Informations Ouvrières

Message par Valiere » 04 Déc 2008, 08:42

C'est la première rupture à l'intérieur du PS, elle est de gauche et au contraire de Chevènement elle s'inscrit dans une recomposition de type centriste de gauche!
Valiere
 
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Message par Front Unique » 12 Déc 2008, 00:34

Informations ouvrières n° 26 du 11 au 17 décembre 2008


L'ÉDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

Appelons ensemble...

En formulant le mot d'ordre « Interdiction des licenciements, maintien de tous
les emplois,annulation des suppressions d'emplois dans le public », la conférence de délégués du 7 décembre (lire pages 3 et 4) a ouvert une perspective.

Maintenir ou détruire les emplois : une question centrale pour la classe ouvrière et la jeunesse dans le monde entier.

En Grèce, la révolte généralisée des étudiants est alimentée par la précarité qui les menace tous, y compris les plus qualifiés.

Aux Etats-Unis, où des centaines de milliards de dollars sont versés aux banques, 1 900 000 emplois ont été détruits depuis le début de l'année, dont 533 000 pour le seul mois de novembre.

En France, l'ensemble des entreprises de l'automobile et de la sous-traitance sont en cette fin d'année condamnées à un chômage dit « technique », qui ampute les salaires tandis que planent les menaces de fermetures définitives. Selon le Financial Times, la France devrait connaître 63 000 faillites de PME l'an prochain !

Ainsi, la survie du système capitaliste se paie au prix de la destruction de la classe
ouvrière. Quelle issue ? Aux 420 milliards précédents, le plan annoncé par Sarkozy le 4 décembre ajoute 26 milliards, qui iront à leur tour dans la poche des spéculateurs... et détruiront encore plus d'emplois !

Peut-on répondre à cela comme le fait le nouveau porteparole du PS, Benoît Hamon, en demandant le rétablissement d'« une forme d'autorisation administrative de licenciements » pour « les entreprises qui vont bien, économiquement, et qui licencient ou délocalisent » ?

Rétablir l'autorisation administrative des licenciements ? On ne peut être que pour.
Pour autant, cela répond-il à la situation ?

Une fois « autorisés », les licenciements n'en deviennent pas plus acceptables. Et,
dans les entreprises qui vont « mal » et où cette proposition de Benoît Hamon ne
s'applique pas, faudrait-il ne rien faire ?

Le 7 décembre, les délégués ont dit clairement que l'unité peut et doit se réaliser
autour de la seule mesure qui réponde à la situation : interdiction des licenciements, quitte à s'engager sur la voie des nationalisations. S'agissant du Parti ouvrier indépendant (POI), cette proposition est conforme à l'orientation qui est la sienne : sortie de l'Union européenne (qui s'oppose à l'interdiction des licenciements).

Mais les délégués à la conférence n'étaient pas tous — il s'en faut de beaucoup —
membres ou sympathisants du POI.

Militants politiques et syndicaux de toutes tendances, travailleurs de toutes
sensibilités, ils s'adressent ensemble à tous les travailleurs, à toutes les organisations: « Refusons d'accompagner les mesures de destruction. Engageons-nous ensemble pour l'interdiction des licenciements, l'annulation de tous les plans de suppressions d'emplois. C'est une question de vie ou de mort pour l'avenir de la classe ouvrière et de la jeunesse. Appelons ensemble à une marche nationale unie sur Paris pour l'interdiction des licenciements sans autre condition ou préalable. »

De quoi s'agit-il maintenant ? Comme l'a décidé la conférence, de faire signer cet
appel et de proposer de grouper sur cette base une force de 20 000-25 000 agissant pour aider au mouvement de toute la classe, « tous ensemble », seul à
même de sauver la société.

Front Unique
 
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Message par Front Unique » 18 Déc 2008, 21:22

Informations ouvrières n° 27 du 17 décembre 2008 au 7 janvier 2009

L'ÉDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

La “masse”

"Je ne serai pas celui qui reculera sur la réforme.». Ainsi s'exprimait Sarkozy, il y a seulement quelques jours. Au même moment, Darcos assurait qu'il ne deviendrait jamais leministre « de l'hésitation nationale » et se vantait de l'accord passé avec les dirigeants des organisations syndicales majoritaires. Alors, que s'est-il passé pour que, ce 15 décembre, soit annoncé le report d'un an de la contre-réforme des lycées ?

A cette question, une seule réponse possible : la masse a été plus forte que tous les calculs des « sommets » divers et variés. La masse des enseignants mobilisés dans la grève massive du 20 novembre sur le mot d'ordre d'abandon des réformes Darcos.
La masse des lycéens déferlant chaque jour plus nombreux pour le retrait de la
réforme. La masse des jeunes qui, en Grèce, avec l'appui de toute la population, s'est dressée contre la politique du gouvernement. La masse des jeunes qui, dans toute l'Europe, se dresse pour son avenir.

« Je ne peux pas courir le risque de voir cette réforme devenir l'étincelle qui mette le feu aux poudres », a déclaré Darcos.

Pas d'étincelle Darcos, donc, du moins cette fois-ci.

Mais la matière inflammable est accumulée. Il est de la plus haute importance de ne pas minimiser la signification de ce mouvement de la masse en France et dans toute l'Europe qui contraint à un recul que tous cherchent à prévenir. Certes, on ne saurait non plus minimiser les obstacles, notamment de ceux qui voudraient que, différées, les contre-réformes s'appliquent malgré tout : depuis le gouvernement (qui prétend différer et non retirer) jusqu'à Bruno Julliard, nouveau secrétaire national du PS, qui déclare après l'annonce du report : « Il faut évidemment élaborer cette réforme », et précise : « Diminuer le nombre de cours, pourquoi pas ? », allant à l'encontre de toutes les exigences des enseignants et des jeunes.

Il n'en demeure pas moins que la preuve en est apportée une nouvelle fois : le
mouvement de la masse unie sur des revendications précises peut l'emporter sur
tous les calculs des appareils au sommet. C'est bien la lutte de classe qui est à
l'ordre du jour, l'action commune, le tous ensemble, sur des mots d'ordre clairs
répondant aux revendications. C'est vrai dans l'enseignement primaire avec
l'exigence du retrait des décrets Darcos et du rétablissement des postes d'enseignant spécialisé ; c'est vrai pour l'abandon de la privatisation de La Poste, du retrait des projets de loi Bachelot, Boutin, etc.

C'est vrai tout autant sur la question cruciale des licenciements.

Un marasme sans précédent menace. Si la lutte de classe unie a pu faire reculer sur la contre-réformeDarcos, elle peut faire annuler les suppressions d'emplois
programmées dans la fonction publique d'Etat (120 000 dans les trois prochaines
années), dans l'Education nationale, dans les hôpitaux. Elle peut contraindre au
maintien des emplois dans les secteurs industriels clés, quitte, comme le dit l'appel de la conférence pour l'unité du 7 décembre à l'initiative du POI, à nationaliser (1) les entreprises qui s'opposeraient à cette exigence. Qu'y a-t-il de plus urgent que de réaliser l'unité, pour le tous ensemble, pour imposer ces mesures de salut public ?


(1) En Argentine, le gouvernement deMme Kirchner, pourtant peu progressiste,
vient de nationaliser les systèmes de retraite, constitués par les fonds de pension,
arguant de « la nécessité de protéger l'épargne des Argentins des turbulences
des marchés financiers mondiaux ».


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Message par Valiere » 28 Déc 2008, 19:24

Je lis informations ouvrières depuis longtemps : j'ai eu le canard en main la première fois en 1967 ...J'ai toujours apprécié ce canard mais pas les éditoriaux qui m'ont toujours semblé répétitifs.
Valiere
 
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Message par Front Unique » 10 Jan 2009, 12:40

Informations ouvrières n° 28 du 8 au 14 janvier 2009

L'ÉDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

Un devoir du mouvement ouvrier

A l'heure où ces lignes sont écrites, douze jours d'intervention militaire
israélienne à Gaza ont fait plus de 600 morts, pour la plupart des civils. Appuyé
ouvertement par Bush et le président en exercice de l'Union européenne, le Tchèque Klaus, et soutenu de fait par Sarkozy, Olmert proclame que l'agression va durer encore très longtemps.

Gaza bombardée, affamée, asphyxiée… Il y a urgence à arrêter le bras meurtrier. Dès le 28 décembre, le communiqué des secrétaires nationaux du Parti ouvrier
indépendant a appelé à la mobilisation pour l'arrêt immédiat de l'intervention
militaire à Gaza, pour la levée du blocus, pour que soit garanti au peuple palestinien comme à tous les peuples le droit à la liberté, à la paix et à la justice ! Sur ces mots d'ordre, le POI a pris part aux manifestations organisées à Paris et dans la plupart des grandes villes de France.

Ici commence une inquiétante opération de politique « intérieure » : des
responsables, et non des moindres, accréditent la thèse d'un affrontement «
communautaire » aussi imminent qu'inévitable entre « Arabes » et « Juifs ».
Halte-là ! Danger ! Se dresser contre la menace d'anéantissement de tout un peuple, affirmer son droit à disposer, comme tous les autres peuples, de la liberté, de la justice et de la souveraineté, ce n'est pas affaire de « communautés ». Pas plus que la solidarité avec l'Espagne républicaine en 1936, avec les Juifs persécutés par les nazis pendant la guerre ou avec le peuple algérien luttant pour sa liberté contre le colonialisme français n'étaient affaire de « communautés ».

C'est d'internationalisme ouvrier qu'il s'agit. Il revient au mouvement ouvrier, une
fois encore, de prendre toutes ses responsabilités. C'est ce que dit la lettre adressée le 5 janvier par nos secrétaires nationaux aux partis et organisations se réclamant du mouvement ouvrier et de la démocratie (1).

Dans le communiqué du 28 décembre, les secrétaires nationaux du POI rappelaient que, pour le POI « la lutte contre la guerre est liée à la lutte contre l'exploitation ».
C'est un fait que, dans lemonde entier, les cercles dirigeants de la classe capitaliste poussent à la guerre, à la dislocation des nations et aux affrontements prétendument communautaires... pour mieux faire passer leurs plans anti-ouvriers.

La classe ouvrière et la jeunesse refusent et refuseront de se laisser diviser.

Certes, on ne saurait assimiler la guerre de destruction contre les peuples et la «
guerre » de destruction des emplois, des usines, des droits ouvriers contre les
travailleurs et la jeunesse dans notre pays. Mais toutes deux plongent leurs
racines dans un même terreau ; la crise de décomposition du régime capitaliste
fondé sur la propriété privée des moyens de production.

« Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l'orage », disait naguère Jean Jaurès. La lutte contre la guerre et la lutte contre l'exploitation sont l'affaire du mouvement ouvrier. L'une et l'autre mettent à l'ordre du jour son unité et son indépendance (2). _

(1) Lire page 11.
(2) En tournée au Proche-Orient, Sarkozy cherche à sceller l'union sacrée, comme
il le fait pour ses contre-réformes en France. Comment comprendre que le porteparole du PS, Benoît Hamon, déclare « approuver » la démarche de Sarkozy,
tandis que le PCF déclare que « Sarkozy doit montrer que la France est capable
de choix politiques courageux » ?


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Message par Valiere » 10 Jan 2009, 22:52

Là chapeau!
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Message par Front Unique » 19 Jan 2009, 01:27

Informations ouvrières n° 29 du 15 au 21 janvier 2009

L'ÉDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

Le rejet

Hauts fonctionnaires, directeurs d'hôpital, magistrats…A tous les niveaux s'exprime désormais le rejet de la politique du gouvernement. Dans ce contexte, nul doute que le 29 janvier, à l'appel des confédérations syndicales, les travailleurs et la jeunesse exprimeront leur exigence d'action unie pour la satisfaction des revendications vitales et urgentes. Précisément, quelles sont-elles ?

Rencontrant Angela Merkel, Sarkozy a annoncé de « nouvelles aides aux entreprises ».

Depuis octobre — chiffre confirmé cette semaine par le «ministre de la relance » (sic)—, 428 milliards d'euros ont été mis à disposition des capitalistes et des spéculateurs.

80 % de ces milliards sont réservés aux banques. Celles-ci les ont-elles, comme annoncé, utilisés pour… « aider les entreprises »…qui, à leur tour, allaient «maintenir les emplois » ? Foutaises ! Les banques songent « davantage à se préserver qu'à répondre favorablement aux demandes des entreprises », écrit un spécialiste (1).

C'est un fait : en 2008, en pleine période de crise, BNP Paribas, Crédit agricole et Société générale ont, ensemble, réalisé un bénéfice de près de 9 milliards d'euros (2) ! Quant aux entreprises de l'automobile, elles bénéficient d'une « aide sous forme de prêt direct » dès lors qu'elles ont prouvé avoir « fait un gros travail d'adaptation ». Et Les Echos de citer Renault : « Fermetures temporaires d'usines pour dégonfler ses stocks de véhicules, plan de 6 000 départs, sans compter les 1 800 postes de prestataires des établissements d'ingénierie.»

Quant à Peugeot : « L'arrêt de l'usine de nuit de PSA Sochaux entraînera le renvoi de près de 800 intérimaires d'ici à la fin du premier semestre », tandis que 1 300 salariés de l'équipe de nuit « perdront une partie de leur rémunération, car ils retourneront en équipe de jour » (3).

Les « aides » de l'Etat ne sont que des armes de destruction des emplois. Pendant ce temps, pour alimenter ces centaines de milliards offerts aux spéculateurs, le
gouvernement sabre par dizaines de milliers les emplois dans les hôpitaux et les écoles, qui, à en croire Sarkozy, n'ont pas de problèmes de moyens !

Quant au « contre-plan » de relance du Parti socialiste, il propose lui aussi de distribuer des milliards aux banquiers et capitalistes. Sur les licenciements… le PS préconise des « moyens suffisants » pour les « plans sociaux » ! Il est vrai que, selon ses auteurs, ce plan correspond à ce que « le Fonds monétaire international comme la Commission européenne recommandent » (4).

Mais dans les entreprises frappées par les plans, les travailleurs et les organisations unis exigent : aucune suppression, maintien de tous les emplois, de tous les sites. Dans les écoles et les hôpitaux, ils disent : rendez-nous les postes supprimés, retrait des contre-réformes Darcos, Bachelot, etc.

428 milliards ? C'est 2 millions de chômeurs payés 1 500 euros par mois, cotisations et charges comprises…pendant sept ans !

428 milliards, c'est plus qu'il n'en faut pour interdire les licenciements, maintenir tous les emplois, nationaliser ce qui doit l'être, bref : pour sauver les travailleurs, pas les spéculateurs !

Travailleurs, militants de toutes tendances, groupons-nous pour la marche unie sur Paris ! Et pour commencer, retrouvons nous, le 8 février, au rassemblement de combat pour l'unité, rassemblement ouvrier et internationaliste, à Montreuil.

(1) L'éditorialiste du quotidien capitaliste Les Echos (9 janvier).
(2) Les Echos (8 janvier).
(3) AFP, 9 janvier.
(4) LeMonde,


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Message par Valiere » 19 Jan 2009, 08:55

dommage que tu ne mettes pas certains articles percutants alors que les déditos se ressemblent à part certains comme celui de la semaine dernière.
Valiere
 
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Message par Front Unique » 22 Jan 2009, 20:54

Informations ouvrières n° 30 du 22 au 28 janvier 2009

L'ÉDITO PAR DANIEL GLUCKSTEIN

Unité avec qui et pour quoi faire ?


“Les travailleurs cherchent à réaliser l'unité d'action de leurs rangs pour la satisfaction des revendications les plus urgentes (…). Ils l'exprimeront par la grève et la manifestation à l'occasion de la journée du 29 janvier appelée par les confédérations syndicales. Mais les objectifs doivent être clairement établis »
(Adresse aux adhérents adoptée par le conseil fédéral national du Parti ouvrier indépendant).

C'est un fait : alors que se multiplient les plans de licenciements et que le gouvernement supprime par dizaines de milliers les emplois dans le public, la lutte de classe unie sur les revendications, le tous ensemble pour faire reculer le gouvernement, apparaît chaque jour davantage comme la seule réponse possible.

C'est un fait également que, le 13 janvier dernier, le président de la République a reçu les secrétaires généraux des cinq confédérations syndicales pour leur proposer « un schéma permettant de mieux informer et consulter les organisations syndicales sur la prévention et le traitement des restructurations » (1). « Une série de ministres concernés et « représentants de
confédérations et-ou fédérations syndicales » pour « faire le point sur les mesures d'accompagnement social et de revitalisation des bassins touchés, ainsi que les dispositions permettant d'anticiper les mutations économiques à moyen et long terme, en particulier par la gestion prévisionnelle de l'emploi et compétences,
tant au niveau des branches que des bassins d'emploi », et même des départements.

La « gestion prévisionnelle des emplois et compétences » n'est pas une inconnue pour les militants ouvriers. Lorsqu'elle fut introduite pour la première fois, notre journal s'étonnait que des responsables syndicaux puissent « envisager que leur vocation deviendrait d'être des auxiliaires des plans patronaux de licenciements ». Informations ouvrières ajoutait : « Certes, nous dira-t-on, malgré les luttes, les licenciements se multiplient. Est-ce une raison pour les coorganiser avec les
employeurs ? » (2).

Encore ne s'agissait-il alors « que » d'accords signés dans certaines branches, entre certaines organisations syndicales et patronales.

Comment faudrait-il qualifier un régime politique où les organisations syndicales seraient amenées à coorganiser avec les patrons et l'Etat les plans de licenciements ?
Un tel régime serait engagé sur la voie du corporatisme, contraire à la démocratie politique.
Certes, il y a loin de la coupe aux lèvres. La lutte de classe et les organisations n'ont pas dit leur dernier mot. Encore faut-il ne pas se tromper d'unité.

Ou bien s'unir avec le gouvernement et les patrons, pour mettre en œuvre la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, donc les plans de licenciements.

Ou bien unir les rangs de la classe ouvrière avec les organisations pour l'arrêt de tous les plans et l'interdiction des licenciements, pour que les 428 milliards soient soustraits aux capitalistes et financent un plan de sauvetage de la classe ouvrière et de la population.

Pour aider à ouvrir cette issue, le POI vous appelle à signer et à faire signer massivement l'appel à l'unité pour l'interdiction des licenciements et à participer au meeting de masse et de combat le 8 février à Montreuil.


(1) Communiqué de l'Elysée.
(2) Informations ouvrières, n° 69 (1614), 17 mars 1993.

Front Unique
 
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