Syndicats: La Possibilité D'un Renouveau

Marxisme et mouvement ouvrier.

Message par malaka » 20 Fév 2006, 22:46

Lol 84 peut-être que tu pourrais commencer par nous montrer ce que toi tu trouves intéressant ou nouveau dans cet article parceque même en le lisant avec attention et sans à-priori, c'est quand même ecrit dans un langage assez abscon pour certains passages.
J'ai l'impression que cet fait exprès parfois.

Et puis sur la "victooiiire" du 29 mai le doc a raison faut vraiment arrêter avec ça. Quand même, vous vous rendez pas compte de ce que le monde du travail a pris et continue a prendre dans la tronche depuis ou quoi ?
Et même si je le dirai pas comme lui c'est vrai qu'on se demande par qui et pour qui c'est écrit franchement :blink:
malaka
 
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Message par DocStarrduck » 20 Fév 2006, 22:58

a écrit :Enfin, le syndicalisme (mais la place nous manque pour en parler ici suffisamment) doit également être en capacité de franchir les frontières, et de synthétiser les cultures revendicatives nationales, afin de répondre à la hauteur du défi de la mondialisation, et au moins de sa variante européenne, qui imprime sa marque quasi quotidienne aux questions sociales.


Le mondialisation , ça veut dire quoi ?
L'auteur de l'article ne sait pas que le capitalisme ça existe depuis longtemps ?
Il découvre aujourd'hui que le capitalisme n'a pas de frontière ?

.

cultures revendicatives nationales,
Et ça veut dir quoi modération
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Message par DocStarrduck » 20 Fév 2006, 23:04

Ce texte ne trompe que leur auteurs !
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Message par Jacquemart » 20 Fév 2006, 23:06

a écrit :Et bien explique nous la différence entre la vision du "mouvement communiste" et celle de Dominique Mezzi..


Fichtre. Y a-t-il vraiment besoin d'expliquer qu'une phrase comme la suivante est mille lieues de toute la tradition de la IIIe Internationale ? Et que si elle signifie quelque chose, c'est une n-ième justification ampoulée de vieilles lunes réformistes ?

a écrit :La solution qui s'expérimente par tâtonnements depuis quelque temps - disons une dizaine d'années dans de multiples mouvements, dont le dernier est le Mouvement du 29 mai en France - ne réside évidemment plus dans la subordination des syndicalismes à la vérité des partis, ni dans la mise à la remorque du " politique " derrière l'unique légitimité des luttes (autonomie autosuffisante des luttes, ou syndicalisme révolutionnaire). Elle est dans la coopération agissante, l'association voulue et contrôlée sur des projets, et en même temps l'indépendance préservée de chacun..
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Message par DocStarrduck » 20 Fév 2006, 23:20

a écrit :il faut que les mouvements sociaux deviennent des mouvements politiques. Et il faut que les luttes politiques se matérialisent dans des forces sociales agissantes.


C'est déja le cas, les mouvement sociaux sont déja politique.

a écrit :il faut que les luttes politiques se matérialisent dans des forces sociales agissantes

Ils agissent contre nous ! Par exemple Chérèque a fait de la propagande pour "la réforme des retraites"
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Message par DocStarrduck » 20 Fév 2006, 23:26

a écrit :La solution qui s'expérimente par tâtonnements depuis quelque temps - disons une dizaine d'années dans de multiples mouvements, dont le dernier est le Mouvement du 29 mai en France - ne réside évidemment plus dans la subordination des syndicalismes à la vérité des partis, ni dans la mise à la remorque du " politique " derrière l'unique légitimité des luttes (autonomie autosuffisante des luttes, ou syndicalisme révolutionnaire). Elle est dans la coopération agissante, l'association voulue et contrôlée sur des projets, et en même temps l'indépendance préservée de chacun. Ce qui passe, pour les mouvements syndicaux, par une condition (sine qua non) de fonctionnement fédératif: la démocratie pluraliste, la reconnaissance des points de vue différents, non pas réduits à la multitude des individus, mais capables de synthèses provisoires (le vieux droit de tendance), toujours résultat de pratiques collectives.



Cet article ne veut rien dire, il est vide de sens.
Et en plus basé sur une réalité qui n'existe pas.
Son auteur n'est pas communiste, modération.
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Message par Jacquemart » 20 Fév 2006, 23:26

a écrit :Par contre il y a besoin d'expliquer comme le fait Dominique que le monde de 2006 n'est plus celui de 1921... Vouloir éclairer la situation actuelle par la lanterne de la IIIème Internationale qui apportait des réponses objectives en fonction de situations objectives de son époque, c'est justement ce genre de pratiques qui améne le décalage entre les militants dit "ouvrier" et la classe ouvrière. C'est aussi ce que dit Dominique Mezzi.

Jeter la lanterne de 1921, pourquoi pas, après tout. Mais si c'est pour utiliser à la place une lanterne qui date au mieux de 1890, même repeinte aux couleurs du jour, je ne pense pas qu'on y verra plus clair.
Et puis, tu crois vraiment que si aujourd'hui les révolutionnaires n'ont pas l'oreille des travailleurs, c'est parce que leurs conceptions sont dépassées ? Tu crois vraiment que proclamer la nécessaire "indépendance" de ces syndicats qui ont déjà trahi et re-trahi vis-à-vis des partis politiques (lesquels, d'ailleurs ?), c'est cela qui va aider les travailleurs à retrouver la voie de la lutte ? Que c'est ainsi, en proclamant d'avance la non-ingérence des révolutionnaires dans la chasse gardée syndicale, que nous nous armons le mieux pour les combats à venir ?
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