Fête LO 2005

Message par pelon » 17 Mai 2005, 10:12

a écrit :
LO ne croit pas à "un pôle de radicalité allant de Besancenot à Fabius"
LE MONDE | 16.05.05 | 14h09  •  Mis à jour le 16.05.05 | 16h06

Une campagne pour le non à la Constitution, "à sa façon" . Lutte ouvrière, qui organisait, les 14, 15 et 16 mai, sa traditionnelle fête de Pentecôte dans son château de Presles (Val-d'Oise), a tenu à rappeler, à cette occasion, qu'elle aussi faisait partie du camp du non de gauche. Arlette Laguiller, sa porte-parole, a cependant expliqué que l'organisation trotskiste faisait cavalier seul et qu'elle ne s'était pas alliée avec les autres forces de gauche afin de "ne pas cautionner Fabius, Emmanuelli et Mélenchon" .

La formation d'extrême gauche avait surpris son monde, en décembre 2004, lors de son congrès à huis clos, en prenant position pour le non lors du référendum du 29 mai. Lutte ouvrière s'est en effet toujours méfiée de ce type de consultation, considérée comme par trop plébiscitaire. En 1992, elle avait appelé à l'abstention sur le traité de Maastricht.

Treize ans plus tard, l'organisation estime qu'"il ne faut pas se couper des travailleurs" , majoritairement favorables au non. Elle s'est cependant gardée de faire réellement campagne. Une quinzaine de meetings ont bien été organisés en France et des tracts ont été diffusés à la porte des entreprises pour expliquer la position de l'organisation. Mais pour LO, l'urgence était ailleurs : les luttes contre les "mauvais coups du gouvernement Raffarin" demeuraient la priorité.

"Même si le non l'emporte, les travailleurs ne doivent pas attendre de miracles" , soulignait Arlette Laguiller, le 31 mars à Bordeaux. La montée du vote non dans les sondages et le succès des meetings unitaires des non de gauche un peu partout sur le territoire ont poussé l'organisation trotskiste à rappeler sa position, mais en se démarquant très nettement des autres tenants du non de gauche.

Dimanche 15 mai, devant plus de 4 000 personnes, "Arlette" a d'emblée assuré que la fête de LO n'était "pas un rassemblement en compagnie d'anciens ou de candidats futurs ministres d'une mouture passée ou à venir de l'union de la gauche" . S'estimant être à la tête du "plus gros meeting du non" , la porte-parole du mouvement a martelé qu'elle ne figurerait pas à une tribune aux côtés d'Henri Emmanuelli, Jean-Luc Mélenchon, Jean-Pierre Chevènement ou encore Laurent Fabius. Si ce dernier "va voter non" , il "n'est pas pour autant devenu un ami des travailleurs" , a insisté Mme Laguiller.

Elle a aussi pris ses distances avec la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), qui fait tréteaux communs avec le Parti communiste, les Verts et les dirigeants socialistes hostiles au oui. LO ne croit pas à "une hypothétique dynamique unitaire" . Pas plus à "un pôle de radicalité qui irait de Besancenot à Fabius" . Encore moins à l'émergence d'"une nouvelle dénomination pour un éventuel gouvernement de gauche" , qui, pour LO, trahirait les travailleurs.

Les raisons de l'opposition au traité constitutionnel sont simples : "Ce projet est fait dans l'intérêt exclusif des grandes sociétés financières, commerciales et surtout industrielles" , a expliqué Mme Laguiller. Parce que cette Europe, construite depuis vingt ans n'est celle des travailleurs, mais "celle de la bourgeoisie" : il faut donc s'y opposer.

La dirigeante trotskiste a mis en garde son auditoire sur les illusions du lendemain du référendum. Si le non l'emportait le 29 mai, ce serait un coup porté aux dirigeants européens, qui devront rediscuter un nouveau projet. Mais cela ne poserait aucun problème aux "grands groupes capitalistes" , parce que ceux-ci ont "obtenu l'essentiel de ce qu'ils voulaient" : la création d'un "marché unifié" et la possibilité d'"exploiter la partie la plus pauvre de l'Europe" .

"Quel que soit le résultat du vote, les problèmes de la classe ouvrière resteront !", a soutenu Mme Laguiller. Pour elle, cette consultation passée, le petit jeu politicien reprendra son cours : "Les hommes politiques tenteront d'occuper le devant de la scène avec d'autres échéances électorales, les législatives et la présidentielle de 2007."

La seule perspective valable pour LO demeure la lutte. Parce qu'elle croit déceler un "mécontentement qui monte dans la classe ouvrière" , Arlette Laguiller a donc appelé à "une contre-offensive générale du monde du travail" . Un "mouvement d'ensemble" qui vaudrait bien mieux que tous les non de gauche.

Sylvia Zappi
Article paru dans l'édition du 17.05.05
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Message par pelon » 17 Mai 2005, 10:15

a écrit :
Référendum: Arlette Laguiller refuse de mêler sa voix à celles des tenants du «non» au PS

AP | 14.05.05 | 13:02


PARIS (AP) -- «Il n'est pas question pour nous de cautionner» Henri Emmanuelli, Jean-Luc Mélenchon ou Laurent Fabius en faisant campagne commune pour le «non» à la Constitution européenne, explique Arlette Laguiller dans un entretien à «Libération» publié samedi alors que s'ouvre la Fête annuelle de Lutte ouvrière au château de Presles (Val-d'Oise).
«Nous n'avons pas envie de nous retrouver aux côtés d'anciens ministres socialistes comme Emmanuelli ou Mélenchon qui ont soutenu le gouvernement Jospin et n'ont pas contribué à améliorer le sort des travailleurs. Il n'est pas question pour nous de cautionner ces gens-là», explique la porte-parole de l'organisation.
Quant à Laurent Fabius, il «a été un des pires Premiers ministres. Après Mauroy, il a assumé la rigueur, le blocage des salaires, les licenciements dans la sidérurgie», dénonce-t-elle. «Nous ne faisons aucune confiance à Laurent Fabius».
Arlette Laguiller assure par ailleurs que son «non» n'est «absolument pas anti-européen». «Nous reprochons à cette Constitution d'ajouter une dictature politique à la dictature économique des plus grandes puissances d'Europe de l'Ouest et à leur primauté sur les pays les plus pauvres», dit-elle. Elle «n'apporte rien aux peuples et aux travailleurs», ajoute-t-elle, regrettant l'absence d'un «salaire minimum aligné par le haut» en Europe ou qu'il n'y ait «aucune garantie sur la limitation du temps de travail».
Interrogée sur la journée de solidarité, la porte-parole de LO dénonce «une véritable escroquerie» et estime que les salariés sont «les seuls à être mis à l'amende et à la corvée».
La traditionnelle Fête de Lutte ouvrière se tient de samedi à lundi dans son château de Presles. Dans ce parc boisé de plusieurs hectares, les visiteurs et militants pourront débattre sur la Constitution européenne, parcourir le «village médiéval» et le «village des arbres», ou écouter les groupes Paris Combo, Les Blaireaux ou Gadjodrom. AP

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Message par pelon » 17 Mai 2005, 10:16

a écrit :
Referendum constitution 2005

L0: non en solo plutôt que mal accompagné
Lutte ouvrière fait sa fête, avec la volonté de ne pas se mêler aux autres adversaires de gauche du traité.


Par Christophe FORCARI
lundi 16 mai 2005



«Réveille-toi ! Ça va être au tour d'Arlette !» Après les seaux d'eau de la journée de samedi, quelques-uns profitent des rayons du soleil hier après-midi pour piquer un roupillon sur la pelouse de la place de la Révolution, face au grand podium. Comme chaque année, Lutte ouvrière tient sa fête en son château de Presles (Val-d'Oise). «Le plus grand rassemblement du non à la Constitution», selon sa porte-parole, Arlette Laguiller. Trois jours et trois discours (le dernier aujourd'hui), sans tenir compte du rabiotage d'un jour de week-end de Pentecôte décidé par Raffarin. Et sans pour autant mélanger les torchons et les serviettes.

Pour Arlette Laguiller, ce n'est pas parce que Laurent Fabius appelle au non qu'il serait devenu subitement «un ami des travailleurs. Vous ne verrez à cette tribune ni Emmanuelli, ni Mélenchon, ni Chevènement».

Quitte à être inaudible, la formation trotskiste prêche son non en solo. Au contraire des autres, assure Arlette Laguiller, «nous n'appelons pas à voter non pour créer une hypothétique dynamique unitaire, pour faire surgir, à partir de tous ceux qui, à gauche, votent non, ce qui ne pourrait être qu'une nouvelle dénomination pour un éventuel gouvernement de gauche qui se révélera aussi décevant pour les travailleurs» que les précédents.

Pas l'ombre d'une alternative optimiste à l'horizon, pour LO, noir c'est noir, et non c'est non ! En tête de liste des suspects qui nourriraient de sombres desseins pour décrocher un strapontin dans un gouvernement de gauche plurielle «new fashion» : les «zigotos» de la LCR, comme les surnomme Robert Barcia, alias «Hardy», 77 ans, chef incontesté de LO. Et juste derrière, Marie-George Buffet, soupçonnée de vouloir s'accaparer les bulletins des classes populaires en faveur du non. Pour Arlette Laguiller, «la position du PCF et de Marie-George Buffet n'est pas claire sur l'avenir. Si le oui l'emporte, ils iront vers les tenants du oui au sein du PS. Le PCF n'a pas d'autres perspectives qu'une nouvelle union de la gauche». En clair, le PCF serait prêt à vendre le vote «non» pour un plat de «petit salé aux lentilles», plat proposé dans un des stands du «Village médiéval» de la fête.

Laguiller ne croit pas plus à «un pôle de radicalité qui irait de Fabius à Besancenot». Du coup, le débat traditionnel qui oppose responsables de la LCR à ceux de LO a été ramené, cette année, à sa plus simple expression. Aucun des membres du bureau politique des deux organisations n'y a participé. Et le «Village politique», où la Ligue occupe le plus grand stand, a été déplacé pour se retrouver confiné dans un endroit difficile à trouver, sur l'aile droite du château. «Normal pour des trotskistes d'être exilés en Sibérie», plaisantait un militant de la LCR. La consigne de voter non à la Constitution, donnée clairement pour la première fois par LO à l'occasion d'un scrutin ayant trait à l'Europe, ne fait d'ailleurs pas l'unanimité dans la formation d'extrême gauche. La fraction oppositionnelle constituée au sein de LO a voté contre lors du dernier congrès. «Un vote à 10 % contre la ligne officielle dans un congrès de LO, c'est énorme !» confie un ex de LO exclu en 1997. Enorme peut-être, mais toujours discret.

http://www.liberation.fr/page.php?Article=296800



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Message par pelon » 17 Mai 2005, 10:21

Interview dans Libération antérieur, chronologiquement, aux autres articles :

a écrit :
Referendum constitution 2005

Arlette Laguiller, porte-parole de Lutte ouvrière, défend son propre non:
«Pas question de cautionner Emmanuelli ou Mélenchon»


Par Christophe FORCARI
samedi 14 mai 2005



trois jours de kermesse et trois discours pour dire non à la Constitution européenne. La porte-parole de Lutte ouvrière (LO), Arlette Laguiller, entre dans la dernière ligne droite de sa campagne référendaire contre le projet de traité, à l'occasion de la traditionnelle fête de l'organisation trotskiste dans son château de Presles (Val-d'Oise).

Votre non est-il compatible avec les autres non de gauche, de la LCR à Fabius en passant par le PCF ?

Il n'y a pas de différence entre notre non et celui de la LCR, qui participe à un regroupement plus large au sein de l'appel des 200 lancé par la fondation Copernic. Mais nous, nous n'avons pas souhaité nous allier à des formations et des personnalités politiques auxquelles la Ligue a cru bon de s'associer. Nous faisons campagne séparément mais nos arguments se recoupent. Nous n'avons pas envie de nous retrouver aux côtés d'anciens ministres socialistes comme Emmanuelli ou Mélenchon qui ont soutenu le gouvernement Jospin et n'ont pas contribué à améliorer le sort des travailleurs. Il n'est pas question pour nous de cautionner ces gens-là.

Mais cet isolement condamne LO à être inaudible dans cette campagne ?

Médiatiquement, nous n'avons qu'un droit marginal à la parole. Mais j'ai fait plus d'une quinzaine de meetings et nous menons campagne pour le non dans toutes les entreprises où nous avons des militants. En début de campagne, notre manifestation parisienne a réuni plus de 1 500 militants, et la Fête de LO, ce week-end, va constituer le plus grand meeting pour le non en région parisienne.

Comment peut-on voter non quand on se dit internationaliste ?

Ce n'est absolument pas un non antieuropéen. Nous reprochons à cette Constitution d'ajouter une dictature politique à la dictature économique des plus grandes puissances d'Europe de l'Ouest et à leur primauté sur les pays les plus pauvres. C'est vraiment la mainmise politique des grands trusts. Cette Constitution n'apporte rien aux peuples et aux travailleurs: même pas la notion d'un salaire minimum aligné par le haut qui permettrait d'éviter les délocalisations vers des pays où les salaires sont plus bas; aucune garantie sur la limitation du temps de travail; pas de libertés supplémentaires pour le droit des femmes, le droit au divorce n'est pas mentionné dans ce texte, ni le droit à la contraception ou à l'IVG. Mais la construction, même capitaliste, de l'Europe aura comme conséquence de créer une classe ouvrière capable de s'unir pour revendiquer ensemble.

Tout cela était en germe dans le traité de Maastricht de 1992. Et à l'époque, vous n'aviez pas donné de consigne de vote...

Nous n'étions pas contre la monnaie unique. Il y avait aussi dans le traité des choses qui ne nous convenaient absolument pas. Nous avions alors opté pour l'abstention. Mais je ne vois pas en quoi cette Constitution va accélérer une Europe plus unie, plus démocratique et surtout plus sociale. Nous avons eu un débat pour savoir si nous devions donner une consigne ou non. La question a été tranchée au Congrès de décembre 2004.

Vous demandez donc aux travailleurs de mêler leurs bulletins de vote à ceux de Laurent Fabius et de ses amis ?

C'est une des raisons de notre indépendance dans cette campagne. Nous ne voulons pas être alliés à quelqu'un comme Laurent Fabius qui a été un des pires Premiers ministres. Après Mauroy, il a assumé la rigueur, le blocage des salaires, les licenciements dans la sidérurgie. Nous ne faisons aucune confiance à Laurent Fabius. Je ne vois pas quelle perspective la victoire du non peut ouvrir à gauche. C'est un peu «on prend les mêmes et on recommence». Ils ont tous participé au gouvernement Jospin qui a plus privatisé que la droite et s'est déclaré impuissant face aux suppressions d'emplois à Michelin ou à Renault.

La fête de LO continue lundi de Pentecôte inclus. Vous n'êtes pas solidaires avec les personnes âgées ?

Ce jour férié travaillé en solidarité avec les personnes âgées constitue une véritable escroquerie. Il y a bien d'autres ressources que celles des salariés, les seuls à être mis à l'amende et à la corvée, pour venir en aide aux personnes âgées et aux handicapés.

http://www.liberation.fr/page.php?Article=296545



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Message par bennie » 17 Mai 2005, 11:10

l'article de Libé est vraiment nul.

les «zigotos» de la LCR, comme les surnomme Robert Barcia, alias «Hardy», 77 ans, chef incontesté de LO


[/QUOTE]Et le «Village politique», où la Ligue occupe le plus grand stand, a été déplacé pour se retrouver confiné dans un endroit difficile à trouver, sur l'aile droite du château. «Normal pour des trotskistes d'être exilés en Sibérie», plaisantait un militant de la LCR[QUOTE]

Toujours les mêmes allusions!!

Je trouve très bien que la cité politique soit ainsi, ça laisse plus de place à la fête, et puis ce n'était pas introuvable!, tout le monde passait devant.
J'y ai fait un tour, des communistes s'engueulaient avec des anars, j'ai discuté avec un groupe que je ne connaissais pas, vraiment inintéressant, je n'y suis pas retourné. C'est aussi à eux d'être attractif, ou du moins de ne pas faire fuire les gens.


l'interview rattrappe l'autre article.
bennie
 
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Message par ianovka » 18 Mai 2005, 12:14

Dans l'Humanité le 17 mai 2005

a écrit :Lutte ouvrière en solo

C’est sous le signe du « non » à la constitution que s’est déroulée, ce week-end, la fête annuelle de Lutte ouvrière, qui se tient traditionnellement dans le parc du château de Presles (Val-d’Oise), propriété du mouvement trotskiste. Un virage à 180 degrés pour le parti d’Arlette Laguiller, qui avait appelé à l’abstention lors du référendum sur Maastricht, en 1992. Cette fois, la porte-parole de LO ne souhaite pas « cautionner » un traité « fait par et pour le patronat » alors que le « non » s’ancre à gauche. Mais pas question de « dynamique unitaire » avec les autres partis de gauche, a averti Arlette Laguiller à l’occasion du rassemblement de Presles. De toute façon, « l’offensive menée contre les travailleurs par le grand patronat dans tous les pays d’Europe, quel que soit le gouvernement en place, n’a rien à voir avec la constitution ni avec Bruxelles », avait expliqué la dirigeante trotskiste le 11 avril dernier à Clermont-Ferrand. Sur le fond, donc, rien n’a changé depuis 1992. S. C.
"Le capital est une force internationale. Il faut, pour la vaincre, l'union internationale, la fraternité internationale des ouvriers." Lénine
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Message par Koceila » 20 Mai 2005, 17:40

quote fiorcari:

a écrit :Et le «Village politique», où la Ligue occupe le plus grand stand, a été déplacé pour se retrouver confiné dans un endroit difficile à trouver, sur l'aile droite du château. «Normal pour des trotskistes d'être exilés en Sibérie», plaisantait un militant de la LCR. La consigne de voter non à la Constitution, donnée clairement pour la première fois par LO à l'occasion d'un scrutin ayant trait à l'Europe, ne fait d'ailleurs pas l'unanimité dans la formation d'extrême gauche. La fraction oppositionnelle constituée au sein de LO a voté contre lors du dernier congrès. «Un vote à 10 % contre la ligne officielle dans un congrès de LO, c'est énorme !» confie un ex de LO exclu en 1997. Enorme peut-être, mais toujours discret.


C'est tout fiorcari tout ça, je me demande où il va chercher tout ça?
Koceila
 
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Message par pelon » 20 Mai 2005, 18:14

QUOTE=Koceila,vendredi 20 mai 2005 à 18:40]
C'est tout fiorcari tout ça, je me demande où il va chercher tout ça? [/QUOTE]
Forcari. Il est vrai que l'on peut oublier ce journaliste qui n'est vraiment pas très fiort. :hinhin:

La suite de ce fil portant sur les positions d'Arlette et Besancenot vis-à-vis de Fabius et des Forums, il a été déplacée en Politique française
pelon
 
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