par Puig Antich » 01 Nov 2007, 16:57
Il ne faut pas non plus être gauchiste. Les sections syndicales de classe ont toute leur place dans la coordination et la centralisation de la lutte cheminote, en tant que telles. Les directions syndicales doivent se plier à l'autorité des cheminots, qui ne veulent pas négocier une réforme amendée, mais son abrogation pure et simple. Les coordinations et les comités de grève peuvent être des armes, notamment dans ce sens. Il faut voir aussi qu'après les mouvements, ces organisations ad hoc disparaissent, et que les syndicats doivent être alors conservés et renforcés.