
Trouvé sur le site Ras l ' front , j'aimerais bien avoir des compléments d'information , merci !
L'anti-« Nique-ta-mère »( c'est pas moi , c'est le titre de l'article
)
Manteau à la « Matrix », et bottes de motard, Frédéric Bard a étonné le gouvernement Raffarin. Présenté au Premier ministre par le chef de l'UMP parisien, Patrick Stefanini, il a convaincu Matignon de la nécessité de promouvoir un mouvement culturel alternatif à SOS Racisme. La proposition de placer la République sous le signe du « respect » ne pouvait pas mieux tomber en ces temps de délit pour outrage à « La Marseillaise ». Ancien syndicaliste CGT des artistes, reconverti dans l'humanitaire en Côte d'Ivoire, Frédéric Bard est le contraire d'un parangon de l'ordre moral. Mais il a une conviction sur les années Lang : « L'idéal d'intégration par la culture a été dévoyé en commerce de la provocation. » Aussi cet anti-« Nique-ta-mère » veut-il en finir avec « les contre-valeurs de la victimisation et de l'assistanat » qui ont sapé le moral citoyen de la population immigrée. Personnalité multicarte, il a fondé il y a trois mois le collectif « Respect » pour redonner de l'audace créative à une jeunesse apolitique qui a sombré dans la violence. Son message est passé à l'UMP via le réseau Ecologie bleue, et au sein du club Concorde. Grâce à lui, pour juin 2003, entre la Fête de la musique et le 14 Juillet, la République célébrera autour des talents artistiques de la France plurielle la première Journée nationale du respect
:dry: :hum:
© le point 21/02/03
L'anti-« Nique-ta-mère »( c'est pas moi , c'est le titre de l'article

Manteau à la « Matrix », et bottes de motard, Frédéric Bard a étonné le gouvernement Raffarin. Présenté au Premier ministre par le chef de l'UMP parisien, Patrick Stefanini, il a convaincu Matignon de la nécessité de promouvoir un mouvement culturel alternatif à SOS Racisme. La proposition de placer la République sous le signe du « respect » ne pouvait pas mieux tomber en ces temps de délit pour outrage à « La Marseillaise ». Ancien syndicaliste CGT des artistes, reconverti dans l'humanitaire en Côte d'Ivoire, Frédéric Bard est le contraire d'un parangon de l'ordre moral. Mais il a une conviction sur les années Lang : « L'idéal d'intégration par la culture a été dévoyé en commerce de la provocation. » Aussi cet anti-« Nique-ta-mère » veut-il en finir avec « les contre-valeurs de la victimisation et de l'assistanat » qui ont sapé le moral citoyen de la population immigrée. Personnalité multicarte, il a fondé il y a trois mois le collectif « Respect » pour redonner de l'audace créative à une jeunesse apolitique qui a sombré dans la violence. Son message est passé à l'UMP via le réseau Ecologie bleue, et au sein du club Concorde. Grâce à lui, pour juin 2003, entre la Fête de la musique et le 14 Juillet, la République célébrera autour des talents artistiques de la France plurielle la première Journée nationale du respect

© le point 21/02/03