Génétique et "races" humaines

Et lutte contre les pseudo-sciences et les obscurantismes

Message par com_71 » 08 Sep 2008, 12:08

(charpital @ lundi 8 septembre 2008 à 12:02 a écrit : Bref, en tant qu'habitant la France au XXI ème siécle, il est clair que la culture qui correspond, c'est la culture scientifique.

Et pourquoi pas le communisme de XXIème siècle, justement... :roll: :roll:

C'est quoi cette notion de "culture correspondante", accolée à une aire géographique ? C'est quoi la culture scientifique ?

Et l'africain qui croit à la sorcellerie a la culture qui "correspond" mais le grand patron ds un hôpital parisien qui croit en Dieu est à côté de la plaque, du point de vue culturel ?

Bref ta phraséologie me paraît bien en deça de la "culture marxiste"... :roll: :roll:
L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
Avatar de l’utilisateur
com_71
 
Message(s) : 6380
Inscription : 12 Oct 2002, 00:14

Message par charpital » 08 Sep 2008, 12:29

a écrit :C'est quoi cette notion de "culture correspondante", accolée à une aire géographique ? C'est quoi la culture scientifique ?


la "culture" n'est pas "accolée a une aire géographique, mais a une aire géographique, une structure de classe et un certain développement des forces productives (ce que j'ai dit précédemment) Et notre culture est scientifique, parce que la science a pris une certaine importance (pour ne pas dire une importance certaine) puisqu'elle a permis un développement certain des forces productives, sans oublier une certaine stratification des classes sociales (en donnant des moyens techniques et des justifications idéologiques) La science n'est pas une "culture", comme la religion n'est pas une culture. Cependant la culture classique de l'inde brahamique était religieuse, comme la notre est "scientifique". Je ne vois pas en quoi c'est "bien en deça de la "culture marxiste"" que de penser que la science est un élément déterminant de notre culture.

a écrit :Et l'africain qui croit à la sorcellerie a la culture qui "correspond" mais le grand patron ds un hôpital parisien qui croit en Dieu est à côté de la plaque, du point de vue culturel ?


L'africain qui croit à la sorcellerie (enfin, ça n'existe pas la "sorcellerie" en afrique, mais on ne va pas rentrer dans les détails) et qui a la structure de classe et le développement des forces productives qui correspond (il me semblait avoir insisté la dessus)... Le probléme, c'est que l'africain d'aujourd'hui vit dans un monde qui ne correspond pas a la structure de classe et au développement des forces productives, d'ou un hiatus assez grand, quelquefois... De même pour le révolutionnaire athée, qui enterre quand meme ses morts (ce qui n'a pas de sens)

Le probléme c'est que l'évolution des cultures (comme celle des espéces) est souvent du bricolage.
charpital
 
Message(s) : 0
Inscription : 30 Mai 2008, 16:35

Message par canardos » 08 Sep 2008, 14:54

le probleme est effectivement de savoir si il y a un progres culturel fondé sur le progres des connaissances humaines

pour un marxiste ce progres culturel va de pair de façon dialectique avec le developpement des forces productives, l'acquisition de nouvelles connaissances technologiques permettant à l'homme de maitriser et de transformer son milieu.

effectivement le passage d'une pensée fondée sur la causalité intentionnelle, l'animisme, ou tout s'explique par l'intention d'un esprit ou d'une multitude de dieux à une pensée fondée sur la causalité objective, tout evenement a une cause materielle, base de la pensée scientifique, est un immense progres.

effectivement aussi la prise de conscience de l'égalité des hommes, des droits des femmes, tout ce qu'a permis des siecles de developpement économique, de transformation des rapports de production, de lutte de classes, de lutte ideologique et politique contre les superstitions et la religion (excuse c'est mon coté archeolumieres qui ressort) tout ça est un immense progres.

Cette culture la est superieure dans l'absolu à des cultures fondées sur des supertitions et des croyances fausses, des cultures qui justifient l'oppression et l'absence de droit des cultures fondées sur des rapports sociaux archaiques et oppressifs.

Et c'est valable dans le monde entier et pour tous. c'est lenine si je me souviens bien qui rappelait que le capitalisme est un progres par rapport au feodalisme.

quand je vois une femme en burka, je n'y vois pas d'abord un signe de diversité culturelle, j'y vois un signe d'oppression et d'humilation de la femme et cette diversité culturelle je me fixe comme objectif d'y mettre un terme!

tout raisonnement qui nierait le developpement de la culture humaine en mettant toutes les cultures sur le meme plan au nom du droit à la difference (relativisme culturel) ne serait qu'une justification des religions et de l'ensemble des archaismes mentaux que nous nous donnons comme objectif de détruire.

canardos
 
Message(s) : 18
Inscription : 23 Déc 2005, 16:16

Message par charpital » 08 Sep 2008, 15:16

a écrit :le capitalisme est un progres par rapport au feodalisme.

Bien entendu ! Du point de vue du développement des forces productives, de la "géographie des classes sociales" etc, sans discussion, je suis tout a fait d'accord.

Mais là, on parle de la culture, et c'est assez différent. Du point de vue littéraire, est ce que les productions "médiévales" sont inférieures aux productions contemporaines ? Les "Camina burana" (un recueil de chants de la fin du haut moyen age allemand, inférieure à Bério -un compositeur contemporain italien ? Le "roman de renard" inférieur à "Ulysse" de James joyces ? Difficile à dire.

De plus, c'est décréter que c'est "la culture" qui détermine l'augmentation des forces productives, alors que c'est évidemment l'inverse. Et on en revient au racisme "culturaliste", qui prétend que si notre "culture" s'est imposé, c'est parce qu'elle a permis le développement des forces productives, alors que c'est la aussi l'inverse, le "développement de nos forces productives" a fait que la culture "occidentale" s'est imposé ! En clair, Canardos, tu défend un point de vue anti matérialiste.
charpital
 
Message(s) : 0
Inscription : 30 Mai 2008, 16:35

Message par canardos » 08 Sep 2008, 15:22

je crois qu'on confond deux choses....les specificités locales d'une culture, musique langue, art, litterature...

la d'accord, il n'y a pas de raison de faire de differences entre la musique indienne, la musique chinoise la musique arabe ou la musique classique europenne.

tout au plus devons nous constater que la communication devenant mondiale les differentes formes d'expression artistiques ou litteraires s'interpenetrent et s'influencent et qu'on est en train d'évoluer vers une culture mondiale.

et puis les fondamentaux culturels que constitue la pensée logique et scientifique et une certaine vision de l'homme et de ses droits...

et la la defense de la diversité culturelle n'est en genéral qu'une justifcation religieux et sociaux que nous combattons.
canardos
 
Message(s) : 18
Inscription : 23 Déc 2005, 16:16

Message par canardos » 08 Sep 2008, 17:51

(canardos @ lundi 8 septembre 2008 à 16:22 a écrit :
et la la defense de la diversité culturelle n'est en genéral qu'une justification religieux et sociaux que nous combattons.

je corrige ma derniere phrase.


et la la defense de la diversité culturelle n'est en genéral qu'une justification de la complaisance envers les préjugés religieux et sociaux que nous combattons.
canardos
 
Message(s) : 18
Inscription : 23 Déc 2005, 16:16

Message par luc marchauciel » 08 Sep 2008, 19:03

(charpital @ lundi 8 septembre 2008 à 12:02 a écrit :
Pour en revenir au sorcier amazonien et a la pensée scientifique, je ne crois pas qu'on puisse les comparer (et donc décréter que l'une est "supérieure" a l'autre) L'une est adaptée a un certain contexte et une certaine société (le shamman est adaptée a une société sans classe et sans état, avec un trés faible développement des forces productives) et l'autre a une autre société (avec une société de classe et un état fort, plus un développement des forces poductives considérables)

Bien sûr que si on peut les comparer, avec des critères absolus que tu demandes à Canardos, et conclure que l'explication de la nature par l'un est bien "inférieure" à l'explication de la nature par l'autre. Parc eque l'une relève d'une poesnée rationelle qui a permis des progrès phénoménaux dans le contrôle de la nature elle-même, alors que l'autre relève d'une pensée magique sans beaucoup de prise sur le réel.

Il ne faut pas lâcher sur le fait qu'il y a des critères universels de détermination du vrai par delà les cultures, et c'est même une raison essentielle pour lquaelle je considère le shaman amazonien comme mon semblable avec lequel je peux échanger.

Charpital, je trouve que tu ne tiens pas un discours relativiste, mais que tu t'en approches parfois. Sur le sujet, voir :

http://www.pseudo-sciences.org/article.php3?id_article=495

Avec notamment ce passage qui s'appuie sur le livre de Sokal "postmodernisme et pseudosciences"

a écrit :
L’affaire démarre en 1981 lorsqu’un groupe d’intellectuels et de scientifiques indiens publie une Déclaration sur la mentalité scientifique directement puisée aux sources des Lumières, puisqu’elle critiquait la persistance en Inde de l’illettrisme, des superstitions et des hiérarchies sociales fondées sur la religion. Ce texte déclenche alors les foudres d’intellectuels néo-gandhiens, qui, selon une optique typique du postmodernisme, voient au contraire dans la science un instrument d’oppression au service des puissances coloniales. Ainsi, Ashis Nandy pouvait écrire : « dans un monde où des autorités arbitraires dépossèdent constamment l’individu de son droit à contrôler sa propre destinée, une situation dont la science et la technologie modernes sont partiellement responsables, l’astrologie tient lieu pour les pauvres de défense psychologique. C’est une tentative de trouver le sens d’un présent qui n’est qu’oppression dans un avenir maîtrisable (…). En somme, l’astrologie est le mythe des faibles, la science moderne est celui des forts » (p. 90). Vandana Shiva, déjà évoquée, est elle aussi représentative de cet obscurantisme antiscientifique drapé dans les habits de la résistance à l’oppression : « Les "faits" de la science réductionniste sont des catégories socialement construites et qui portent les marques culturelles du système occidental, bourgeois et patriarcal, lequel constitue le contexte de leur découverte et de leur justification. » (p. 94).

L’intérêt de cet exemple indien est que cette polémique a débordé le champ de la querelle philosophique pour s’incarner concrètement sur le plan politique. En voulant « décoloniser » les consciences et en expliquant qu’il n’y a pas de « science » mais des « ethnosciences » qui ne se comprennent que dans un système culturel donné, ces intellectuels de gauche ont radicalement déblayé le terrain philosophique pour un parti nationaliste hindou, le BJP, qui a accédé au pouvoir entre 1998 et 2004, et qui, autour de la notion d’« hindouité », a appliqué son programme de restauration des croyances traditionnelles en expurgeant les manuels d’histoire des contributions des musulmans et en instaurant à l’université l’enseignement de toutes une série de pseudosciences, dont l’astrologie védique. Le jugement de Nanda est implacable : « Les humanistes de gauche ayant adopté un programme nativiste et antirationaliste fondé sur des théories postmodernes prétentieuses, il ne reste quasiment plus aucune résistance organisée aux nationalistes hindous. (…) Il nous manque une conception du monde laïque convaincante capable de mobiliser l’opinion populaire et qui ne craigne pas de contredire la prétendue « sagesse » des traditions populaires. » (p. 117). Et Sokal de renchérir : « Les attaques du postmodernisme contre l’universalisme et l’objectivité, tout comme sa défense des "savoirs locaux", s’adaptent particulièrement bien aux idéologies nationalistes de tout genre. La plupart des postmodernes contemporains sont des intellectuels progressistes qui se soucient sincèrement du sort des pauvres et des opprimés. Malheureusement, les idées ont la fâcheuse manie d’échapper aux intentions initiales de leurs créateurs » (p. 149).


Evidemment, je ne peux pas aller contre ce que dit Canardos :
a écrit :
la d'accord, il n'y a pas de raison de faire de differences entre la musique indienne, la musique chinoise la musique arabe ou la musique classique europenne.


même si je peux pas m'empêcher non plus de trouver que du rock n roll avec des guitares électriques c'est vachement moins chiant que de la musique traditionnelle indienne avec des tablas.... Mais bon, là, je veux bien admettre que c'est un point de vue d'occidental qui est le produit de son milieu et de son époque.
luc marchauciel
 
Message(s) : 73
Inscription : 12 Avr 2008, 18:37

Message par charpital » 08 Sep 2008, 20:01

a écrit :avec des critères absolus que tu demandes à Canardos, et conclure que l'explication de la nature par l'un est bien "inférieure" à l'explication de la nature par l'autre. Parc eque l'une relève d'une poesnée rationelle qui a permis des progrès phénoménaux dans le contrôle de la nature elle-même, alors que l'autre relève d'une pensée magique sans beaucoup de prise sur le réel.

Oui, mais encore une fois, c'est le développement des forces productives qui explique le développement des sciences et de la "rationalité", et pas l'inverse. On fait comme si les sciences n'étaient que pure "culture de la rationalité", pures idéaux (supérieur en ce qu'ils expliquent la suppériorité de "l'occident" sur tout le reste. C'est une façon trompeuse (et dangereuse pour des marxistes révolutionnaires) de raisonner. La question est bien de réagir face au racisme, et de dire quelle conception de la science elle implique. Or on est totalement dans ce débat !

Le probléme, c'est qu'on a une vision totalement idéaliste des science et de la "rationalité", alors qu'il faudrait en avoir une vision purement matérialiste. C'est pour ça qu'il me semble préférable de faire de l'éducation chez les jeunes (et chez les vieux, mais c'est plus facile chez les jeunes) sur comment se fabrique la science, que ce n'est pas "magique" (je dois dire que je suis toujours surpris sur la vision "magique" qu'on la plupart des gens sur le fonctionnement des dispositifs techniques un peu complexe), etc Plutot que d'expliquer que les "bricolages" qu'ils tentent sont marquée de déraison, plutot leur montrer que la science n'est pas réservé a une élite de barbus (vous avez remarqués comment les scientifiques du XIX siécle portaient tous la barbe) mais quelque chose qu'ils peuvent apréhender...

Sinon, je suis "relativement" relativiste, eu égard a la définition du relativisme "Le relativisme épouse un point de vue selon lequel le sens et la valeur des croyances et des comportements humains n’ont pas de références absolues." De même il me semble que la science n'a pas de croyance "absolue" et définitive. Le contraire, c'est de l'absolutisme, totalement étranger aux sciences elles mêmes.
charpital
 
Message(s) : 0
Inscription : 30 Mai 2008, 16:35

Message par luc marchauciel » 08 Sep 2008, 20:26

(charpital @ lundi 8 septembre 2008 à 21:01 a écrit : Sinon, je suis "relativement" relativiste, eu égard a la définition du relativisme "Le relativisme épouse un point de vue selon lequel le sens et la valeur des croyances et des comportements humains n’ont pas de références absolues." De même il me semble que la science n'a pas de croyance "absolue" et définitive. Le contraire, c'est de l'absolutisme, totalement étranger aux sciences elles mêmes.

L'abolutisme, c'est une doctrine relative à l'organisation de l'Etat et qui est favorable à un pouvoir absolu (= sans limite) du souverain, cela n'a rien à voir avec notre débat. Le contraire du relativisme, c'est l'universalisme, celui qui permet de trouver un peu choquant que tu te revendiques du relativisme tel que tu en as trouvé la définition : "un point de vue selon lequel le sens et la valeur des croyances et des comportements humains n’ont pas de références absolues."
Tu te rends compte que ce faisant tu admets qu'il n'y a pas d'impératif absolu au refus du viol, de l'excision, du lynchage des homos, des discriminations fondées sur la couleur de peau, etc., que tout cela dépend du contexte et de la culture bla bla bla ? Ben si, il y a des comportements humains qui sont déguelasses quel que soit le contexte et il y a des croyances qui sont idiotes quelle que soit l'aire géographique et les sociétés où elles ont trouvé naissance. C'est à cause de cette imprégnation relativiste que plein de gauchos babas sont fascinés par exemple par la société indienne et ses traditons ... qui sont d'une violence sociale et d'un racisme inoui (cf les castes) Relis bien ta définition de relativisme avant d'y adhérer (je pense que tu n'as pas réfléchi aux conséquences logiques de ton adhésion à cette définition)
En réalité, et Sokal le montre bien, ce point de vue philosophique, qui se veut 'antiraciste' et progressiste est une porte béante ouverte à la réaction et à l'obscurantisme. Encore une fois : si je peux me permettre de trouver barbare la pratique de l'excision dans tel coin d'Afrique, ce n'est pas seulement parce qu'il y a évidemment sur place des gens qui se battent contre ça, mais aussi parce que je considère l'exciseuse et l'excisée comme mes semblables, accessibles comme moi à la souffrance, à la raison, à l'empathie, à la pensée logique, à la joie, etc.
Pour être précis, je pense que c'est justement l'universalisme qui fonde un antiracisme absolu, et que l'antiracisme relativiste n'est que très relativement antiraciste si on creuse un peu....
luc marchauciel
 
Message(s) : 73
Inscription : 12 Avr 2008, 18:37

Message par canardos » 08 Sep 2008, 20:26

a écrit :Oui, mais encore une fois, c'est le développement des forces productives qui explique le développement des sciences et de la "rationalité", et pas l'inverse. On fait comme si les sciences n'étaient que pure "culture de la rationalité", pures idéaux (supérieur en ce qu'ils expliquent la supériorité de "l'occident" sur tout le reste.


qui a dit autre chose....la technologie fait partie de la culture, non, ce n'est pas seulement la musique et la litterature.

donc les bases de la culture scientifique et technique et de la revolution des idées sont nées dans les pays qui ont le premier connu la revolution industrielle, en Europe. Il n'empeche que cette culture est objectivement un progres.

alors je ne comprend pas ta formule:

a écrit : La question est bien de réagir face au racisme, et de dire quelle conception de la science elle implique. Or on est totalement dans ce débat !


dire que les cultures préindustrielles sont des facteurs d'arrieration et des freins aux luttes, beaucoup d'intellectuels et de militants des pays conquis par l'imperialisme l'ont fait. A l'époque on ne les traitait pas de racistes! mais maintenant...

comme si en effet defendre la superiorité de la pensée scientifique sur la pensée magique, s'opposer aux mentalités feodales ou religieuses qui entrave la prise de conscience et les luttes des populations exploités par l'imperialisme c'était du racisme ou de l'ethnocentrisme§

Dois je te rappeler que l'appui aux regimes religieux du monde entier c'est la politique de l'imperialisme américain et que ce sont justement les intellectuels ultra réactionnaires du courant relativiste et post moderniste qui justifient cette politique en assimilant toute critique des religions à une forme de racisme au nom du relativisme culturel.

Pour moi le racisme, c'est de renoncer justement au nom du relativisme culturel à combattre les préjugés réactionnaires et religieux. Parce que ça, ça traduit vraiment une conception méprisante des populations concernées qui devraient en rester au moyen age....
canardos
 
Message(s) : 18
Inscription : 23 Déc 2005, 16:16

PrécédentSuivant

Retour vers Sciences

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 3 invité(s)