Haïti

Message par Maxence » 22 Jan 2010, 02:50

Sur le site "matière et révolution"
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a écrit :Haïti : l’intervention "humanitaire" cache une guerre contre le peuple révolté

C’est sans délai que des forces armées considérables (des dizaines de milliers de soldats) venues des USA, de France et du reste du monde ont débarqué en Haïti, suite au tremblement de terre qui a frappé durement la capitale, Port-au-Prince. Et, malgré un discours médiatique voulant faire croire à une aide humanitaire, la tâche essentielle qui leur est assignée est le rétablissement de l’ordre. Elles sont équipées pour la répression et non pour le sauvetage. Des unités US spécialistes anti-émeutes ont été dépêchées. Les équipes de sauveteurs sont bloquées par la priorité donnée à l’envoi des militaires. Un avion-hôpital et des secouristes avec chiens ont été refusés pour faire passer en priorité les troupes de Marines, spécialistes de la répression des révoltes populaires. Certaines équipes de sauveteurs liées à des ONG n’ont toujours pas pu se rendre sur place tandis que les forces armées sur place sont des centaines de fois supérieures en nombre aux équipes de sauveteurs. Des navires de guerre US sont à proximité d’Haïti pour intervenir en cas d’insurrection générale.

Du coup les secours et les secouristes n’arrivent pas. La plupart des gens n’ont reçu ni aide alimentaire, ni sanitaire et certaines villes n’ont encore vu personne. Aucune force gouvernementale, aucune armée n’a participé aux sauvetages de première urgence réalisés à mains nues par la population elle-même.

L’inquiétude des grandes puissances, ce sont les réactions populaires et pas les victimes à sauver et les populations survivantes à aider, contrairement ce que l’on cherche à nous faire croire ici. Si les forces armées du monde se sont empressées d’intervenir, c’est pour éviter que le vide du pouvoir, causé par le tremblement de terre qui a mis à bas les édifices publics, les bâtiments de l’Etat et des forces armées d’occupation étrangères, ne se transforme en tremblement de terre... social. Et ces forces cachent leur crainte du peuple d’Haïti derrière de prétendus pillages, mais, quand on crève de faim, se servir dans les magasins, c’est simplement vital, ce n’est pas un crime !

Pour comprendre le rôle des armées étrangères en Haïti, il faut se rappeler que l’intervention militaire américaine, onusienne ou française ne date pas du tremblement de terre. Elle a pour prétexte la défense de la sécurité de la population civile mais, en fait, elle est le produit de la révolte sociale qu’a connu Haïti lorsque, en 1986, le peuple haïtien s’est débarrassé de la dictature des Duvalier que soutenaient les pays occidentaux. Oui, le peuple travailleur d’Haïti a vécu une révolution, en s’attaquant aux barbares « tontons macoutes » et en renversant la dictature de « Bébé doc » Duvalier, soutenue par les USA. Le pouvoir a été durablement ébranlé. Ce n’est que récemment que les grandes puissances occupant Haïti ont pu permettre à l’armée haïtienne de retourner dans ses quartiers généraux. L’échec de cette révolution haïtienne provenait du fait que les partis et organisations sociales, syndicales, religieuses et politiques qui en avaient pris la tête, loin de souhaiter la prise de pouvoir par les opprimés, ne visaient qu’à faire rentrer le peuple dans le rang. Jamais ils n’ont averti le peuple contre l’armée de Duvalier à peine reconvertie. Jamais ils n’ont appelé le peuple à se lier aux petits soldats et ces derniers à ne plus obéir à leur hiérarchie. Au contraire, tous leurs efforts des dirigeants syndicalistes, religieux, sociaux-démocrates et staliniens ont été de réconcilier le peuple avec l’armée et les classes dirigeantes, avec l’aide d’Aristide, devenu en 1994 la marionnette des USA.

Et les dizaines de milliers de soldats des armées étrangères occupant le pays depuis 2004 ne visent nullement à remettre en cause la dictature et la misère. Ils ont occupé le pays parce que le peuple menaçait le pouvoir et les classes dirigeantes haïtiennes. Cette prétendue « force de paix » n’a fait qu’attaquer violemment la population des quartiers pauvres et des bidonvilles aux côtés des forces armées et des milices locales. Lors des dernières émeutes de la faim en 2008, le petit peuple d’Haïti, entre autres revendications, réclamait le départ des troupes de l’ONU et des troupes étrangères. Toutes ces forces armées n’ont rien fait contre la classe dirigeante, contre la misère et l’exploitation. Rien face aux cyclones. Celui qui a détruit Gonaïves, la ville la plus révolutionnaire du pays, a laissé le peuple détruit, englué dans la boue sans que cette fameuse « communauté internationale » ne bouge le petit doigt. Le tremblement de terre a achevé de détruire la crédibilité du pouvoir, et les grandes puissances craignent que le peuple haïtien se saisisse de l’occasion pour se débarrasser de ses oppresseurs.

Quant aux travailleurs d’ici, loin de marcher dans la propagande humanitaire hypocrite des grandes puissances, ils devraient souhaiter au peuple haïtien ce que ses oppresseurs craignent le plus : que le peuple se libère et que l’île révolutionnaire renaisse de ses cendres.... !
Maxence
 
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Message par Maxence » 24 Jan 2010, 09:51

a écrit :Les Haïtiens clament : "de l’aide, des soins, pas des militaires !"

Si les télés, les radios et les journaux nous montrent de l’aide qui parvient à Haïti, les Haïtiens, eux, ne semblent pas l’avoir reçue, dans leur grande majorité. Par contre, c’est sans délai que des forces armées considérables (des dizaines de milliers de soldats) venues des USA, de France et du reste du monde ont débarqué en Haïti, suite au tremblement de terre qui a frappé la capitale, Port-au-Prince. Par contre, la nourriture, les sauveteurs et les soins ne sont pas encore parvenus aux Haïtiens.

Malgré un discours médiatique voulant faire croire à une intervention humanitaire, la tâche essentielle qui leur est assignée est le rétablissement de l’ordre. Elles sont équipées pour la répression et non pour le sauvetage. Des unités US de combat parachutistes, les fameux bérets noirs, occupent le pays aux côtés des Marines. Les équipes de sauveteurs liées à des ONG, un avion-hôpital et des secouristes avec chiens ont été bloquées par la priorité donnée à l’envoi des militaires. Les forces armées sont des centaines de fois supérieures en nombre aux sauveteurs. Des navires de guerre US sont à proximité d’Haïti pour intervenir en cas d’insurrection générale. Aucune force gouvernementale, aucune armée n’a participé aux sauvetages de première urgence réalisés à mains nues par la population elle-même. Les Haïtiens clament : « de l’aide, des soins, pas des militaires ! »

Si les forces armées du monde se sont empressées d’intervenir, c’est pour éviter que le vide du pouvoir, causé par le tremblement de terre qui a mis à bas les bâtiments de l’Etat et des forces armées d’occupation étrangères, et, plus encore, la perte de crédibilité du pouvoir ne se transforme en tremblement de terre... social. Et ces forces cachent leur peur du peuple d’Haïti derrière la crainte de prétendus pillages, mais, quand on crève de faim, se servir dans les magasins, c’est simplement vital, ce n’est pas un crime ! Les vrais bandits, ce sont les grandes puissances qui n’ont cessé de soutenir des dictatures en Haïti et les escadrons de la mort, macoutes ou autres. Et les armées étrangères occupant le pays depuis 2004, cette prétendue « force de paix » qui prétendait défendre la sécurité des civils, n’ont fait qu’attaquer violemment la population des quartiers pauvres et des bidonvilles, comme lors des émeutes de la faim en 2008. Les troupes étrangères n’ont rien fait contre les bandes armées de la classe dirigeante, contre la misère et l’exploitation. Rien face aux cyclones. Celui qui a détruit Gonaïves, la ville la plus révolutionnaire du pays, a laissé le peuple englué dans la boue sans que cette fameuse communauté internationale ne bouge le petit doigt.

L’humanitaire des grandes puissances laisse pantois : le ministère de l’intérieur français a momentanément suspendu les reconduites à la frontière des Haïtiens en « situation irrégulière » sans les régulariser. La Banque Mondiale a reporté de cinq ans le paiement de la dette alors que, selon ses propres spécialistes, Haïti ne sera pas reconstruit avant dix ans !

Le véritable but des interventions armées étrangères est de désamorcer la révolte sociale qui a débuté en 1986, lorsque le peuple haïtien s’est débarrassé de la dictature des Duvalier que soutenaient les pays occidentaux. Oui, le peuple travailleur d’Haïti a vécu une révolution, en s’attaquant aux barbares « tontons macoutes » et en renversant la dictature de « Bébé Doc » Duvalier. Le pouvoir a été durablement ébranlé. Ce n’est que récemment que les grandes puissances occupant Haïti ont permis à l’armée haïtienne de retourner dans ses quartiers généraux. L’échec de cette révolution haïtienne provenait du fait que les partis et organisations qui en avaient pris la tête, loin de souhaiter la prise de pouvoir par les opprimés, ne visaient qu’à faire rentrer le peuple dans le rang. Jamais ils n’ont averti le peuple contre l’armée de Duvalier. Jamais ils n’ont appelé le peuple à se lier aux petits soldats et ces derniers à ne plus obéir à leur hiérarchie. Tous les efforts des dirigeants syndicalistes, religieux, sociaux-démocrates et staliniens, ainsi que d’Aristide, ont été de réconcilier le peuple avec l’armée et les classes dirigeantes.

Quant aux travailleurs d’ici, loin de marcher dans la propagande humanitaire hypocrite des grandes puissances, ils devraient souhaiter au peuple haïtien ce que ses oppresseurs craignent le plus : que le peuple se libère et que l’île révolutionnaire renaisse de ses cendres ! L’île où les esclaves se sont libérés en battant l’Angleterre et la France, n’a pas besoin de troupes étrangères d’occupation, même si ces brigands se disent animés des meilleures intentions du monde ! Ces puissances-là n’ont jamais eu la moindre intention humanitaire et pacifique !

Les grandes puissances veulent seulement démanteler les villes, enfermer la population travailleuse dans des camps militairement surveillés, faire travailler la population à du déblaiement et faire partir les autres en exode. Ils veulent seulement écraser l’ile révolutionnaire. Ne soyons pas dupes du matraquage médiatique et politique.


Editorial de la voix des travailleurs, bulletins d'entreprises

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Message par Maxence » 25 Jan 2010, 21:12

Les Haïtiens manifestent et clament : "de l’aide, des soins, pas des militaires !"

Les grandes puissances les occupent militairement au lieu de s’occuper des victimes

Si les télés, les radios et les journaux nous montrent de l’aide qui parvient à Haïti, les Haïtiens, eux, ne semblent pas l’avoir reçue, dans leur grande majorité. Par contre, c’est sans délai que des forces armées considérables (des dizaines de milliers de soldats) venues des USA, de France et du reste du monde ont débarqué en Haïti, suite au tremblement de terre qui a frappé la capitale, Port-au-Prince. Par contre, la nourriture, les sauveteurs et les soins ne sont pas encore parvenus aux Haïtiens.

Malgré un discours médiatique voulant faire croire à une intervention humanitaire, la tâche essentielle qui leur est assignée est le rétablissement de l’ordre. Elles sont équipées pour la répression et non pour le sauvetage. Des unités US de combat parachutistes, les fameux bérets noirs, occupent le pays aux côtés des Marines. Les équipes de sauveteurs liées à des ONG, un avion-hôpital et des secouristes avec chiens ont été bloquées par la priorité donnée à l’envoi des militaires. Les forces armées sont des centaines de fois supérieures en nombre aux sauveteurs. Des navires de guerre US sont à proximité d’Haïti pour intervenir en cas d’insurrection générale. Aucune force gouvernementale, aucune armée n’a participé aux sauvetages de première urgence réalisés à mains nues par la population elle-même. Les Haïtiens clament : « de l’aide, des soins, pas des militaires ! »

Si les forces armées du monde se sont empressées d’intervenir, c’est pour éviter que le vide du pouvoir, causé par le tremblement de terre qui a mis à bas les bâtiments de l’Etat et des forces armées d’occupation étrangères, et, plus encore, la perte de crédibilité du pouvoir ne se transforme en tremblement de terre... social. Et ces forces cachent leur peur du peuple d’Haïti derrière la crainte de prétendus pillages, mais, quand on crève de faim, se servir dans les magasins, c’est simplement vital, ce n’est pas un crime ! Les vrais bandits, ce sont les grandes puissances qui n’ont cessé de soutenir des dictatures en Haïti et les escadrons de la mort, macoutes ou autres. Et les armées étrangères occupant le pays depuis 2004, cette prétendue « force de paix » qui prétendait défendre la sécurité des civils, n’ont fait qu’attaquer violemment la population des quartiers pauvres et des bidonvilles, comme lors des émeutes de la faim en 2008. Les troupes étrangères n’ont rien fait contre les bandes armées de la classe dirigeante, contre la misère et l’exploitation. Rien face aux cyclones. Celui qui a détruit Gonaïves, la ville la plus révolutionnaire du pays, a laissé le peuple englué dans la boue sans que cette fameuse communauté internationale ne bouge le petit doigt.

L’humanitaire des grandes puissances laisse pantois : le ministère de l’intérieur français a momentanément suspendu les reconduites à la frontière des Haïtiens en « situation irrégulière » sans les régulariser. La Banque Mondiale a reporté de cinq ans le paiement de la dette alors que, selon ses propres spécialistes, Haïti ne sera pas reconstruit avant dix ans !

Le véritable but des interventions armées étrangères est de désamorcer la révolte sociale qui a débuté en 1986, lorsque le peuple haïtien s’est débarrassé de la dictature des Duvalier que soutenaient les pays occidentaux. Oui, le peuple travailleur d’Haïti a vécu une révolution, en s’attaquant aux barbares « tontons macoutes » et en renversant la dictature de « Bébé Doc » Duvalier. Le pouvoir a été durablement ébranlé. Ce n’est que récemment que les grandes puissances occupant Haïti ont permis à l’armée haïtienne de retourner dans ses quartiers généraux. L’échec de cette révolution haïtienne provenait du fait que les partis et organisations qui en avaient pris la tête, loin de souhaiter la prise de pouvoir par les opprimés, ne visaient qu’à faire rentrer le peuple dans le rang. Jamais ils n’ont averti le peuple contre l’armée de Duvalier. Jamais ils n’ont appelé le peuple à se lier aux petits soldats et ces derniers à ne plus obéir à leur hiérarchie. Tous les efforts des dirigeants syndicalistes, religieux, sociaux-démocrates et staliniens, ainsi que d’Aristide, ont été de réconcilier le peuple avec l’armée et les classes dirigeantes.

Quant aux travailleurs d’ici, loin de marcher dans la propagande humanitaire hypocrite des grandes puissances, ils devraient souhaiter au peuple haïtien ce que ses oppresseurs craignent le plus : que le peuple se libère et que l’île révolutionnaire renaisse de ses cendres ! L’île où les esclaves se sont libérés en battant l’Angleterre et la France, n’a pas besoin de troupes étrangères d’occupation, même si ces brigands se disent animés des meilleures intentions du monde ! Ces puissances-là n’ont jamais eu la moindre intention humanitaire et pacifique !

Les grandes puissances veulent seulement démanteler les villes, enfermer la population travailleuse dans des camps militairement surveillés, faire travailler la population à du déblaiement et faire partir les autres en exode. Ils veulent seulement écraser l’ile révolutionnaire. Ne soyons pas dupes du matraquage médiatique et politique.

Extrait du site Matière et révolution

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Message par Ottokar » 25 Jan 2010, 22:39

Maxence, ce serait bien de continuer à discuter au lieu de faire du copier coller de genre d'éditos sortis de sites confidentiels en se faisant de la pub (sur un média très limité il est vrai...)
Ottokar
 
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Message par Maxence » 25 Jan 2010, 23:34

Bonjour Ottokar,

je suis bien d'accord mais pour cela il nous faut différents point de vu et le tien sur le texte de Rosa est un bon début, mais ..il y a un mais , quand tu parle "de beau texte" , il me semble que la poésie est un peu déplacé dans cette affaire.

Rosa développe une critique sans concession des impérialismes et ce sont ces mêmes impérialismes qui sont en train d'occuper militairement Haiti, sous prétexte d actions humanitaires.

Les "beaux textes" je n'en ferai pas mais je peux exprimer quand même des choses qui me choquent:

Est ce que oui ou non le but des USA, France, Brésil, Canada est il de sauver les prolétaires en Haiti: NON!

Est ce que oui ou non le but des impérialismes est il de rétablir l'Etat et ses appareils répressifs: Oui.

Est ce que oui ou non le But des impérialismes est de faire la guerre au peuple haitien et à tous les travailleurs de la planète: Oui .

Pourquoi les impérialismes se sont donnés comme priorité Haiti ?: là je vous renvoie à notre édito et à notre site ci dessus, mais je le dis aussi avec mes mots : les travailleurs d'Haiti ont des traditions récentes et permanentes de luttes. Pas celles de la France de 2009, mais celles de la FRance de 1871, de 1848, celle de l'IRAN en 1979, du Mali en 1991, celles des travailleurs chinois localement dans certaines villes.

L'impérialisme ne peut tolérer qu'un Etat sur la planète soit hors service, car cela signifie que les travailleurs en lutte peuvent s'en passer et s'organiser eux mêmes.

Ils le peuvent d'autant plus qu'ils en ont la volonté car tout leur a démontré par le passé récent que les Etats étaient (le leur et ceux des impérialistes) leurs pires ennemis.

La catastrophe a obligé les haitiens a s'organiser seul et c'est bien le seul tort des travailleurs aux yeux des gouvernants de proximité ou non.

On nous présente ceux qui ont faim comme des "pillards" car ils vont au risque de leur vie chercher des victuailles dans les décombres des supermarchés.

Mais les travailleurs en Haiti ont faim encore plus de liberté depuis les années 80 et cela est beaucoup plus dangereux que tout le reste.

Depuis les révolutions d'esclaves jusqu'à celles qui ont renversées la dictature de Duvalier, les impérialismes ne peuvent pas laisser les travailleurs défier le pouvoir .

Chaque occasion et c'en est une pour un camp ou un autre, peut se révèler un moyen d'écraser les travailleurs ou de prendre le pouvoir pour des travailleurs organisés eux mêmes .

Les directions réformistes et staliniennes qui avaient pour l'instant réussi à détourner les travailleurs de la prise du pouvoir, sont comme tous les appareils étatiques, c'est à dire dans un chaos lié aux séismes.

Ainsi les impérialistes ne peuvent plus compter que sur leur propre force pour tenter de museler le peuple et de l'enfoncer encore plus que les séismes, dans la misère, le dénuement et la mort de camps de concentrations.


Maxence
 
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