C'est dans le magazine CFDT N° 3034 du 23 juin 2005, page 4.
Rubrique revue de presse.
Alain Duhamel se fait l'écho dans une note de lecture du "POINT" de l'analyse suivante :
"Chérèque ne mache pas ses mots. Il est même obsédé par l'urgence d'inventer de nouvelles réponses pour réguler le capitalisme, humaniser la mondialisation, défendre autrement les salariés. Contrairement à la plupart de ses homologues, il refuse de se contenter d'être l'homme qui dit non, qui récuse tout changement. Marx voulait changer le monde, il a réinventé l'enfer. Chérèque tente d'améliorer ce qu'il peut. IL est donc beaucoup moins populaire que les postmarxistes".
Un petit commentaire sur ces intellos de la presse :
Monsieur Duhamel, sachez que Marx aurait fini sous les ponts et ses enfants morts de maladie ou de malnutrition, si son ami Engel ne l'avait pas aidé financièrement.
C'est sa famille qui a vécu l'enfer pas les gens qui ont brisé sa carrière de journalisme en l'expulsant d'allemagne.