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Message Publié : 22 Avr 2006, 01:03
par Gaby
Pourquoi Imprecor publie ça ?

Message Publié : 22 Avr 2006, 08:35
par Sterd
C'est marrant quand même. On a beau s'y attendre et être habitués, ça arrive encore à nous surprendre

Message Publié : 22 Avr 2006, 13:09
par youri
Il est où le problème ?

Message Publié : 22 Avr 2006, 13:22
par Barikad
(youri @ samedi 22 avril 2006 à 14:09 a écrit : Il est où le problème ?
heuuuu, tu vois vraiment pas ???? :blink:

Message Publié : 22 Avr 2006, 13:42
par Sterd
(youri @ samedi 22 avril 2006 à 14:09 a écrit :Il est où le problème ?

Ton questionnement est incorrect. A la rigueur tu pourrais dire : "Ils est sont où les problèmes". Le singulier n'est pas de mise.

En fait la réponse a ta question est complexe a faire, car si les problèmes posés par cet article ne te sautent pas aux yeux, il va falloir reprendre toutes les bases et moi je ne m'en sens pas le courage.

Message Publié : 22 Avr 2006, 15:11
par Pascal
(lol84_Oi! @ samedi 22 avril 2006 à 15:04 a écrit : Je voudrais poser la question différemment car je pense connaître certaines bases.
Mais quoi faire d'autres? Laisser le mouvement ouvrier quebecquois dans cet état en s'enfermant dans des principes loin de masses? Ou bien essayer de recomposer une force pour le mouvement ouvrier? Très imparfaite il est évident mais comment faire autre chose vu l'ampleur des dégats suscité par l'absence d'organisation ouvrière de masse depuis toujours?
Bref au lieu de relever des problèmes j'aimerais que certains proposent des solutions...
En quoi la construction d'un parti nationaliste de gauche (dans l'article que tu cites, il est bien plus question de l'indépendance du Quebec que de l'indépendance de la classe ouvrière face à la bourgeoisie) permettrait de reconstruire "une force pour le mouvement ouvrier" ? J'ai plutôt l'impression que si un tel parti avait une véritable influence se serait un obstacle de plus pour le mouvement ouvrier, en particulier pour l'unité de la classe ouvrière canadienne.
En plus de la question de l'intérêt de créer ou de participer à la création de "partis contestataires plus à gauche" (qui est un axe statégique assez fréquent du SUQI), ce qui me frappe dans cet article c'est la complaisance vis-à-vis du nationalisme québecois. Et si je devais militer au Quebec, je pense q'au contraire je chercherai à mettre en avant l'intérêt commun des travailleurs anglophones et francophones et que je combattrais les illusions nationalistes. Qu'est-ce que les ouvriers du Quebec gagneraient-ils à l'indépendance de la région ?
Cela te parait peut-être "des principes loin des masses"... L'article mentionne des luttes, comme la grève sauvage d'infirmières, et je pense qu'il doit être possible d'intervenir dans ces luttes, dans les combats sur les lieux de travail, comme en France ou ailleurs, de ramer à contre-courant pour défendre des idées communistes et internationalistes...

Message Publié : 22 Avr 2006, 16:37
par Sterd
(lol84_Oi! @ samedi 22 avril 2006 à 15:04 a écrit : C'est vos mauvaises habitudes de profs que de vouloir tout corriger?
Tu te trompes parfaitement, je n'ai aucune envie de tout corriger. Cet article ne sucite en moi que l'interrogation vis a vis de mon propre étonnement à le lire. Je suis encore surpris de voir les gens du SU se cogner à la même poutre depuis 40 ans et à continuer à s'y fracasser avec constance.
Mais ce que peuvent inventer et pontifier les membre du SU quebecois je n'ai rien à en dire, ils sont tellement loin de mes préocupations et de la manière de poser les problème que je ne vois pas grand chose à y corriger.