
Après la défénestration de Watrin, voici l'épitaphe de Jules Guesde. A cette époque les dirigeants du mouvement ouvrier n'étaient pas des pleurnicheurs.
(Jules Guesde a écrit :
« ... Devant ce cadavre d'employeur, de tortureur, qui va tirer des larmes de tous les yeux bourgeois et des condamnations d'une justice également bourgeoise, il nous est impossible de penser à autre chose qu'aux souffrances, aux injures et aux provocations dont une pareille mort n'est que le couronnement, pour ne pas dire le châtiment ».