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a écrit :les prolétaires s’attaquaient à l’Etat et à se serviteurs les armes à la main.

Ce bluff est inutile et comme tous les bluffs, contre-productif.
Pour dénoncer les agissements de l'appareil d'Etat, pas besoin de se raconter des fabliaux sur le rapport des forces.
Et les groupes terroristes italiens n'ont jamais, ni qualitativement, ni quantitativement, représenté les prolétaires.

D'accord avec Jacquemart. Par contre, que ces magistrats qui travaillent pour la raison d'Etat, pardon les raisons d'Etat puiqu'il s'agit ici des bonnes relations entre la France et l'Italie, se fassent chahuter n'est pas pour me déplaire... que cela plaise ou pas aux bobos qui se préparaient une agréable soirée téléramesque.
Si un jour, tous les magistrats qui ont rendu des jugements contre les travailleurs, par exemple en acceptant des licenciements, des jugements de larbins du patronat, ne pouvaient plus aller diner tranquillement en ville sans être pris à partie dans la rue, cela ne me déplairait pas.