
Communiqué national de la Fédération Syndicale Etudiante (http://www.luttes-etudiantes.com)
Contre la répression des mouvements sociaux : solidarité !
Les fermetures administratives décrétées par les présidents d’Universités n'ont
pas cessées depuis un mois, elles n’ont pour but que de mettre fin à la
mobilisation. En effet, ces fermetures empêchent la tenue des assemblées
générales qui sont le seul moyen pour les étudiants de se réunir, de prendre
des décisions collectives et de s’organiser. La FSE dénonce ces pratiques
visiblement concertées au niveau national qui ont pour seul but de casser la
grève.
Aux fermetures administratives s’ajoutent les recours aux interventions
policières comme à Montpellier III, Lyon II, Nantes, Nanterre, Rennes II,
Strasbourg, Pau, Paris 1 et 4… Sous prétexte de maintenir la sécurité ou de
défendre la liberté d’étudier, les présidents d’Université n’hésitent pas à
recourir à des entreprises de sécurité privées, aux CRS et aux gardes mobiles
pour attaquer les piquets de grève. Ces méthodes sont inacceptables : elles sont
faites pour instaurer un climat de peur chez les étudiants et empêcher la
mobilisation.
Les arrestations ciblées se sont multipliées à Paris, Lyon ou encore Limoges
lors de manifestations ou d’interventions policières sur les campus.
Les syndicalistes sont particulièrement visés par ces arrestations, à Lyon ce
sont un militant de Sud et un militant de la FSE qui viennent d'être arrètés.
La FSE dénonce ces pratiques et exige l’arrêt des poursuites à l’encontre des
étudiants et des militants interpellés. Le gouvernement veut briser la grève
étudiante et la mobilisation lycéenne naissante contre la LRU par la répression.
Nous ne nous laisserons pas faire !
A bas la répression et la criminalisation des mouvements sociaux !
Libération immédiate de tous les grèvistes et les manifestants emprisonnés !
Pas un syndicaliste ne doit être poursuivi !
Non aux fermetures administratives et aux interventions policières sur nos
campus !
Contre la répression des mouvements sociaux : solidarité !
Les fermetures administratives décrétées par les présidents d’Universités n'ont
pas cessées depuis un mois, elles n’ont pour but que de mettre fin à la
mobilisation. En effet, ces fermetures empêchent la tenue des assemblées
générales qui sont le seul moyen pour les étudiants de se réunir, de prendre
des décisions collectives et de s’organiser. La FSE dénonce ces pratiques
visiblement concertées au niveau national qui ont pour seul but de casser la
grève.
Aux fermetures administratives s’ajoutent les recours aux interventions
policières comme à Montpellier III, Lyon II, Nantes, Nanterre, Rennes II,
Strasbourg, Pau, Paris 1 et 4… Sous prétexte de maintenir la sécurité ou de
défendre la liberté d’étudier, les présidents d’Université n’hésitent pas à
recourir à des entreprises de sécurité privées, aux CRS et aux gardes mobiles
pour attaquer les piquets de grève. Ces méthodes sont inacceptables : elles sont
faites pour instaurer un climat de peur chez les étudiants et empêcher la
mobilisation.
Les arrestations ciblées se sont multipliées à Paris, Lyon ou encore Limoges
lors de manifestations ou d’interventions policières sur les campus.
Les syndicalistes sont particulièrement visés par ces arrestations, à Lyon ce
sont un militant de Sud et un militant de la FSE qui viennent d'être arrètés.
La FSE dénonce ces pratiques et exige l’arrêt des poursuites à l’encontre des
étudiants et des militants interpellés. Le gouvernement veut briser la grève
étudiante et la mobilisation lycéenne naissante contre la LRU par la répression.
Nous ne nous laisserons pas faire !
A bas la répression et la criminalisation des mouvements sociaux !
Libération immédiate de tous les grèvistes et les manifestants emprisonnés !
Pas un syndicaliste ne doit être poursuivi !
Non aux fermetures administratives et aux interventions policières sur nos
campus !