Je ne signe par n’importe quoi !

[Valiere]

Je ne signe par n’importe quoi !

Il circule tout et n’importe quoi sur le NET !
Entre autres, les appels à signer des pétitions sur tout et n’importe quoi !
Vous avez votre libre arbitre pour décider, et nous n’avons pas à nous ériger comme directeurs de conscience.
Cependant, il est de notre rôle de vous informer de ceux qui avancent masqués, sans dire qui ils sont, et se parent de plumes de paon pour vous attirer et solliciter votre adhésion pour soutenir une cause qui vous apparaît tout à fait justifiée. Là est le piège du vocabulaire et de l’argumentaire : « c’est bien ce qu’il dit, celui là ! Il faut signer cette pétition et la faire signer par d’autres collègues en la diffusant sur le NET. Il expose la contradiction de ce que nous ne voulons pas !’ Et vous êtes piégé(e)s !
Vous avez cédé au chant des sirènes sans vous préoccuper de la source initiale. Là est le réel problème !
En effet, vous mails peuvent être abondés d’appels à signer telle ou telle pétition et il est utile de connaître la source. Alors disons-le clairement et brutalement : s’il s’agit d’un appel de SOS Education, quel que soit le contenu, vous devez savoir qu’il s’agit d’une officine proche du Front National ! SOS Education revendique la mise en place du « chèque éducation » élément du programme d’un certain LE PEN, par exemple ! Vous avez compris ! Nous n’en dirons pas plus !
Le SNETAA-eiL tient à l’indépendance syndicale et en particulier contre les idéologies extrêmes qui ont prouvé leur nocivité dans l’histoire.
Nous vous demandons de ne pas céder à un réflexe sans analyse préalable.
Donc, ne signez pas n’importe quoi, et surtout pas de ce qui vient de SOS Education !!!

[Jacquemart]

Je ne signe peut-être pas n'importe quoi, mais je copie-colle et je poste vraiment n'importe quoi, hein, Valière ? :altharion:

[luc marchauciel]

Lu dans Libé :

Ouvrez vos chemises, Messieurs!
On ne pourra pas nous accuser de frivolité, puisque le sujet fait la Une du Wall Street Journal ce matin: le décolleté masculin est de retour, annonce la bible quotidienne des hommes d’affaires, se basant sur ses observations lors de la dernière Fashion Week de New York. Les cols ouverts jusqu’au deuxième ou troisième bouton sont de nouveau en vogue, montre le WSJ, photos à l’appui. Mais ce n’est pas pour dévoiler des “tapis de poils comme dans les années 1970, please”, implore le journal. Après les années imberbes (les années 1980 et 1990), il est maintenant de bon ton que la chemise, ou le T-shirt révèle quelques “mèches”, pas plus.

  Très érudit bien sûr, l’article du WSJ rappelle que le décolleté masculin a déjà une longue histoire, cinématographique en particulier. Dans les années 1920, on apprécia la poitrine de Douglas Faibanks Sr dans Le Voleur de Bagdad ou Le Masque de fer. Puis le décoletté d’Errol Flynn en 1938, dans Les Aventures de Robin des Bois. En 1951, Marlon Brando perdait son débardeur dans Un Tramway nommé désir. Et ainsi de suite jusqu’à John Travolta (La Fièvre du samedi soir) dans les années 1970, “l’âge d’or pour le poil sur les poitrines masculines” selon Robert Bryan, historien de la mode.

[Valiere]

Jacquemart! si j'ai fait du coupé collé c'est parce que plusieurs personnes se sont fait avoir et qu'il faut de la vigilance.
c'est tout

[Jacquemart]

Certes, de la vigilance, tu ferais mieux d'en avoir avant de nous infliger ce genre de choses que tu reprends manifestement à ton compte sans sourciller :

Le SNETAA-eiL tient à l’indépendance syndicale et en particulier contre les idéologies extrêmes qui ont prouvé leur nocivité dans l’histoire.

"les" idéologies extrêmes... Grand dieux, mais à qui pensent-ils donc ?... On se le demande bien. :roll:

[Valiere]

Cela est une conerie qu'il m'est arrivé de rectifier ça et là : aux Francas dans des résolutions et il faut l'expliquer au SNETAA