Publié : 20 Oct 2006, 17:46Direct Soir du 20/10/2006
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Interview d'Arlette dans DirectSoir
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Publié : 20 Oct 2006, 17:46Publié : 21 Oct 2006, 13:08C'est pas mal.
Publié : 21 Oct 2006, 13:41oui c'est pas mal du tout. Le groupe Bolloré aime bien Arlette apparament; dans la 1er édition de Direct soir en juin 2006 il y avait déjà un interview d'Arlette.
Publié : 21 Oct 2006, 17:16c'est quoi une "libre association de militants" ?
Publié : 21 Oct 2006, 17:21Je comprends que ça signifie que les militants sont libres. c'est à dire que LO rassemble des individus qui défendent ensemble des idées, chacun étant libre d'apporter la contribution qu'il souhaite, en fonction de ses envies, des ses possibilités...
Moi par exemple, qui suis fainéant, je me contente de vendre mes 40 journaux par semaine. :sleep:
Moi par exemple, qui suis fainéant, je me contente de vendre mes 40 journaux par semaine. :sleep:
Publié : 23 Oct 2006, 12:22Ben non justement l'interdiction des licenciements c'est pas plus pédagogique que la limitation de l'arbitraire et entre nous tout aussi limité.
Mais la question n'est justement pas là.
Les travailleurs ne sont pas des enfants que l'on prend par la main pour leur apprendre à marcher et à faire caca là où il faut.
Ca c'est une rêverie typiquement "petite-bourgeoise de gauche".
Il s'agit plus simplement en fonction des événements, des circonstances de montrer quelques directions.
Vers quoi il faut aller.
Aujourd'hui nous ne sommes pas en 2002 et encore moins en 95.
La situation des travailleurs toutes catégories, petits fonctionnaires, CDI, précaires, chômeurs, petits retraités etc... s'est encore dégradée.
Nous avons un gouvernement de droite.
Depuis 81 je crois jamais la droite n'a été aussi longtemps et impunément, exclusivement au pouvoir.
Les plus jeunes, les moins de trente ans n'ont connu que ça.
Alors si il y a une urgence c'est bien de virer la droite, Non?
Mais justement, la gauche veut-elle virer la droite?
Pas les personnes, mais la politique. Apparement pas trop.
C'est là que commence la campagne et pas dans la récitation d'un plan d'urgence qui se fait attendre, récité par des gens qui ne l'ont pas entendu en 95 :hinhin:
Mais la question n'est justement pas là.
Les travailleurs ne sont pas des enfants que l'on prend par la main pour leur apprendre à marcher et à faire caca là où il faut.
Ca c'est une rêverie typiquement "petite-bourgeoise de gauche".
Il s'agit plus simplement en fonction des événements, des circonstances de montrer quelques directions.
Vers quoi il faut aller.
Aujourd'hui nous ne sommes pas en 2002 et encore moins en 95.
La situation des travailleurs toutes catégories, petits fonctionnaires, CDI, précaires, chômeurs, petits retraités etc... s'est encore dégradée.
Nous avons un gouvernement de droite.
Depuis 81 je crois jamais la droite n'a été aussi longtemps et impunément, exclusivement au pouvoir.
Les plus jeunes, les moins de trente ans n'ont connu que ça.
Alors si il y a une urgence c'est bien de virer la droite, Non?
Mais justement, la gauche veut-elle virer la droite?
Pas les personnes, mais la politique. Apparement pas trop.
C'est là que commence la campagne et pas dans la récitation d'un plan d'urgence qui se fait attendre, récité par des gens qui ne l'ont pas entendu en 95 :hinhin:
Publié : 23 Oct 2006, 17:23(Zelda @ lundi 23 octobre 2006 à 17:28 a écrit : Tu sais, c'est qu'un début de campagne. Le plan d'urgence, c'est ou c'était pas une formule miracle qui déclinait cinq ou six mesures qui résolvaient tous nos problèmes de salariés...
Moi j'ai tendance à faire confiance aux camarades pour peaufiner nos axes de campagne en fonction de la situation... et je ne prends pas ces axes pour des "mots d'ordre opératoires".
Se faire traiter de petit bourgeois qui veut prendre par la main les travailleurs, c'est quand même particulièrement désagréable sans que grand chose soit apporté à la discussion... Je n'ai pas lu non plus de txi ou de quelqu'un d'autre qu'il faille des "mots d'ordre opératoires" valables de tout temps en toutes circonstances. Toute confiance donnée, on peut quand même polémiquer autour de la qualité du discours politique de l'organisation dont on se revendique. Encore heureux. Alors pas la peine de commenter les critiques de cette façon...