Fermeture de Continental Clairoix

Message par Pélagiste » 10 Juin 2009, 19:33

a écrit :Lutte Ouvrière n°2132 du 12 juin 2009

Continental-Clairoix

Après trois mois de lutte, les travailleurs arrachent leurs revendications



Samedi 6 juin à 10 heures, 700 bras se sont levés pour approuver le protocole d'accord conclu le matin même à 4 h 30 à Paris-Charles-de-Gaulle entre l'intersyndicale et la direction internationale de Continental AG. Il y avait une forte émotion dans l'assemblée générale, chacun ayant le sentiment d'avoir gagné le bras de fer engagé le 11 mars avec la multinationale.

Au terme de cet accord, les revendications acquises auparavant sont confirmées et un système de préretraite maison à 51 ans et demi est gagné en plus. Au final les 1 120 travailleurs de l'usine de Clairoix vont bénéficier des mesures suivantes :

- Une garantie d'emploi jusqu'en début 2012, alors que 650 licenciements étaient prévus en octobre 2009. L'État participe à ce montage en payant quatre mois de chômage partiel pour lesquels Continental complétera les salaires à hauteur de 75 % du brut (soit 95 % du net). En février 2010 débutera un congé de reclassement de 23 mois, dont les salariés ont l'assurance qu'ils ne pourront pas être exclus pour quelque motif que ce soit.

- Chaque salarié touchera une prime uniforme de 50 000 euros nette de CSG-CRDS, à laquelle s'ajoutera le doublement de la prime conventionnelle, soit 0,6 mois par année d'ancienneté. Cela portera le total, pour un ouvrier confectionneur, de 50 000 euros s'il vient d'être embauché à 100 000 pour les plus anciens. Les plus qualifiés toucheront plus.

- Pour tous ceux qui auront 52 ans et plus au 31 décembre 2009, Continental garantit de se substituer au chômage si le salarié, qui rentrera à partir de mars 2012 dans la période d'indemnisation des Assedic, s'en trouvait exclu. De plus, à tous ceux qui ne pourraient pas entrer en retraite à l'issue de leur chômage indemnisé à taux plein, Continental versera une prime compensatoire. Ainsi, jusqu'à la retraite, la rémunération qu'ils avaient perçue pendant leur période de congé de reclassement leur sera assurée.

- À cela s'ajoutent un certain nombre d'autres mesures classiques dans les plans sociaux.

Jusqu'au bout, et encore maintenant, la mobilisation n'a pas faibli. Juste après cette assemblée, plus de 800 travailleurs de l'usine Goodyear d'Amiens, menacés d'un plan de 820 licenciements, débarquaient à l'usine de Clairoix, pour rendre la politesse aux travailleurs de Continental qui étaient venus les rejoindre à Amiens le mardi précédent. Et, après une visite de l'usine, c'est un cortège de 1 500 travailleurs qui a pris la direction de Compiègne pour une manifestation dynamique éclairée par un immense feu de pneus sur le pont principal de la ville. À cette occasion les travailleurs de Continental ont apporté leur soutien à la lutte courageuse des ouvriers de Lear en grève depuis 9 semaines, comme aux salariés des entreprises sous-traitantes, Smile et UTI, menacés eux aussi de licenciement par suite de la fermeture de leur usine. Et la nécessité d'une lutte d'ensemble des travailleurs a été rappelée à l'issue de cette manifestation commune.

Lundi 8 juin encore, plus de 900 personnes participaient à l'assemblée générale devant l'usine. Celle-ci adoptait à l'unanimité la motion suivante, proposée par le comité de lutte :

« Les 1 120 salariés de l'usine Continental-Clairoix considèrent les garanties arrachées comme un succès considérable, tout particulièrement dans le cadre de l'offensive générale menée par le patronat actuellement. C'est le résultat d'une lutte acharnée de trois mois où la démocratie ouvrière qui a régné, à travers les assemblées générales quotidiennes, et appuyée sur le comité de lutte rassemblant syndiqués et non-syndiqués, a permis d'installer durablement l'unité totale du personnel dans la lutte commune et le rassemblement de toutes les organisations syndicales, au-delà de leurs différences, sur les revendications choisies par les travailleurs de l'usine ». Pour conclure : « Ce qui reste à obtenir : d'abord l'arrêt des poursuites contre sept de nos camarades pris en otage par l'État. » Leur convocation au tribunal de Compiègne est en effet toujours prévue pour le 17 juillet.

Les travailleurs ont donc décidé de ne pas relâcher la mobilisation, d'autant que l'accord final doit être définitivement entériné à l'issue du Comité central d'entreprise qui doit se tenir le 17 juin.

Correspondant LO
Pélagiste
 
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Message par titi » 10 Juin 2009, 20:15

salut

demain, il y a un CE de goodyear à Rueil, à coté de Nanterre.
Les travailleurs de goodyear amiens sont attendus en manif.

je travaille dans la zone d'activités où aura lieu ce CE, pas pour goodyear, mais pour une boite géographiquement à coté

depuis hier, on reçoit pleins de mails, de la mairie de Rueil, de notre patron, pour nous raconter les moyens policiers mis en place, que le parking va etre fermé toute la journée, la rue barricadée et interdite aux piétons, qu'il faudra se munir de pièce d'identité + un document de la boite disant qu'on y travaille afin de passer les controles de police (en passant "par derrière" puisque la rue va principale va etre interdite)

on a reçu comme consigne de ne pas travailler dans les bureaux "coté rue"
de ne pas chercher à rencontrer les manifestants
les bancs de bois qui servent à se reposer dehors ont été enlevés

hallucinant !

et les plus folles rumeurs circulent, sur les "casseurs" qui vont venir

voilà pour mon petit témoignage, je vous raconte la suite demain (enfin, s'il y a des choses à raconter)
titi
 
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Message par titi » 11 Juin 2009, 12:29

alors, la manif s'est finie tout à l'heure, évidemment pas d'incident à noter, malgré nos patrons qui continuaient les rumeurs ("il y a des casseurs qui attendent au café du coin")

arrivée à partir de 7h du mat des premiers gars, puis les cars arrivent, et les camionnettes avec le matos de la manif

il y avait du monde, du bruit effectivement, pas mal de pétards, de la musique (ça a commencé avec les pink floyd !! bon après c'était Imagination, et même à un moment Johnny "allumez le feu"), je suppose pour tenir la durée (de 7h à 12h30, il faut parfois faire patienter)

si j'ai bien compris, la réunion de CE commençait à 10h. effectivement, vers 10h quelqu'un a du arriver de la direction, car les slogans ont changé de ton ("dumontier, enculé !"). Mais bon, les organisateurs de la manif ont bien tenu les troupes, aucun dégat à l'extérieur (tout juste des autocollants collés sur des bagnoles ou des boites aux lettres)

dans ma boite, dans les bureaux, évidemment tout le monde ne parlait que de ça, un mélange de "quel western" et de "ils ont bien raison"
les chefs nous expliquaient de ne pas sortir dehors pour regarder, plus sans doute par peur des provocations (venant de chez nous)
des rumeurs courraient "si on est envahis on ferme la boite pour la journée" ... dommage :D

les crs barraient sur deux cotés, donc les manifestants pouvaient arriver (puis repartir) des deux autres entrées
en fait, les plus gros dégats, ce sont les crs qui les ont fait, en dessoudant des blocs de béton pour barrer la rue !


voilà, à la fin, quand la manif était finie et que tout le monde rentrait, je suis sorti de ma boite et allé voir des gars pour leur exprimer ma solidarité, et filer 20euros pour leur caisse de grève (ça les a surpris !).
en échange j'ai un beau tee-shirt, vert, marqué "ouvriers exploités - en lutte - contre les tortionnaires - goodyear" : presque aussi beau que ceux de la fete ! :roll:
titi
 
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Message par com_71 » 26 Juin 2009, 16:19

(lutte ouvrière cette semaine a écrit :Continental - Clairoix (Oise) Patrons délinquants protégés, salariés licenciés poursuivis - La mobilisation continue

Après trois mois et demi de lutte, les 1 120 travailleurs de Continental-Clairoix devraient voir aboutir leur combat avec la signature, attendue le 25 juin, de l'accord définitif reprenant la quasi-totalité de leurs revendications, par la direction internationale du groupe Continental AG, les représentants syndicaux et l'État.

Après le report de 27 mois des licenciements, les primes exceptionnelles, les garanties pour les salariés les plus fragiles, (ceux ayant 51 ans et demi actuellement), un problème restait : celui des poursuites engagées contre sept salariés, convoqués le 17 juillet devant le tribunal de Compiègne à la suite de la manifestation à la sous-préfecture. Face à cela, une manifestation de 800 travailleurs de Continental a été organisée à Paris mercredi 24 juin.

Depuis le début les travailleurs en lutte ont affiché leur slogan : « Un pour tous, et tous pour un », les assemblées ont rappelé que personne ne serait laissé sur le bord du chemin, qu'il soit jeune ou moins jeune, et aucun des salariés pris en otage par le gouvernement. Car c'est bien de cela qu'il s'agit.

Dès l'annonce de la fermeture de l'usine de Clairoix, les ministres et Sarkozy lui-même ont répété qu'ils ne laisseraient pas passer les violations à la loi dont s'étaient rendus coupables les patrons de Continental. Christine Lagarde, la ministre de l'Économie, annonçait solennellement le 26 mars qu'elle entamait des actions juridiques pour faire condamner les délits graves dont ces mêmes patrons s'étaient rendus coupables. Et puis... rien. Le 21 avril, Continental faisait un nouveau coup de force en décrétant le lock-out général de l'entreprise afin de précipiter sa fermeture définitive, en l'absence de toute procédure. La direction du groupe se rendait coupable à nouveau de plusieurs délits graves, reconnus comme tels par les représentants du gouvernement. Mais il n'y aura aucune poursuite intentée par quiconque.

Si le gouvernement, l'État et l'appareil judiciaire se sont montrés protecteurs, et donc complices des délinquants patronaux de Continental qui provoquaient la ruine d'une région, les mêmes n'ont pas montré la même mansuétude envers les salariés qui avaient osé réclamer un peu bruyamment à la sous-préfecture, le 21 avril, que le gouvernement respecte ses engagements, pris pourtant un mois auparavant, à savoir la mise sur pied d'une réunion de négociation tripartite avec la direction de Continental et l'État.

Mardi 16 juin, la délégation de l'intersyndicale reçue au ministère de la Justice demandait que la chancellerie fasse, comme elle en a le pouvoir, une note écrite pour demander, par la voix du procureur, la relaxe pure et simple des sept salariés convoqués devant le tribunal de Compiègne et l'arrêt des poursuites. Elle essuyait un refus. Le gouvernement veut faire la démonstration qu'il entend protéger les patrons délinquants et punir les travailleurs qui ne se contentent pas d'être des victimes sur qui on peut pleurer, mais entendent être des femmes et des hommes dignes qui défendent leur droit à la vie, face à l'injustice patronale.

Comme l'intersyndicale et le comité de lutte l'ont déclaré, cette volonté gouvernementale de faire condamner des travailleurs en lutte dépasse le cas des travailleurs de Continental. Leur lutte a été gagnante et a eu un large soutien populaire. Contre cela, le gouvernement ne peut plus rien aujourd'hui, si ce n'est cette attitude de vengeance mesquine. Mais ce geste est dirigé contre tous les autres travailleurs du pays. Que d'autres catégories sociales fassent preuve de radicalisme, passe pour les représentants des possédants, mais que les ouvriers le fassent, c'est trop dangereux : qu'ils affirment leur détermination pourrait être contagieux, surtout dans le contexte actuel d'attaques tous azimuts.

C'est pourquoi l'assemblée de 800 travailleurs qui s'est tenue vendredi 19 juin devant l'usine a décidé la montée à Paris du mercredi 24 juin. Un appel a été lancé à tous les dirigeants des organisations syndicales et politiques pour soutenir la demande d'arrêt des poursuites. Un rassemblement de solidarité et de soutien a été décidé pour le samedi 4 juillet après-midi sur le terrain municipal de Margny-lès-Compiègne. L'intersyndicale et le comité de lutte ont décidé de s'adresser à tous, population, salariés, militants, artistes, qui veulent affirmer à leurs côtés le refus de la répression des luttes ouvrières.

Correspondant LO



Les travailleurs de Continental place Vendôme le 24 juin.
Intervention de soutien d'Olivier Besancenot :

http://www.dailymotion.com/swf/x9ojm0
L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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Message par medved » 27 Juin 2009, 11:31

Les jt de FR3 Picardie du 26 juin ont montré:
-la signature de l'accord ,
-qqs images de l'AG du 26 et des grévistes de LEAR.

-http://jt.france3.fr/player/regions/?id=c80a_1214part1
sujet à environ 1mn23

-http://jt.france3.fr/player/regions/?id=c80a_1920
sujet à environ 3mn29

Les CONTI, par une lutte déterminée contre la direction et le gouvernement,
ont gagné.

U n exemple que des salariés suivent ,et dont la direction de la CGT ne fait pas la promotion.Appellera-t-elle seulement à soutenir les 7 CONTI que le gouvernement
veux condamner pour l'exemple?

Quant au délégué CFTC il devrait s'immoler sur un tas de pneus.Son geste ramènera certainement les responsables de Continental à de meilleurs sentiments...
medved
 
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Message par pelon » 01 Juil 2009, 22:33



a écrit :
Le 4 juillet, aux côtés des travailleurs de Continental pour exiger l'arrêt des poursuites judiciaires
Samedi 4 juillet à partir de 12 h 30, l'intersyndicale de Continental-Clairoix et le Comité de lutte appellent à un rassemblement au parc de la mairie de Margny-lès-Compiègne pour exiger l'arrêt des poursuites judiciaires et la relaxe des sept travailleurs de l'usine poursuivis pour fait de manifestation dans le cours de leur lutte. Un grand meeting est prévu à 16 h 30. Il sera précédé et suivi par la participation d'artistes qui se produiront en soutien à ce rassemblement militant et festif.

Les sept salariés convoqués devant le tribunal de Compiègne le 17 juillet sont poursuivis pour la manifestation à la sous-préfecture le 21 avril.

Jeudi 25 juin, le gouvernement paraphait, aux côtés de Continental AG et des représentants du personnel, l'accord final qui reprend les revendications pour lesquelles le personnel s'est battu pendant près de quatre mois.

Les 1 120 travailleurs de Continental s'étaient juré de rester solidaires jusqu'au bout pour garantir les droits de tous, en ne laissant personne sur le bord du chemin. La mobilisation s'est maintenue aussi forte pour demander l'arrêt des poursuites judiciaires et la relaxe de leurs sept camarades.

Mercredi 24 juin, ce sont plus de 800 travailleurs de Continental qui ont manifesté à Paris, de la gare du Nord aux abords du ministère de la Justice. L'appel à les soutenir, adressé aux dirigeants des confédérations syndicales et des partis politiques, n'a reçu un retour que des partis de gauche. Pour le PCF Marie-George Buffet avait fait part de son soutien. Pour Lutte Ouvrière, le message de notre camarade Nathalie Arthaud, retenue à Lyon, a été lu devant les manifestants. Pour le NPA, Olivier Besancenot a pris la parole, de même que Claude Bartolone pour le Parti Socialiste.

Vendredi 26 juin, plus de 850 travailleurs étaient encore rassemblés devant l'usine et ont décidé de se mobiliser pour réussir le rassemblement du 4 juillet à Margny-lès-Compiègne, auquel Nathalie Arthaud et Olivier Besancenot ont déjà confirmé leur participation.

Les poursuites judiciaires contre les sept de Continental ont quelque chose d'indécent. Pour arriver à la fermeture de l'usine de Clairoix, les patrons de Continental ont commis des délits graves et répétés, que les représentants du gouvernement ont reconnus comme tels. Tout cela va entraîner la ruine économique partielle de toute une région. Non seulement l'État n'a entamé aucune poursuite contre ces dirigeants délinquants, mais il les a récompensés de leurs méfaits en leur attribuant 20 millions d'euros de fonds publics. Alors comment oser s'acharner contre sept ouvrières et ouvriers à qui on reproche des broutilles ?

En tous les cas, samedi 4 juillet s'affirmera à Margny-lès-Compiègne la solidarité des travailleurs, conscients que toucher à l'un, toucher à sept, c'est s'attaquer à tous, à ceux de Continental comme à tous les autres.

Correspondant LO
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Message par ulm » 06 Juil 2009, 22:21

manifestation de soutien aux sept conti tres reussie :wub:

Cela est apparue comme une fete grace à la peche de xavier Mathieu et d'"obelix" l'autre figure emblematique du mouvement et des groupe ROCK ET RAP

Presence de Nathalie tres convaincante,OB petit tour devant les cameras et puis reparti en laissant ivan zimmerman intervenir, du PC pris a parti par quelques ouvriers , PG et PS intervention pour demander l' unité aux elections

Grand moment quand les ouvriers ont applaudi Roland Szpirko (la chair de poule) Bref un vrai bonheur
ulm
 
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Message par Crockette » 06 Juil 2009, 22:37

et thibault qu'est ce qu'il fait ??

il prépare une réunion sur la relance de l'industrie en france avec le gouvernement ??

à moins qu'il négocie déjà surle travail du dimanche, ah ben non ! le gouvernement a légiféré déjà...sans leur demander leur avis.

franchement les permanents CGT...leur silence ça me scotche... :headonwall:
Crockette
 

Message par quijote » 06 Juil 2009, 22:45

(Crockette @ lundi 6 juillet 2009 à 22:37 a écrit : et thibault qu'est ce qu'il fait ??

il prépare une réunion sur la relance de l'industrie en france avec le gouvernement ??

à moins qu'il négocie déjà surle travail du dimanche, ah ben non ! le gouvernement a légiféré déjà...sans leur demander leur avis.

franchement les permanents CGT...leur silence ça me scotche... :headonwall:

Thibaut au fond t 'en attend quelque chose , toi? Moi , rien . C 'est sa présence qui m 'aurait étonné : il est trop occupé à donner des gages de respectabilité à la bourgeoisie ..
quijote
 
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Message par Zorglub » 08 Juil 2009, 21:49

Il aurait été gonflé de venir surtout après l'ostracisme de la fédération (Chimie). Attention il s'agit d'oppositionnels paraît-il. :hinhin:

On a quand même eu le droit à Wamen venu en délégation (Goodyear Amiens) qui a montré un certain culot en affirmant devant les Conti que les 50 000 € obtenus (alors que c'est un minimum) c'était rien.
Zorglub
 
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