
Le Forum Social Mondial finit dans la répression
La police a fait ce qu'elle savait le mieux faire en attaquant manifestants et spectateurs le dernier jour du World Social Forum.
Tout a commencé lorsqu'une Mapuche qui participait au WSF et logeait au camp international de la jeunesse ("international youth camp") a été arretée pour "exhibitionnisme" car elle se baignait nue dans une rivière.
Les activistes ayant pris connaissance de ce fait ont organisé une protestation pacifique de plus de 400 personnes qui ont enlevé leurs vêtements en solidarité.
La police a attaqué la "marche nue" lorsque celle-ci a quitté le camp de la jeunesse afin de se rendre au centre-ville.
Après avoir blessé et arrêté des participants, la police a brutalisé des journalistes et des spectateurs. Un nombre inconnu de personnes ont été hospitalisés et arrétés à la suite de l'assaut des forces de l'ordre.
Que ceci arrive à la fin d'une semaine de discussions à propos de la solidarité internationale révèle une scandaleuse intolérance.
La police a fait ce qu'elle savait le mieux faire en attaquant manifestants et spectateurs le dernier jour du World Social Forum.
Tout a commencé lorsqu'une Mapuche qui participait au WSF et logeait au camp international de la jeunesse ("international youth camp") a été arretée pour "exhibitionnisme" car elle se baignait nue dans une rivière.
Les activistes ayant pris connaissance de ce fait ont organisé une protestation pacifique de plus de 400 personnes qui ont enlevé leurs vêtements en solidarité.
La police a attaqué la "marche nue" lorsque celle-ci a quitté le camp de la jeunesse afin de se rendre au centre-ville.
Après avoir blessé et arrêté des participants, la police a brutalisé des journalistes et des spectateurs. Un nombre inconnu de personnes ont été hospitalisés et arrétés à la suite de l'assaut des forces de l'ordre.
Que ceci arrive à la fin d'une semaine de discussions à propos de la solidarité internationale révèle une scandaleuse intolérance.