(Koceila @ jeudi 11 novembre 2004 à 17:22 a écrit : a écrit :Je ne sais pas si toutes les oppressions disparaitront d'elles memes (je suis meme sur du contraire) mais ce qui est certain, c'est que nous serons dans des conditions mille fois meilleures pour les faire disparaitre, et que tant que le profit d'une poignées de capitaliste passera avant les besoins de l'humanité, c'est un rêve de vouloir eradiquer ces "matastases"
Je ne pense pas que je me trompe! je ne parle pas des pathologies liées à certains gênes telle la trisomie que je pense que l'on pourrat prévoir et érradiquer, mais je pense comme dit la chanson que si les corbeaux, les vautour un de ces matin disparaissent le soleil brillera toujours..... c'est l'une des grandes différence entre vous et nous: les oppressions disparaîtront quand cessera l'exploitation de l'homme par l'homme, quand l'état disparaîtra, quand les classes disparaîtont!
Comprennez celà et vous aurez tout compris.....
:blink: C'est qui "nous et vous" ? A moins que tu ne me vouvois maintenant ?
("FALO" a écrit :Les opinions exprimées ici le sont à titre personnel et n'engagent que leurs auteurs.
Bon,, maintenant, sur le fond, je ne crois pas que ce que jJE dis soit si différends de ce que TU dis. Je voulais apporter un nuance. Manifestement, ce n'est pas qu'une nuance.
Les paroles de l'internationale, je les connait comme toi, et elle me font toujours le meme effet. Mais ce que je voulais preciser, c'est que la destruction du Capitalisme est une condition
necessaire à la fin des oppressions, mais je ne penses pas, qu'en soi, elle soit
suffisante. Ne serais ce que parceque beacoup existe depuis bien plus longtemps que le capitalisme, depuis l'apparition de la societe de classe pour etre plus précis.
Don effectivement, une société future, sans classe, communiste en somme... sera une société sans oppression, mais avant, il aura fallu passer certainement par des generations qui devront extirper de la nouvelle société socialiste les scories de l'ancien systeme: exploitation, misére...oppressions.