
Derrière les murs du lycée
Le Snes Paris et la FCPE Paris s’inquiètent des nombreuses sanctions à l’égard de lycéens parisiens engagés dans le mouvement de protestation contre les suppressions de postes : menace de « non réinscription » au lycée Montaigne, menaces de sanctions scolaires à Paul Valéry, dépôt de plainte à Voltaire, intimidation à Bergson,…., interdiction de réunion et menace de conseil de discipline au lycée Emile Dubois, jusqu’à la scandaleuse exclusion définitive prononcée au lycée Jules Ferry par un conseil de discipline concernant Lou JATTEAU.
Ils rappellent qu’en aucun cas la répression ne peut constituer une réponse aux revendications que parents, enseignants et lycéens portent ensemble depuis 4 mois.
Tout en ne méconnaissant pas les responsabilités qui incombent aux chefs d’établissement, le SNES et la FCPE considèrent que rien ne peut remplacer le dialogue nécessaire avec les jeunes dans le respect de leurs droits à l’expression, de réunion et à l’action.
Les fédérations parisiennes de la FCPE et du SNES exigent l’arrêt immédiat de la répression des lycéens et l’abandon de toutes les menaces et poursuites.
Paris, le 29 mai 2008
Le Snes Paris et la FCPE Paris s’inquiètent des nombreuses sanctions à l’égard de lycéens parisiens engagés dans le mouvement de protestation contre les suppressions de postes : menace de « non réinscription » au lycée Montaigne, menaces de sanctions scolaires à Paul Valéry, dépôt de plainte à Voltaire, intimidation à Bergson,…., interdiction de réunion et menace de conseil de discipline au lycée Emile Dubois, jusqu’à la scandaleuse exclusion définitive prononcée au lycée Jules Ferry par un conseil de discipline concernant Lou JATTEAU.
Ils rappellent qu’en aucun cas la répression ne peut constituer une réponse aux revendications que parents, enseignants et lycéens portent ensemble depuis 4 mois.
Tout en ne méconnaissant pas les responsabilités qui incombent aux chefs d’établissement, le SNES et la FCPE considèrent que rien ne peut remplacer le dialogue nécessaire avec les jeunes dans le respect de leurs droits à l’expression, de réunion et à l’action.
Les fédérations parisiennes de la FCPE et du SNES exigent l’arrêt immédiat de la répression des lycéens et l’abandon de toutes les menaces et poursuites.
Paris, le 29 mai 2008