduction progressive de la surface de banquise, l’année 2007 est exceptionnelle. Le précédent record atteint en septembre 2005 (5,32 millions de kilomètres carrés) a été pulvérisé en septembre 2007 (4,14 millions de kilomètres carrés). La banquise, déjà très fine à la fin de l’hiver 2007, a ensuite fondu massivement en raison d’un ensoleillement estival exceptionnel en Mer de Beaufort.

user posted image

Les résultats des modèles de climat sont présentés sous forme de la moyenne et de l’écart type entre les différents modèles de climat dans le scénario A1B du Giec (correspondant à une concentration en CO2 dans l’atmosphère de l’ordre de 700 ppm dans l’atmosphère, soit 2,5 fois le niveau pré-industriel).
© J. Stroeve, NCAR - UCAR/NSIDC), mise à jour pour l’évolution de la glace de mer en 2007 (NSIDC)


Un emballement possible

Cet événement est-il un phénomène isolé, lié aux conditions météorologiques particulières de l’été 2007, à un apport plus grand de chaleur par les courants marins, ou bien est-il la marque d’une accélération du changement climatique dans l’Arctique ? Plusieurs facteurs pourraient effectivement provoquer un emballement. Une mer libre de glace absorbe davantage d’énergie solaire et génère une plus forte évaporation. Une atmosphère plus chaude, contenant davantage de vapeur d’eau, limite le refroidissement de la surface marine. Enfin, les nuages formés ces dernières années sur l’Océan Arctique semblent également renforcer l’effet de serre.

L’année 2007 marque aussi un record en ce qui concerne l’intensité de la fonte estivale à l’intérieur de la calotte du Groenland (à des altitudes de plus de 2.000 mètres). Les scientifiques vont scruter attentivement l’évolution climatique dans l’Arctique au cours de l’Année Polaire Internationale pour mieux comprendre les processus en jeu et leurs conséquences.

En réponse à l’augmentation des rejets de gaz à effet de serre attendus au cours des prochaines décennies, tous les modèles de climat simulent une forte diminution estivale de la zone de glace de mer sur l’Arctique. Certains de ces modèles suggèrent un Océan Arctique libre de glace pendant l’été dans la seconde moitié du 21ème siècle. Une comparaison simple entre l’évolution de la couverture de glace minimale observée et simulée (médiane des différents modèles de climat) montrent que les changements en cours sont beaucoup plus rapides que ne le prévoient la majorité des modèles de climat.



et dire que lavana croit toujours que les climatologues exagerent sous je ne sais quelle pression politique....
canardos
 
Message(s) : 18
Inscription : 23 Déc 2005, 16:16

Message par lavana » 28 Nov 2007, 12:19

(canardos @ mercredi 28 novembre 2007 à 11:23 a écrit :
et dire que lavana croit toujours que les climatologues exagerent sous je ne sais quelle pression politique....

Je suis très honoré d'être cité mais je ne crois pas avoir dit ça.

J'ai dit qu'on pouvait se poser la question et surtout comment détecter, connaître les pressions ? (ce qui a été considéré comme une question creuse par un honorable intervenant)

Le débat scientifique est hors de ma portée. Ici, les informations postées par toi, Canardos vont dans le sens du réchauffement climatique et de son origine anthropique.
Ce qui est ton droit absolu et je comprends bien que si l'on veut contester il faut s'en donner les moyens (ce que je ne fais pas vraiment).

Reste que la question se pose quand même et quelle est la part de scientifique et la part de "politique" dans tout cela ?

Nous y reviendrons peut-être...

Ce n'est pas moi qui disait que les "résumés" du GIEC sont alarmistes mais les "climat sceptiques" en général.


Hors-sujet
Il faudrait cesser de croire que poster une contribution pour faire connaître un point de vue c'est y adhérer(même si on ne prend pas ses distances immédiatement) ou que poser (ou se poser) un questionnement c'est être crédule ou suspect d'adhérer à un quelconque obscurantisme.



Un peu de soupleté, un peu d'agilesse (pour moi comme pour les autres)



lavana
 
Message(s) : 9
Inscription : 30 Juin 2003, 14:05

PrécédentSuivant

Retour vers Sciences

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 2 invité(s)