Dans l'Huma du 2 janvier :
a écrit :À partir du mois précédent l'élection, le CSA impose aux radios un pluralisme calculé au millimètre près. Mais auparavant les stations doivent respecter « l'équité », un terme flou et surtout subjectif. Le service politique de France Inter s'est donc imposé une série de règles complexes et discutables... Les candidats sont divisés en quatre catégories. La première regroupe le PS et l'UMP qui disposent de 40 % de temps d'antenne. Pourquoi une telle prééminence ? « Le système est aujourd'hui objectivement bipartite », répond sans sourciller Hélène Jouan. Deuxième groupe : Le Pen et Bayrou, avec 30 % de temps d'antenne. Viennent ensuite les « petits candidats qui devraient faire entre 3 % et 7 % : Marie-George Buffet, Nicolas Hulot, Olivier Besancenot », qui ont droit à 25 %. Les autres candidats se répartissent 5 % du temps d'antenne.