
DEI France communique
Section française - 21 rue Hoche - 93 500 - Pantin
Jean Pierre Rosenczveig
Président
06 85 84 94 54
Des délégués africains empêchés d'assister à un congrès sur les
droits de l'enfant
DEI-France entend marquer sa stupeur à l'égard de la décision des
autorités israéliennes de ne pas admettre sur les territoires
qu'elles contrôlent les représentants de plusieurs délégations
africaines invitées à Bethléem à l'assemblée internationale de
Défense des Enfants International. Ce sont pas moins de cinq
délégations provenant du Nigéria, du Togo, du Congo (RDC), du Ghana
et de Sierra Leone qui ont été empêchées de rejoindre la réunion.
L'attitude des autorités israéliennes ne semble pas tant marquée par
une hostilité à l'égard d'une manifestation qui se déroule dans les
territoires palestiniens occupés que par une méfiance à l'égard des
délégués d'origine africaine sur lesquels a pesé le soupçon d'une
tentative d'immigration illégale.
DEI-France n'en veut pour preuve que le sort réservé au représentant
de DEI-Togo, réfugié reconnu en France, disposant d'un document de
voyage français, auquel le visa a été refusé pour des raisons tenant
à sa situation professionnelle. Bien plus, l'un des délégués
français, professeur d'université d'origine africaine, a été retenu
plus de deux heures à l'aéroport de Tel Aviv et a fait l'objet d'un
interrogatoire en règle sur ses intentions d'exercer son enseignement
en Israël.
DEI-France condamne avec la plus grande fermeté cette politique du
soupçon qui s'apparente à de la discrimination à l'égard des
personnes du seul fait de leurs origines et de la couleur de leur
peau.
DEI-France tient à remercier particulièrement Monsieur Elie Barnavi,
qui fut ambassadeur d'Israël en France et l'ambassade de France à Tel
Aviv pour leur intervention dans la tentative de DEI de modifier la
décision des autorités israéliennes.
Pantin, le 26 juin
Section française - 21 rue Hoche - 93 500 - Pantin
Jean Pierre Rosenczveig
Président
06 85 84 94 54
Des délégués africains empêchés d'assister à un congrès sur les
droits de l'enfant
DEI-France entend marquer sa stupeur à l'égard de la décision des
autorités israéliennes de ne pas admettre sur les territoires
qu'elles contrôlent les représentants de plusieurs délégations
africaines invitées à Bethléem à l'assemblée internationale de
Défense des Enfants International. Ce sont pas moins de cinq
délégations provenant du Nigéria, du Togo, du Congo (RDC), du Ghana
et de Sierra Leone qui ont été empêchées de rejoindre la réunion.
L'attitude des autorités israéliennes ne semble pas tant marquée par
une hostilité à l'égard d'une manifestation qui se déroule dans les
territoires palestiniens occupés que par une méfiance à l'égard des
délégués d'origine africaine sur lesquels a pesé le soupçon d'une
tentative d'immigration illégale.
DEI-France n'en veut pour preuve que le sort réservé au représentant
de DEI-Togo, réfugié reconnu en France, disposant d'un document de
voyage français, auquel le visa a été refusé pour des raisons tenant
à sa situation professionnelle. Bien plus, l'un des délégués
français, professeur d'université d'origine africaine, a été retenu
plus de deux heures à l'aéroport de Tel Aviv et a fait l'objet d'un
interrogatoire en règle sur ses intentions d'exercer son enseignement
en Israël.
DEI-France condamne avec la plus grande fermeté cette politique du
soupçon qui s'apparente à de la discrimination à l'égard des
personnes du seul fait de leurs origines et de la couleur de leur
peau.
DEI-France tient à remercier particulièrement Monsieur Elie Barnavi,
qui fut ambassadeur d'Israël en France et l'ambassade de France à Tel
Aviv pour leur intervention dans la tentative de DEI de modifier la
décision des autorités israéliennes.
Pantin, le 26 juin